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 soirée luxure (sebrian)

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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: soirée luxure (sebrian) soirée luxure (sebrian) EmptyMer 19 Oct - 14:24

(S)
Sebastian s’efforce de s’acclimater à cette ambiance dans laquelle il se plonge afin de découvrir l’univers de son amant. La nature introvertie et romanesque de l’Hispanique est troublée par les échanges qui se déroulent autour de lui, mais curieux, il s’efforce de lâcher les chaines de sa raison pour entrevoir un bout de cette plénitude que semble vivre son amant au sein de ces soirées au goût particulier. La maison dans laquelle ils se trouvent est plongée dans une atmosphère feutrée, tout semble empreint d’un érotisme qui est à la fois intrigant et envoutant. Il s’est fait approché par un homme, qui suite à son accord est venu déposer sa bouche au creux de sa nuque. Les gestes de Sebastian sont hésitants, mais il s’efforce de se laisser gagner par ce plaisir primaire qui enveloppe naturellement le corps d’un homme. Sa respiration se fait plus chaude tandis que la bouche de cet inconnu se fait plus gourmande contre son oreille. Il se pince la lèvre, sent cet homme défaire sa ceinture pour glisser sa main dans son boxer tandis qu’il s’applique lui-même à caresser ce torse qui demeure particulièrement attrayant. Les règles ont été fixées avec Adrian. Il ne doit pas avoir de position de dominé, ce qu’il s’est appliqué, d’informer à son partenaire qui a accepté. Pourtant, par un besoin indispensable, ses prunelles cherchent le corps désirable de cet homme. Il le cherche parmi la foule qui a déjà bien entamé les préliminaires, s’adonne à de la luxure comme il se doit. Son cœur rate un battement, son corps se contracte violemment lorsque son regard se pose sur l’élu de son cœur, enfoncé dans les reins d’un autre. Il sent une boule se former au fond de son ventre. Il est chamboulé par cette vision, se sent incapable de l’observer sans éprouver une profonde tristesse envahir ses entrailles. « Pardon. Je ne peux pas. Navré. » Il s’excuse auprès de son partenaire en se dégageant de son emprise. Les mains tremblantes, il se rhabille, sent les larmes naitre au coin de ses jours. Il ne peut pas et s’en veut tellement. Par pudeur, il décide de s’éloigner de tout cela, frôle seulement le bras de son amant en venant murmurer dans une voix éteinte, troublée par les sanglots muets. « Désolé Adri, je ne peux pas… » Sa main est tremblante. Il ne s’arrête pas plus, lui laisse la possibilité de s’adonner à sa passion, mais il lui est impossible de rester de marbre. Alors, il s’éloigne, quitte la demeure pour prendre l’air et reprendre ses esprits, car il ne veut pas craquer.

(A)
Adri est décontracté lors de cette soirée à laquelle il a pris l'habitude. Il savoure cet instant en se fondant à l'intérieur d'un jeune homme d'une vingtaine d'année. Il prend son pied dans cette luxure quelque peu brusque et particulière, tandis qu'il jette un coup d'oeil à son amant. Il ne l'aperçoit pas mais Adrian semble percevoir qu'il prend ses aises, qu'il est en compagnie d'un beau mâle. Il détourne ainsi le regard pour se replonger dans ses coups de reins intenses et francs. Il n'embrasse ni caresse son partenaire, il se délecte seulement de cet instant cupide. Pourtant cela est trop pour Sebastian qui arrête ses mouvements par une caresse délicate le long de son bras. Il attire forcément son attention. Mais pas le temps de lui répondre qu'il s'envole du bout de ses doigts. Alors Adrian se retire, se rhabille rapidement en se fichant totalement de l'air perplexe de son partenaire. Il rejoint son amant à l'extérieur de la maison. « Seb ? » Il le cherche des yeux, inquiet, avant de tomber sur lui, debout contre un mur. « Hey... est-ce que ça va ? » Il se rapproche, entoure sa taille, embrasse son front puis relève son menton pour l'apercevoir dans les yeux. Il est encore tout transpirant de son ébat.

