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 L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8)

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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:02

L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
ADRIAN & SEBASTIAN

Cela faisait plus de deux semaines qu’Adrian et Sebastian s’étaient lancées dans une nouvelle facette de leur relation. Une relation plus intime, plus charnelle où ils s’épanouissaient petit à petit, mettant de côté tout le reste pour profiter de la douceur et de la complicité qui le liait à l’autre. Ces moments étaient précieux, délicieux, envoutants. Il en devenait friand, ensorcelé par la magie qui s’opérait. Aucune dispute ne semblait s’opérer, si ce n’est une qui avait un peu chamboulé le tableau de leur relation lors des premiers jours, mais qui avait mis en évidence le côté possessif du blond. Au final, il était parvenu à abaisser la colère non maitrisée de son amant, comme toujours, et même si leurs moments se faisaient parfois désirés de son côté à cause du manque qui se faisait ressentir, Adrian avait toujours une attention qui parvenir à nourrir le brasier que ses sentiments avaient allumé. Il s’entichait sérieusement d’Adrian et le fait de ne plus avoir à contenir ses sentiments, du moins de les affichait, rendait l’attraction entre leurs deux chairs plus vives, plus difficile à contenir, et Adrian était parfaitement doué pour éveiller ses sens, les ensorceler sous ses regards espiègles et perçants. Ce soir, ils avaient prévu de se lancer dans une nouvelle activité. Sebastian avait émis le désir de le peindre autrement que sur son croquis. Une idée qui avait particulièrement titillé l’esprit espiègle de son amant, qui avait été tout disposé à se soumettre à cette activité, qui prenait des airs de jeux. Adrian comptait bien l’envouter, lui avait fait clairement comprendre au travers de leurs SMS. Il semblait impatient de découvrir l’homme qu’il pouvait devenir lorsque son regard se consommait de désir pour son modèle. Rien que cette idée le troublait alors qu’il préparait ses outils pour se mettre au travail. Un sourire attendri ne quittait pas ses lèvres alors qu’il ne manquait plus que le modèle, qui avait filé sous la douche dès son arrivée. Il n’avait pas cherché à connaitre la raison tant elles pouvaient être nombreuses, mais il s’efforça d’effacer de sa mémoire, celle qui pourrait le troubler, bien qu’il l’avait accepté. Quoi qu’il en soit, c’est en simple boxer, les cheveux encore humides qu’Adrian revint vers lui, le regard espiègle. Ce petit air qui lui allait à ravir alors que ses prunelles prenaient une teinte plus brillante. Il le trouvait beau, délicieusement envoutant tant le charisme qu’il dégageait était puissant. Le fait de ne pas avoir touché son corps depuis la veille devait également avoir son poids. « Tu veux manger quelque chose avant de débuter ? » Demanda-t-il en venant se relever pour se rapprocher de lui, le regard à la fois troublé et amusé. « À moins que tu ne veuilles commencer pour tester plus rapidement mon endurance à te résister. » Souffla-t-il contre ses lèvres dans un ton plus suave alors qu’il venait effleurer ses lèvres du bout des siennes pour les gouter. Un geste d’égarement qui s’octroyait avant de filer dans la cuisine pour venir prendre deux bières pour lui en tendre une, un sourire heureux sur les lèvres. Il aimait tellement être avec lui, c’était toujours source de bienêtre pour son cœur, son esprit, son âme et il avait hâte de voir où cette soirée allait les mener.

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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:03

