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 I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell

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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 14:29

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Sebastian était satisfait d’avoir trouvé la punition parfaite si son ami ronchonnait. C’était bien évidemment une menace en l’air. Il n’était pas aussi sadique qu’il ne voulait le faire croire. D’autant plus qu’il n’avait qu’une envie : celle de dormir dans les bras de son ami. Sans doute les seuls à pouvoir amoindrir ses craintes, désormais. Auparavant, il avait pris l’habitude de se perdre dans les bras de Zachary. Durant six longues années, il avait été son équilibre. Un équilibre qu’il ne représentait plus, désormais. Adrian l’était de nouveau comme par le passé. A cet instant, il avait seulement besoin de lui, sans arrières pensés, tout simplement parce que son monde se résumait un peu à cet homme. Cela ne le rendait pas malheureux, bien au contraire. Cette amitié sincère et sans embuche représentait les fondations d’un futur qu’il espérait meilleur, même si se relancer dans l’édification d’un tel bâtiment était plus complexe qu’il ne le souhaiterait. Quoi qu’il en soi, perdre ce rempart indispensable à sa vie ne pourrait que le détruire tant il ne rencontrerait jamais une autre personne comme lui. C’est pour cela que sa voix et son âme n’avaient pu que trembler, s’alarmer lorsqu’il avait poussé ce juron. Ce n’était pas sa remarque qui allait le rassurer, non plus. « Adrian… » Sa voix était un murmure, presque une supplique. Il n’aimait pas cette idée. Il savait son ami rouler excessivement vite et autant dire qu’un accident dans ce genre de circonstances laissait peu de chance aux conducteurs. Il s’abstint de faire connaitre ses craintes, préféra poursuivre sur la voie que lui offrait son ami, tâchant de se détendre. Il ne s’était pas attendu à une blague aussi salace. Pourtant, il avait l’habitude de celles-ci. Ce n’était pas la première fois, ni la dernière fois. Il savait qu’il n’était pas sérieux pour un sou. Il se montrait donc ironique, plaisantant de bon cœur aux paroles de son ami. Ses réponses ne pouvaient que l’amuser d’autant plus. « T’es sadique avec toi-même alors ? » Taquina-t-il. « Bon, OK, t’n’étais pas le plus sex des hommes, mais t’n’étais pas vilain, non plus. » Sa voix se voulait douce alors qu’il venait ajouter. « Qui ne te dit pas que je garde des photos de ton corps nu dans mes affaires ? » Il le taquinait toujours, n’était pas sérieux pour tout l’or du monde. Il n’avait pas de tels clichés. En avoir serait vraiment troublant et pourrait poser beaucoup de questions sur le regard qu’il portait à son ami. Ces conneries le faisaient rire. C’était déjà un bon point, mais au lieu de penser au plan à trois, il allait se contenter de faire les cookies pour le moment. Il fit une grimace aux paroles de son ami. « Peut-être que tu les adorerais, qui sait ? » Autant pousser l’humour jusqu’au bout même si c’était vraiment dégueu. « Par contre, c’est sûr que je ne les mangerais pas à ta place. » Non merci pour lui, bien qu’il connaissait ladite saveur. C’était même assez glauque. Il fit une moue assez dégoutée. La suite de la conversation suivit un chemin assez étrange, même s’il tenta de la rendre plus légère. Entendre sa voix sérieuse dire ces mots était assez déroutant. Il ne voudrait jamais se débarrasser de lui. Cette partie le fit sourire tandis que la suite, le sérieux qu’il employait le rendit légèrement perplexe. L’idée de faire un plan à trois, voire même qu’eux deux étaient vraiment étranges. Cela semblait totalement incohérent, mais il se garda bien de le dire à haute voix. Il vint sourire à ses propos en venant commencer à composer les boules de biscuits sur la plaque du four. « Qui sait ? Si ça se passait, peut-être que je voudrai te voler à ta femme et t’avoir pour moi tout seul ? » Dit-il dans une voix sérieuse, bien que son expression se voulait amusée. « Ce qui serait une grave erreur. » Il vint rire à ses paroles alors qu’il venait ajouter : « Première fournée lancée, Monsieur, mais je risque d’en manger quelques-uns donc, ça ne comptera pas pour toi ! » Le sourire aux lèvres, il vint chantonner l’air de la chanson quelques secondes, comme pour tenter de changer de sujet.