(S)
Sebastian regagne l’air frais, car il ressent le besoin profond de s’isoler. Il ne peut pas rester parmi ses gens, se laisser gagner par le désir cupide en voyant l’homme qu’il aime prendre possession le bassin d’un autre. Cette image empreigne ses rétines avec tant de rigueur qu’il sent sa poitrine se comprimer et rendre sa fébrilité plus conséquence. Inconsciemment, il s’en veut de réagir de cette façon, car il aurait désiré apprendre à apprécier ce genre d’ambiance. Il ne peut pas dire que c’est déplaisant. Cela a un gout surprenant et enivrant, mais il ne peut pas se laisser porter en sachant Adri à quelques mètres de lui, agrippant avec bestialité les reins d’un autre. Il l’a juste tenu au courant de son départ pour qu’il ne panique pas en le cherchant du regard, ne songe pas un instant que sa réaction a pu alarmer son amant. Les bras recroquevillés autour de sa poitrine, il s’efforce d’amoindrir ses sanglots muets, son affliction d’avoir vu son homme baiser un autre et de le décevoir par la même occasion avec cette sensibilité qui lui est propre. Son corps sursaute lorsque son prénom est prononcé. Il essuie une larme rapidement et s’efforce d’inspirer profondément pour regagner son calme, mais son corps le trahit, tremble face à l’émotion qui l’étreint. Il le laisse entourer sa taille, déposer un baiser contre son front tandis que ses yeux viennent se perdre dans les iris clairs du directeur. Il le baisse instinctivement pour garder son émoi, avec une honte perceptible. « Désolé, je… » Sa voix est éteinte alors qu’il se pince la lèvre. « Je n’y arrive pas, Adri… » Il souffle avec une profonde tristesse. « Je n’arrive pas à supporter de te voir baiser un autre. » Il admet en essuyant un sanglot du bout de ses doigts. « C’est au dessus de mes forces. Désolé. Je dois te décevoir… » Il ajoute pour admettre ses tourments, ses faiblesses qui rongent sa poitrine à cet instant précis alors qu’il baisse de nouveau son regard, le corps tremblant. Il n’arrive pas à le maitriser et s’en veut tellement.

(A)
Adrian respire un bon coup tandis que son regard se perd sur les traits attristés de son amant. Il s'approche de lui, sachant parfaitement qu'il est chamboulé par cette soirée libérée et érotique. Par le fait qu'il ait baisé un autre homme, de manière virulente. Son amant explose son trouble en expliquant qu'il n'est pas parvenu à s'adapter. Adri caresse sa joue alors qu'il le colle contre lui avec douceur. Il susurre les mots à son oreille dans un murmure pour tenter d'apaiser son âme bousculée. « Ce n'est pas grave bébé. Ne te tracasse pas comme ça. » Il caresse son dos doucement pour lui apporter du soutien. « Non je ne suis pas déçu. Je me doutais que ça ne marcherait pas. Et puis tu as essayé. C'est le plus important pour moi. Merci. » Il embrasse ses lèvres avec tendresse. « Même partager un moment intime avec un autre type ça ne t'a pas plu ? » Il l'interroge pour savoir le fond de son trouble.