L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
ADRIAN & SEBASTIAN

L'eau fumante s'écoulant contre les parcelles de son corps, Adrian se détend un instant. Sa journée fut éreintante, pas un seul moment de répit pour une étreinte lascive en compagnie d'un de ses clients. Autant dire qu'il aimerait libérer toute la luxure dont il est capable ce soir. Son projet avec Sebastian doit pourtant freiner cette libido, à moins qu'il parvienne à briser les réticences de son ami en l'attirant tel un aimant. Il n'a pas de doutes sur sa faculté à séduire, il saura l'envahir d'une avidité pure, incontrôlable, qui ne demandera qu'à être comblée. Une fois la douche consommée, Adrian se sèche, enfile un boxer en attendant puis file dans le salon. Sebastian s'approche doucement de lui, rendant son désir plus ardent. « Ton corps ? il propose d'un air faussement innocent, accompagné de ce sourire en coin craquant, empreint d'une sensualité prometteuse. Pas de réconfort avant l'effort. Commençons, il lance avant de sentir ses lèvres s'accaparer des siennes avec douceur. » Un contact toujours perturbant quand il se fait la réflexion qu'il s'agit de son meilleur ami au bout de sa bouche. Un échange toutefois agréable, enivrant. Appétissant. Son cœur s'affole déjà par l'excitation. Sebastian a beau être vêtu d'une tenue appropriée et simple, il ne se gêne plus pour le dévorer du regard quand il part chercher des bières. Il lui en tend une lorsqu'il revient, Adrian l'attrape avant de réduire la distance entre leurs deux corps, leur offrant une proximité attrayante. « Quelle position préférez-vous, Monsieur Lewis ? il l'interroge dans un souffle charnel et brûlant, qui se dépose contre son oreille. » Il le consulte seulement pour savoir comment se placer sur le canapé, mais le sous-entendu évident, tordant mais délicieux, titille déjà le creux de ses reins. Dans un geste souple, Adrian ôte son dernier tissu pour l'abandonner contre le sol, un regard espiègle et sourire taquin incrustés sur le visage. Connaissant la faiblesse de son ami, il en use pour laisser ses lèvres frôler son cou. Sans pourtant satisfaire sa peau d'une douceur espérée, le blond se déplace jusqu'au salon. Il lui tourne le dos, prend une démarche assurée et charismatique, en buvant une gorgée de sa bière. Il prend place sur le canapé, dans la posture indiquée, avant de planter son regard séduisant dans le sien.
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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:05

L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
ADRIAN & SEBASTIAN

Cette intimité entre eux était troublante. C’était une évidence qu’il ne pouvait pas nier tant elle se faisait flagrante dans ces instants où ils agissaient avec la même espièglerie que par le passé, mais dont les effets n’étaient plus le même. Leurs taquineries se faisaient de plus e plus franches dans certains domaines et c’était aussi déroutant, qu’envoutant tandis que l’attrait de leurs formes réciproques devenait de plus en plus profond. Il ne pouvait s’empêcher de le trouver magnifique dans cette presque nudité qui lui allait divinement. Adrian était un bel homme dont le charisme n’était plus à prouver. Il savait comment séduire une femme tout comme les hommes et Sebastian n’en faisait pas exception. Ses prunelles ne pouvaient cacher l’envoutement contenu que cette vision provoquée au creux de ses reins. Il serait terriblement grisant de reproduire ses traits fins, mais élégants du bout de son pinceau à même sa toile encore vierge. Il avait eu le temps de songer à sa peinture, à envisager la position de son modèle, le style qu’il désirait donner à sa toile. Il l’avait déjà pratiquement en tête, il se devait simplement de la réaliser. Pour l’instant, il profitait de cette vue pour savourer ses formes comme il apprenait à le faire depuis quelques semaines. La réponse à sa question innocente, ce petit sourire en coin qui savait tant voler le sien, il ne put qu’afficher celui-ci en retour. Il vint même rire doucement. « Uniquement si t’es sage ! » Dit-il dans un clin d’œil complice et tout aussi espiègle que d’habitude. Sa voix était douce, bienveillante alors qu’il poussait sa taquinerie plus loin en venant effleurer ses lèvres avec douceur pour s’imprégner de leurs douceurs, de leurs chaleurs pour se donner des forces pour supporter la suite. Sebastian n’était pas dupe, le jeu allait se lancer et se battre contre ses pulsions éveillées depuis quelques semaines ne serait pas simple. Il s’octroya quand même le plaisir de prendre une bière pour eux deux. Il se rapprocha de lui sans pour autant réduire trop la distance entre leurs deux chairs. Une distance qui fut réduite à néant par la poigne de son amant qui l’obligea à se coller contre lui. Un toucher exquis, émoustillant comme il pouvait sentir l’odeur de sa peau embaumer ses sens. Sa voix était délicieuse, déroutante alors qu’il sentait son cœur légèrement s’endiabler dans sa poitrine. Il était sensible à ce genre de rapprochement avec cet homme et ne pouvait qu’en être friand. Pourtant, un sourire vint se fendre sur ses lèvres. « J’en ai une bien précise, va t’allonger sur le canapé. » Sa voix était douce, bien qu’un brin directif alors qu’il sentait la pression se décroitre pour lui rendre sa liberté. La vue qui s’offrit à ses yeux le fit sourire plus fermement malgré lui tandis que les lèvres d’Adrian venaient taquiner brièvement sa nuque, pour lui donner un aperçu de ce qu’il pourrait avoir par la suite. Il était vil, mais il avait accepté de jouer le jeu. De ce fait, il le laissa prendre place, ne se gêna pas pour laisser ses prunelles s’abreuver de ses formes. Il lui fit prendre une position particulièrement sensuelle et érotique. À demi allongé, le bras sur l’accoudoir, son autre main posée au creux de sa cuisse pliée contre le dos du canapé, il était tout aussi élégant que devaient l’être les guerriers romains. « Parfait. » Dit-il dans un clin d’œil alors qu’il venait boire une gorgée de sa bière pour tenter d’amoindrir la légère effusion de ses sens. Il prit place derrière son chevalier pour attraper son crayon. Il posait toujours ses bases de la pointe de son crayon avant de les reprendre avec des tons. Ce qu’il s’appliqua à faire en laissant ses prunelles parcourir ses formes pour avoir les bonnes perspectives. Il se rinçait l’œil au passage, ce qui semblait amuser Adrian dont le regard se faisait de plus en plus perçant, à la fois fier et espiègle. Cela le fit sourire à son tour avec douceur. Il s’efforçait de ne pas laisser son trouble s’affirmer, mais il devait reconnaitre que juste dessiner ces traits sur la toile émoustillait son désir. Il était tellement séduisant. Il se pinça l’intérieur de la lèvre pour ne pas s’égarer, le cœur un peu vif dans sa poitrine. Cette soirée risquait d’être riche en sensations.  
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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:05