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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 14:40

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Lorsque sa supplique retentit jusqu'à ses oreilles, Adrian est dans l'incapacité de rester indifférent. Il sait que Sebastian est effrayé par sa conduite excessive, qu'il est très inquiet par ce comportement considéré comme abusif. Il voudrait ralentir pour ses beaux yeux, pour qu'il cesse de se miner avec des soucis qualifiés de futiles par Adrian. Seulement il aimerait le rejoindre le plus rapidement possible et ne pas tarder pour pouvoir lui offrir des étreintes qui sont nécessaires et seront bénéfiques pour son moral en baisse. « Ne t'en fais pas, je gère. Tout va bien. » Il prend un ton qu'il espère rassurant, même s'il conçoit que ce ne sera probablement pas suffisant pour un être aussi nerveux que Sebastian. Les événements récent jouent également sur son inquiétude, toutefois Adrian ne tient pas à ralentir. Plus vite il roulera, plus vite il sera auprès de lui. Lui aussi est sur les nerfs à cause de la tristesse de son ami, parce qu'il est impuissant et qu'il veut le retrouver pour s'assurer d'être présent, de l'épauler si besoin. On ne sait jamais quelle connerie il peut réaliser dans un moment de solitude... « Je suis même certain que tu en caches dans ton portefeuille. Peut-être que mon corps d'adolescent ne te plaisait pas, mais celui de l'adulte, par contre... je suis sûr que tu savoures ta contemplation. » Il plaisante comme à son habitude, content d'entendre le rire de son ami qui lui réchauffe assurément le cœur. « Ça ne me déplairait pas du tout de goûter à cette recette. » Il est mort de rire derrière son volant. Il sait que son ami est dégoûté par cette blague salace alors ça le fait glousser davantage. Il se révèle finalement sérieux, car oui ça lui arrive de temps à autre, pour lui expliquer qu'il ne souhaite pas se débarrasser de lui. Même Adrian ignore si la suite de sa phrase est véridique ou plutôt exagérée. L'idée d'un plan à trois avec Sebastian ne s'est développée que par plaisanterie, il n'y a pas songé réellement. Mais s'il pensait concrètement à sa concrétisation, ce ne serait pas nécessairement un plan qu'il éloignerait de son esprit... « Je crois que tu n'as pas besoin d'un plan à trois pour vouloir tout ça, il lance avec sérieux, toutefois avec une pointe de taquinerie dans la voix. » Ce n'est pas nouveau que Sebastian s'accapare Adrian très régulièrement, mais ça ne part pas d'une volonté de sa part. Plus un sentiment de dépendance qui nécessite sa présence fréquente auprès de lui. « Je donnerai n'importe quoi pour utiliser le système de téléportation et les manger tous à ta place ! Garde-en quand même pour tes parents. » Il l'écoute chanter, ça le détend, puis sourit. C'est apaisant de l'entendre, mais il ne lui confie pas. « Tu devrais sérieusement penser à t'inscrire à une émission de chant. » Même s'il se foutait de ses compétences il y a quelques minutes, Adrian doit reconnaître que son meilleur ami est un artiste très diversifié. Autant il se moque beaucoup de lui, autant il est également celui qui le pousse toujours vers l'excellence et surtout vers le haut.