(S)
Sebastian s’exprime sur les tourments qui l’assaillent à la demande de son amant. Il lui avoue son malaise qui l’a désarmé lorsqu’il l’a vu prendre un autre homme, sous ses yeux. Cette image le tourmente, car il n’est pas en mesure d’avoir ce recul nécessaire pour l’envisager comme un moment pour son amant d’évacuer toute cette rage, qui sommeille en lui depuis tant d’années, qu’il apaise simplement lorsqu’il est à ses côtés. Il se sent minable d’être si sensible, a tellement peur de le décevoir. Pourtant par la caresse de ses doigts sur sa joue, l’étreinte qu’il lui offre, Adrian provoque un sentiment profond de soulagement en lui. Il sent au travers de sa gestuelle qu’il ne lui en veut pas et ses paroles vont dans ce sens. Son angoisse perd de son intensité sous la tendresse de ses actions, ses pleurs s’amoindrissent et finissent par disparaitre. « Vraiment ? Tu ne l’es pas ? » Il questionne dans une voix interrogative en plongeant son regard nerveux dans le sien. Il se pince la lèvre en inspirant profondément. « Si… ce n’était pas déplaisant. L’ambiance est très troublante, mais très enivrante. Je ne peux pas dire que ça m’est déplut. Au contraire… » Il admet dans une voix assez faible en plongeant son regard dans le sien. « C’est juste que ça me fait mal au cœur de te voir prendre les reins d’un autre. » Il admet faiblement. « C’est idiot, je sais. C’est sans doute de la possessivité mal placée de ma part. » Il ajoute en venant se blottir contre lui pour profiter de la chaleur de ses bras. Il se permet des confidences puisque son amant le désire. Il est simplement amoureux de lui qu’il ne peut le voir prendre les reins d’un autre, même s’il sait qu’il le fait régulièrement en secret. « Ce n’est pas pareil de le voir que de le savoir. » Il murmure en venant respirer son odeur masculine. Il fait abstraction du fait que cette odeur familière a été avivée par un autre que lui, il veut juste le sentir, ne penser qu’à eux.

(A)
Lorsque Adrian détaille la mine chamboulée de son amant, son cœur se serre instinctivement. Il ne supporte pas lorsqu'il aperçoit ces larmes qui assombrissent son regard, mais aussi son cœur et son esprit. Ses pensées sont troublées et il les explose face à lui, dégageant en même temps les sanglots qui habitent son corps. Il est incapable de faire preuve de colère à son égard, alors qu'il ne peut pas véritablement maîtriser ses émotions. Cela a toujours été le cas depuis qu'ils sont gosses. C'est un sensible maladif qui verse des larmes lorsque la pression de son cœur est trop imposante. Et si Adrian a longuement essayé de parfaire son éducation lorsqu'ils étaient gosses, de renforcer sa carapace, il a vite saisi que ce serait impossible. Son rôle désormais c'est d'effleurer sa peau avec douceur et de le conduire vers l'apaisement le plus total, mais surtout de chasser les traces de nervosité ou de souffrance qui le submergent. « Non. Je me doutais que ce serait compliqué pour toi. » Il admet en caressant désormais sa nuque. Il l'invite finalement à se livrer plus en profondeur sur ses impressions. « Arrête de toujours te considérer comme un idiot. Tu as le droit de ressentir les choses telles qu'elles sont. » Il soupire et lance dans un ton plus franc et froid. Il ne veut pas l'entendre culpabiliser. « C'est juste moi qui t'en ai trop demandé. » Il commente en reprenant une voix plus douce, caressant ses cheveux. « Au moins on connaît tes limites. » S'ouvrir est utile aussi pour se dépasser soi-même. « Tu penses que ça aurait été acceptable si je t'avais fait l'amour parmi tous ces gens ? » Il demande curieusement en continuant de le serrer contre lui. « Tu as bien vu que je l'ai baisé avec violence. Enfin je veux dire que... ça n'a rien à voir avec ce qu'on fait tous les deux. » Il explique pour qu'il soit conscient de cette réalité, et qu'il réalise combien il peut l'aimer. Il embrasse sa tempe avant de se décoller légèrement pour planter son regard dans le sien. « On rentre à la maison ? »