L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
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Adrian ne songe pas à garder le contrôle de cette situation, puisqu'il est convaincu de le détenir prochainement. Il se laisse guider par les requêtes de son ami, se positionne comme il le souhaite sans éprouver de malaise et d'agacement. Il n'apprécierait pas être manié sans apporter son opinion, une touche plus personnelle dans l'art qu'on forme autour de ses courbes. Plusieurs fois il s'est laissé tenter pour le rôle de modèle face à des photographes, seulement il leur a fréquemment adressé des regards noirs quand leurs tons lui semblaient trop catégoriques et directifs. On ne doit pas être autoritaire, manifester de la supériorité vis-à-vis de lui. Il ne pourrait pas compter le nombre de fois où il a renoncé à poser pour ces gens prétentieux et imbus d'eux-mêmes. Il ne désire pas être un corps exploité pour que ces ingrats obtiennent une somme onéreuse derrière, bien qu'il soit suffisamment malin pour réclamer à tous les coups un pourcentage plutôt élevé. On peut étaler son professionnalisme tout en restant courtois, échangeant avec le modèle pour connaître l'avis qui peut être précieux et aussi intéressant que le leur. C'est encore son obsession pour la domination et la maîtrise des autres, qui ont un impact sur son comportement.

Avec Sebastian, cet art se détourne par le jeu, ce qui lui plaît assurément. C'est une manière d'être artistique qui rend la situation plus palpitante et attrayante. Il sent son désir qui l'envahit, son trouble quand il contemple ses courbes. Lui non plus ne serait pas indifférent en se mettant à sa place, en détaillant son corps dénudé avec tant de précision. Il serait incapable de faire preuve de patience ou de retenue, son avidité voudrait s'exprimer librement en le dévorant autrement que par des regards. « Je suis sage, il souffle doucement dans un murmure, pour ne pas briser cette atmosphère plaisante. » Cette information est utilisée dans le seul but d'un rappel, pour souligner le fait qu'il mériterait de dévorer son corps à l'avenir. C'est la condition qu'il devait respecter pour se délecter de ses courbes divines, même si d'autres solutions s'offraient à lui. Il demeure innocent, mais la lueur espiègle dans son regard le trahit ; il jure que ses intentions sont mauvaises. Il semblerait qu'il s'avère raisonnable, mais ce n'est qu'un moyen de figer de faux espoirs dans son esprit avant de réellement attaquer. Il lui laisse un moment de répit, le temps de poser quelques bases. Il patiente durant deux minutes sans bouger, gardant sa position. Même si son corps reste sur sa réserve, ses yeux hurlent tout son désir pour lui. Jamais il ne l'avait fixé avec autant d'intensité dans le regard, de cette passion vorace et profonde.
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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:05