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MessageSujet: Re: I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 14:43

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Les récents évènements le rendait sans doute plus tendu qu’en accoutumé. Sebastian n’était nullement connu pour prendre les choses à la légère. Sa sensibilité naturelle en faisait un homme particulièrement sujet à des angoisses qu’il avait toujours su gérer, mais il devait reconnaitre qu’en ce moment, c’était particulièrement difficile d’être positif. Sa mère était dans un bloc opératoire pour une opération très délicate et ses chances de survies dépendraient de ce que le corps médical serait capable de faire. Autant dire, qu’il était facile d’imaginer un tel accident arriver à Adrian dans de telles conditions, d’autant plus avec une vitesse excessive. Adrian se voulait confiant. Il l’était toujours, mais que pouvait-il faire contre le destin, voir même l’idiotie des autres. Il tâcha néanmoins de s’évader de ces pensées noires qui ne demandaient qu’à se réveiller. Il préféra prendre la perche que son ami lui avait tendue. Il reconnut qu’il n’était pas à son avantage lorsqu’il était adolescent, mais qu’il était bien plus séduisant désormais. C’était une vérité qu’il ne pouvait réfuter, le tableau de chasse de son ami le prouvait bien.  Il le taquina avec douceur pour plaisanter. Bien sûr qu’il n’avait pas des photos de son corps nu. Cela serait bien étrange de sa part, à moins qu’il n’en fasse le sujet d’une de ses œuvres comme ils l’avaient envisagé, sans pour autant le mettre en place. Il vint sourire à la remarque de son ami, vint même rire avec délicatesse en hochant négativement la tête d’un air dépité. « Comment tu le sais ? » Dit-il dans une voix d’un seul coup plus sérieuse. « Je pensais avoir été très discret quand je les ai pris et développé. Tu l’as fouillé ? » Dit-il presque avec suspicion. Il souffla, jouant toujours son rôle d’homme pervers pris sur le fait en ajoutant. « Si tu savais… t’es tellement désirable. C’est vraiment dur d’être sage avec toi. » Pas sérieux pour un sou. Il n’y avait jamais eu aucun désir dans leurs regards, aucune ambiguïté, tension sexuelle qui aurait pu rendre la limite difficile à tenir. Ils étaient liés, sur de nombreux points, peut-être même dépendants de cette amitié qui devait apporter un peu de bonheur à leurs vies légèrement bancales. C’est pour cela que c’était si facile de plaisanter sur ces terrains habituels glissants pour d’autres, même si dernièrement, il ne lui avait pas toujours été possible de faire cette part des choses pour une raison qui lui échappait totalement. La discussion dérapa, devint plus salace, ce qui devenait trop glauque pour lui. Sa réponse le fit grimacer et cela amusait Adrian. Il devait s’imaginer qu’il trouvait cette idée terriblement barge. « Pour connaitre, tu demanderas un autre, sal pervers. » Sa voix était amusée, un peu sérieuse même s’il savait qu’il plaisantait. Un sujet plus sérieux vint naitre naturellement à leur propos, bien qu’ils le prennent avec plaisanterie. Sa dépendance était un fait qu’il prenait conscience sans pour autant faire quoi que ce soit pour lutter contre. Avec Adrian, c’était simple. Il le connaissait, comprenait, savait utiliser les bons mots pour le faire avancer, pousser vers le haut. Avec lui, il se retrouvait tout simplement. Pas le Sebastian d’avant ou d’après Zachary, juste celui qu’il avait été en dehors de son histoire d’amour à côté de cet homme et il avait besoin de l’être, de s’accrocher à cette facette de sa personnalité. Peut-être devenait-il trop gourmand, trop intrusif, trop barbant. C’est ce qui le faisait agir comme un idiot, qui était à l’origine de certaines de leurs disputes. La remarque d’Adrian vint rendre son sourire plus faible. Il y avait une certaine vérité dans ce qu’il disait. Il ne pouvait nier ce qu’il disait, ne le fit pas, préféra partir sur les cookies, la fournée qu’il mettait dans le four pour s’atteler à une nouvelle. « Gourmand comme tu es, cela ne m’étonnerait pas. » Dit-il le sourire aux lèvres alors qu’il venait commencer la seconde fournée en chantonnant. « Ah bon ? Finalement, j’ai du talent, monsieur ? » Dit-il avec amusement. « Par contre, je ne peux pas en dire autant que toi. » Il tira la langue, le regard brillant de douceur. « Mais t’es doué pour d’autres choses plus importants, comme l’amitié. » Un moyen de lui faire comprendre qu’il se sentait vraiment heureux de l’avoir comme ami. Adrian avait bien des défauts, des lacunes, mais jamais il n’avait manqué à son rôle de meilleur ami. « Je me sens chanceux de t’avoir dans ma vie. » Il vint rire à ses propos, se sentant d’un seul coup trop sérieux, mais il avait envie de lui dire, n’avait pas honte de l’avouer. C’était même un privilège de pouvoir le faire. « Je serai gentil, je ne mangerai pas tout pour te féliciter. Faudra me féliciter. » Histoire de partir sur une nouvelle connerie.  