(S)
Sebastian est soulagé d’apprendre qu’il ne lui en veut pas. Adrian semble avoir saisi que cette possibilité serait compliqué pour lui et il s’efforce de le calmer pour chasser ses inquiétudes, qui persistent. L’hispanique se sent coupable de ne pouvoir lui offrir ce qu’il désirait par cette initiative. Il ne peut s’empêcher de s’attribuer la faute qu’il juge due à sa sensibilité exacerbée. Adrian le réprimande à ce sujet avec froideur avant de reprendre ses caresses dans ses cheveux. Ce geste calme immédiatement son angoisse et il divulgue ses confidences sur la vision qu’il a eue de cette soirée à sa demande. Adrian continue de le questionner à ce sujet, demande des précisions. « Oui… je pense que ça ne m’aurait pas déplu. » Il murmure doucement en venant plonger son regard dans le sien tout en restant contre lui. Il s’enivre de son odeur virile. « Je sais. Je n’ai jamais douté depuis que tu m’as expliqué les raisons qui te poussaient à le faire. C’est juste moi. » Il déclare avec douceur. « Je suis juste possessif, je préfère quand tu te perds au creux de mes reins. » Il déclare dans un fin sourire en sentant les lèvres de son amant se perdre sur sa tempe. « Je veux bien, oui. » Il se pince la lèvre pour éviter de laisser échapper un faible désolé, par rapport au fait de le priver de cette soirée qu’il apprécie. En réalité, à cet instant, il a juste envie de rester avec lui. Ses lèvres se déposent sur les siennes avec douceur tandis que sa main se loge dans ses cheveux. Il l’embrasse doucement pour retrouver la saveur de ses lèvres et chasser ses derniers brides de fébrilité, car il se sent bien, contre lui, tout simplement.

(A)
Comment être en colère lorsqu'il aperçoit autant de détresse dans le regard de Sebastian ? Impossible. Adrian est toujours attendri face à ses airs coupables et attristés qu'il lui inflige. Il ne peut pas rester insensible, c'est pourquoi il fait preuve de douceur et de compréhension - autant qu'il peut en tout cas. Il prend note du fait qu'il aurait été préférable de lui faire l'amour dans cet univers, plutôt que de lui présenter en restant séparés. Il ne commente pas, garde l'idée en tête pour une expérience future. Il lui laisse le temps de s'apaiser à son contact et de chasser les images qui assombrissent ses pensées. « D'accord. Pas de soucis. » Il embrasse son front avant de lui proposer de retourner à la maison, ce que Sebastian accepte volontiers. Adrian sourit et s'introduit dans la voiture garée non loin de la maison enchantée. Il conduit quelques minutes sans un mot, guidé par les notes électriques de la radio. Il finit par poser une main contre la cuisse de son passager, et par pivoter la tête de son côté. « Tu te sens mieux ? » Il demande après lui avoir laissé un instant de récupération. « On ne le fera plus promis. » Pas comme ça en tout cas. Puis il se gare ensuite devant chez eux. Retour à leur cocon.

(S)
Il s’exprime avec douceur sur les interrogations soulevées par son amant. Il le met au courant que le cadre de ces soirées n’est pas déplaisant, bien qu’il ne soit pas en mesure d’accepter l’idée de le voir prendre un autre. Il admet sa jalousie, qui le rend possessif, car les sentiments qu’il éprouve à son égard sont trop conséquents. Adrian semble le comprendre, dépose un baiser contre son front avant de l’inviter à rejoindre leur demeure. Il accepte volontairement, retrouve le véhicule d’Adrian pour rentrer chez eux. Le silence a pris place dans l’habitacle, juste le son de la radio diffuse une mélodie apaisante. Il se remet doucement de ses émotions, a hâte de retrouver leur refuge, rien qu’à eux. « Oui, merci. » Il déclare dans un doux sourire en venant déposer sa main contre la sienne. Il la caresse tendrement avant de la laisser s’échapper pour reprendre sa place sur le levier de vitesse, le volant. Il se contente de hocher la tête à sa remarque, lui offre un doux sourire simplement tandis que son amant gare la voiture au sein du jardin de leur demeure. Il s’approche tendrement de ses lèvres pour les effleurer, murmure tout contre elles. « J’ai le droit de goûter à tes formes sous la douche ? » Il demande avec douceur, le regard brillant de douceur. Il veut profiter du reste de cette soirée, tout simplement.
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