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En bon modèle sage, Adrian avait rejoint le canapé avec cette démarche qui le caractérisait tant. Cette nonchalance naturelle devait envouter comme exaspérer les gens, mais Sebastian lui trouvait un charme unique. Sans doute que son affection devait tronquer sa manière de le voir. Il avait beau savoir qu’il était un con avec les autres, lui ne voyait que l’ami sincère et bienveillant auquel il faisait face même lorsqu’il était amené à le recadrer comme à cette période où il avait rejeté ses sentiments. Au fond, il restait à ces yeux cet être unique dont il ne pouvait se passer et cette nouvelle relation ne faisait que renforcer l’importance de cet homme. C’est pour cette raison majeure qu’il avait souhaité en faire son modèle. Il était sûr de prendre un profond plaisir à immortaliser ses traits sur sa toile, bien plus qu’il n’en avait éprouvé de le faire avec Elijah. La raison était simple et se tenait à un simple mot : l’amour. Sa toile, l’atmosphère qui allait s’en dégager aurait une tout autre aura que ce qu’il avait fait jusqu’alors. Elle sera unique avec une vision bien singulière de l’artiste pour son modèle dans un érotisme et une douceur qui ne pourrait que convenir à l’art de l’Hispanique. Du moins, c’était ce qu’il supposait, ce qu’il cherchait à obtenir tant l’idée qu’il avait en tête était très claire et il voulait en être digne. Il s’appliquait avec sérieux, laissait son crayon poser de sa fine pointe ses traits dans une précision parfaite. Il laissait son regard s’épandre sur ses formes masculines avec attention. Il n’était pas insensible aux charmes de son amant, ne pouvait que sentir ses sens se délecter de cette vision qui savait tant raviver son désir. Il était sage, ne bougeait pas, mais lorsque son regard venait remonter vers ses épaules, son visage, il ne pouvait ignorer la profondeur de ces prunelles. Il le dévorait du regard, percevait la brûlure de son regard sur sa chair, ce qui rendait ses sens plus en alerte que jamais. Il ne lâchait pas du regard ses formes pour les reproduire, tâchait de se retenir à l’avancement de sa toile pour éviter de laisser ses sentiments obstruer son travail. Il s’attarda sur les reins de son amant, laissa son crayon reproduire cette partie singulière de ses courbes avant de continuer ses cuisses, ses mollets, ses pieds. Les minutes s’égrainaient doucement, mais en laissant derrière elle, une certaine tension sexuelle qu’il ne pouvait totalement camouflée. Son regard était plus brûlant, ses respirations étaient plus vives, plus profondes alors qu’il sentait son être s’embraser doucement. Il ne pouvait oublier qu’il le fixait du regard, que ses prunelles appelaient les siennes pour établir un contact qui pourrait causer sa perte. « Tu as une idée de comment je vais te dessiner ? » Souffla-t-il dans un ton plus brûlant qu’il ne l’aurait voulu alors qu’il plongeait furtivement son regard dans le sien. Un simple contact visuel qui suffit à rendre son cœur plus endiablé dans sa poitrine. Il se pinça la lèvre pour replonger son regard sur sa toile pour s’accrocher à elle, bien qu’il fût évident qu’Adrian lui donnait cruellement chaud. Il ne pouvait l’ignorer, Adrian le connaissait mieux que personne et il était persuadé qu’il saurait le faire céder, d’une manière ou d’une autre. Ce n’était qu’une affaire de minute pour que ce jeu devienne plus érotique. Ce qui devrait plaire autant l’un qu’à l’autre.
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Autrefois Adrian aurait éprouvé un certain malaise à l'idée de poser nu pour son meilleur ami. Il aurait accepté, se serait laissé emporter par son esprit créatif sans le couper dans son élan, mais aurait demeuré embarrassé. Il s'est chaque fois entêté de ne pas dépasser cette limite qu'il s'était fixée dans le crâne, de ne pas approfondir une intimité jugée déplacée. L'unique frontière entre eux résidait dans la luxure, étant le seul domaine dans lequel il s'interdisait de connaître son ami. Maintenant qu'il a caressé ses courbes, les a savourées avec délice, ses désirs diffèrent. Il ne tient plus qu'à vivre cette passion délicieuse et dévorante, qui envahit le creux de ses reins chaque fois que leurs chairs se frôlent avec cette symbiose qui leur est propre. Il ne l'a jamais dévoré des yeux, n'a jamais contemplé son corps avec autant d'avidité dans le regard, mais dorénavant il n'a plus le pouvoir de détourner cette intimité