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MessageSujet: Re: I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell I really need you, my friend ! | PV Adrian Bramwell - Page 2 EmptyVen 18 Mar - 14:44

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Entendre la voix de Sebastian l'apaise suffisamment pour que ses nerfs cessent de se tendre. Il ne le dévoile pas toujours, mais le blond est très angoissé par rapport à l'état psychique de son ami. Il ne sait jamais quelle connerie il peut commettre en son absence, dans un élan de faiblesse. Il suffit qu'il ne soit pas auprès de lui durant une minute pour que sa tristesse l'éloigne de sa raison et le pousse à entreprendre une bêtise parfois irréparable. Il ne peut pas se permettre de le laisser supporter sa souffrance sans intervenir, sans tenter de le faire sourire. Tant pis s'il use de blagues salaces, tant pis s'il est parfois idiot dans ses propos. Tant que son cœur est allégé, tant qu'il se sent soulagé. « Oui j'ai fouillé ton portefeuille quand j'ai voulu te baiser un jour. Je cherchais un préservatif dedans, c'est un classique, mais je n'ai rien trouvé à part des photos de moi, il déclare avec un tel sérieux que ça pourrait en être déconcertant. Personne ne t'a demandé d'être sage. » Il poursuit sur sa lancée, sans même penser à rire ou à révéler à quel point il peut plaisanter. Il n'y songe pas car ça l'amuse de rendre leur conversation confuse. Pourtant il n'a jamais souhaité coucher avec lui comme avec tous les autres. Affirmer qu'il ne l'a jamais désiré serait mentir. Il ne s'est jamais senti excité par son corps, aussi divin soit-il, mais il l'a plusieurs fois dévisagé, portant des regards plutôt poussés sur ses courbes. Il admire sa beauté, mais n'a jamais senti ses reins s'embraser à cause de lui. « Ce ne serait pas pareil. Il paraît que le sperme a un goût différent selon l'individu et son alimentation. » Il est grossier et tourne la conversation vers du glauque mais comme il dirait : je m'en branle. Il est même fier de ses remarques. « Bien sûr, il ne faut pas croire tout ce que je dis. » Il n'a jamais douté de ses compétences en tant que chanteur, il ne faisait que plaisanter. Comme toujours. « Tu deviens vexant Sebastian, il annonce en jouant à l'offusqué, pas du tout blessé au fond. C'est ça, rattrape-toi sale gosse. Ouais je suis pas mal dans ce domaine, j'avoue. » Il croit être un bon ami. En tout cas, pour Sebastian. Il ne doute pas de ses capacités, il sait qu'il est quelqu'un de loyal, de prévenant et de plutôt à l'écoute, toujours là pour lui. Il n'a pas de soucis à se faire sur ce plan-là, mais c'est toujours un plaisir à entendre quand ça sort de la bouche de son meilleur ami. « C'est vrai que tu as beaucoup de chance de m'avoir. » Prétentieux, dîtes-vous ? Juste un peu... « Tu veux une récompense, c'est ça ? Qu'est-ce que je peux t'offrir en échange de tes services ? » Et même s'ils rient, même s'ils sont complices, il n'a qu'un seul désir : arriver à Auckland au plus vite et le retrouver.
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Plaisanter avec Adrian lui faisait du bien. Cela l’éloignait de ses pensées sombres qui ne pouvaient qu’envisager le pire pour sa tendre mère. Il essayait de lutter contre cette angoisse grandissante, mais il avait besoin d’entendre la voix de son meilleur ami. Un besoin qu’il ne pouvait pas expliquer, ni définir, qui s’imposait à lui comme une évidence et il n’avait juste pas le courage de lutter contre cette réalité, cette dépendance qui le liait à celui qu’il considérait comme un pilier de sa vie, de son équilibre. C’était tellement apaisant de l’entendre dire des conneries, de participer à ses dernières qu’il ne faisait pas particulièrement attention à leurs propos, la signification parfois ambiguë dans celles-ci, car il n’y avait aucune que ce soit le cas. C’est sans doute pour cela qu’ils pouvaient tellement en parler avec tant d’aisance de ces points, normalement embarrassants, sans aucune gêne. Il leva les yeux au ciel à ses paroles, vint même sourire d’autant plus. « J’imagine que ça a dû te couper dans ton envie. Pauvre toi ! Faudrait que je pense à en mettre un la prochaine fois. » Ce qui était déjà le cas. Il en avait toujours un sur lui, ce qui faisait perdre toute crédibilité aux propos de son meilleur ami, mais il se garda bien de lui. Après tout, il n’y avait aucun sérieux dans leur propos. « Si je peux, je ne vais pas me gêner à ton arrivée alors ! Cela tombe bien, j’ai besoin de me vider la tête. » Il n’était pas sérieux pour un sou. Pas du tout, même. Cette idée ne lui avait jamais effleuré l’esprit même s’ils s’en plaisantaient souvent. Pourtant, d’un côté, il ne pouvait pas être aussi catégorique que son ami à ce propos. C’est juste quelque chose qu’il n’avait jamais envisagé avec lui, comme avec la plupart des autres hommes sur terre. Après tout, Zachary avait été le seul homme pour qui, il avait ressenti du désir. Très rapidement, le sujet se dirigea sur les cookies qu’il préparait qui l’empêchait de s’enfuir vers des pensées plus salaces. Leur conversation devint plus crue et les réponses d’Adrian se font de plus en plus déroutantes. « Merci pour les détails. » Dit-il en exprimant une grimace. « Je m’en serai passé. » Carrément à ce sujet. Il leva les yeux au ciel une nouvelle fois. Fort heureusement la conversation changea de nouveau de champ pour revenir sur ses compétences en chant. Il le taquina, mais Adrian en fit autant, considérant qu’il en devenait vexant. Cela le fit sourire alors qu’il préparait la nouvelle fournée de cookies. Il vint rire à ses propos. « Accepte mes compliments au lieu de râler. Je ne fais que dire la vérité. » Se défendait-il en tâchant de faire l’ami froissé d’être pris sur le fait de se rattraper comme il peut. Il était sincère en plus. Sa remarque suivante le fit sourire de nouveau alors qu’il vint rire même doucement. « Pourquoi, ça ne m’étonne pas ? » demanda-t-il sans vraiment le faire. « Exactement, une récompense me semble plus qu’appréciable. Après tout, je vais lutter contre un besoin pressant de m’empiffrer de cookies pour t’en laisser. Cela vaut au moins un gros câlin et une petite sieste contre toi. » En réalité, il en aura bien besoin lorsqu’il arriverait à Auckland tant il se sentait tendu et épuisé par cette angoisse qui criait garde et qui ne pourrait que décroitre que lorsqu’Adrian serait à ses côtés. C’était idiot, mais Adrian avait ce pouvoir désarmant de soulager ses angoisses. Donc en attendant, il profitait du ton de sa voix, venait renchérir à ses remarques parfois taquines, parfois salaces, mais dont le seul but était de le faire sourire, rire afin de l’éloigner le plus possible de cette crainte qui taraudait son cœur. Adrian avait encore beaucoup de route devant lui et pourtant, ils ne vinrent pas raccrocher à aucun moment, enchainant les remarques sans intérêt juste pour parler, ne penser à rien d’autre qu’à leurs idioties, à leurs taquineries, tant qu’il oubliait, effaçait de sa tête que sa mère luttait contre la mort durant cet échange. Une conversation plus que vitale pour lui.

-- FIN --
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