qui s'impose à eux. Adrian souhaite la découvrir sans cesse, exposer ses courbes dénudées et effleurer les siennes du bout des doigts. C'est par ailleurs ce désir qui s'accroît lorsqu'il l'observe, le crayon à la main et l'air concentré. « Non, je te laisse me surprendre. Je me doute seulement qu'elle sera unique en son genre, il répond simplement sans jamais le lâcher des yeux. » Adrian sent qu'il évite son regard sans relâche, qu'il offre son attention uniquement à son corps. Il sent aussi qu'il se laisse doucement attirer par l'objet de son dessin. Leur tension sexuelle est palpable, apparente dans chacun de leurs regards. Adrian est persuadé que ce désir enflamme autant sa peau que la sienne, que cette brûlure contre leurs chairs rend la passion plus vorace. « Tu n'as qu'à retirer ta chemise si je te donne chaud, il lance d'un sourire en coin, fier de sa réplique. » Doucement, il glisse sa main contre sa cuisse redressée et retenue par le canapé, la frôle avant de rejoindre son aine, puis sa virilité qu'il caresse avec sensualité. Il ne l'entoure pas encore de ses doigts, titille seulement la partie supérieure. Ses mouvements sont délicats, exécutés avec une lenteur exaspérante mais si attrayante. Cette cadence assure une frustration plus conséquente, un degré d'excitation qui s'y ajoute. La taille plus développée de son sexe affirme son avidité. « Les modèles ont le droit de rendre le dessin plus érotique encore, pas vrai ? il l'interroge de manière faussement innocente, sans modifier ses traits pour une expression enjouée. » Il adopte cet air sérieux, impénétrable. Il n'y a plus que ce désir qui émane de son corps, perceptible au fond de son regard brûlant d'intensité.
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Cette situation était bien singulière en vue de leur relation. Il faut dire qu’ils avaient plaisanté durant des années de cette possibilité, l’envisageant sans jamais vraiment beaucoup de sérieux. Il faut dire que cela aurait été repoussé au maximum les frontières de leur amitié dans une intimité encore plus profonde, qui aurait pu être assez déroutante autant pour l’un que pour l’autre. Désormais, c’était bel et bien différent. L’intimité qui les liait l’un à l’autre n’avait de cesse de s’accroitre jour après jour. Un changement provoqué par l’éveil de leurs sens, de leurs désirs mutuels pour le corps de l’autre. Si au début, Sebastian avait eu l’impression d’être le seul en demande, il était forcé de reconnaitre que ce n’était plus vraiment le cas. Adrian semblait devenir tout aussi friand de leurs échanges charnels, participant activement à venir jouer avec habilité avec ses sens terriblement envoutés par les charmes de son meilleur ami, mais désormais amant. Poser ses traits délicats et désirables sur cette toile vierge était déroutant, envoutant, grisant. Il sentait ses sens s’envouter de ces formes qu’il pouvait détailler pour la première fois avec tant d’expertise et d’aisance. Il sentait cette tension sexuelle s’accroitre au fil des secondes, des minutes qui s’égrainaient alors qu’il s’appliquait dans son art. Ce silence était troublant, il chercha à le percer pour tenter de s’accrocher à la réalité, fuir la profondeur de ce regard qui perçait tout son être. Sa réponse se fit sans attendre. Elle le fit sourire de façon attendrie alors qu’il plongeait furtivement son regard dans le sien pour lui faire comprendre qu’il l’avait bien entendu et était satisfait par la réponse. Il était si déstabilisé qu’il ne se sentait pas capable d’y répondre, ne put que se mordre la lèvre pour tenter de contrôler le rythme de son cœur. Il lui donnait chaud, Adrian le nota, le fit même remarquer dans une expression taquine qu’il évita de rencontrer de son regard. « Cela te ferait trop plaisir, je suis sûr. » Souffla-t-il dans une voix suave en venant continuer les bases du corps de son ami sur la toile. Il s’appliqua sur le torse, les abdominaux de son amant avant de retrouver les lignes de ses reins, dont la position était significativement différente que quelques secondes, minutes auparavant. Il laissa ses prunelles suivre la ligne de son bras, retrouver sa main, contempler le spectacle qu’il offrait à ses yeux. Dans des gestes lents, sensuels où il s’appliquait à réveiller son soldat pour accroitre la tension sexuelle palpable qui obnubilait tous ses sens. Sa question le fit déglutir alors qu’il voyait ce soldat s’imposait dans une luxure délicieuse. Il laissa sa menotte libre venir déboutonner quelques boutons de sa chemise jusqu’au creux de ses pectoraux pour se sentir plus à l’aise, même si sa respiration s’était légèrement endiablée, devenait plus brûlante et que de délicieuses perles de sueur provoquées par l’embrasement de sa chair venaient doucement se faire connaitre. « Ils ont le droit. Cela risque de rendre le rendu plus érotique encore, mais si c’est ton désir... » Souffla-t-il en écho alors qu’il venait doucement reproduire le mouvement de son amant du bout de son crayon encore utilisé. Il se pinça la lèvre pour tenter de contenir la brûlure qui venait titiller ses reins tandis que ses prunelles venaient s’enivrer de cette exquise vision. Il était vraiment érotique et désirable quand il agissait de la sorte. Il était tout disposé à craquer, mais c’était tout aussi exquis de faire trainer le jeu jusqu’au bout, non ?
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Cette scène est invraisemblable si l'on prend en compte la règle suivie durant une vingtaine d'années. Il n'a jamais pris le temps de détailler ses courbes, s'en est chaque fois écarté pour respecter sa limite. Désormais il ne perd pas une occasion pour s'y atteler, pour les savourer avec ce délice particulier. Sebastian le détourne de la luxure ordinaire, celle brutale qu'il accorde aux insignifiants. Il lui fait découvrir une saveur à laquelle il n'avait jamais goûtée ; cette sensualité, cet érotisme qui lui procure une jouissance souvent extrême. Son désir est pur, gourmand, profond, ne recherche plus un bienfait tourné vers l'égoïsme mais l'abandon de chacun. Encore une fois, par cette distance qui sépare leurs chairs qui ne réclament que leur union, le plaisir est réciproque. Leurs regards échangés crient à la luxure, leurs voix sont plus graves tant le désir qui s'écoule dans leurs veines est remarquable. Tout son être aimerait rejoindre le sien à cet instant plaisant, mais ils font durer le supplice en rendant leurs reins plus enflammés encore. « Tu me ferais vraiment plaisir si tu les déboutonnais tous, il rétorque accompagné d'un sourire en coin, tentant d'obtenir ce qu'il désire. » Contempler son torse dénudé entraînerait une excitation plus intense encore, mais la violence de sa frustration se ferait connaître également. Ce serait un juste retour des choses avec la manigance qu'il met lentement en place, ses doigts rejoignant doucement le creux de ses cuisses pour quelques caresses audacieuses. « Puisque tu m'en donnes le droit... il souffle en l'observant d'un regard pénétrant, empreint de cette avidité conséquente. » Adrian ne se contente plus de frôler sa virilité avec lenteur, il l'empoigne sans ne plus tarder. Il lui prodigue des caresses salvatrices et enivrantes, s'accorde un plaisir solitaire qui saura attirer son ami comme un aimant. Il glisse sa main contre son membre, sans relâche, avec une cadence plus précipitée au fil des secondes, lorsque le désir le submerge en tout lieu. Le dos légèrement courbé, la tête penchée en arrière, Adrian manifeste son excitation en poussant un long soupir rauque. Se mordillant la lèvre inférieure, il scrute Sebastian dans les yeux, tentant de rendre ses gémissements comme une véritable source d'attraction. Il est évident qu'il n'en demeurera pas indifférent, que son plaisir non dissimulé enflammera davantage ses reins. Il persiste ses mouvements, sans lâcher son regard brûlant du sien, souhaitant indéniablement que ce soit sa paume de main qui lui transmette ce plaisir. Cette provocation délicieuse s'apparente à la torture, tant l'inassouvissement est considérable...
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MessageSujet: Re: L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps. | Sebrian (8) EmptyMer 23 Mar - 23:08

L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
ADRIAN & SEBASTIAN

Sa respiration s’endiablait au sein de sa cage thoracique. La vision offerte par Adrian l’envoutait, le tentait terriblement. Il avait beau s’intimer de l’observer comme un objet de travail, il se laissait charmer par ses talents naturels qui savaient tant faire flancher son cœur. Il le dévorait avec attention, d’un œil nullement professionnel, tant ce dernier se faisait terrasser par l’amant, l’homme amoureux. Pour garder son calme, ses esprits aux clairs, il avait déboutonné habillement quelques boutons de sa chemise, mais la voix provocante de son modèle ne parvenait en vain à décroitre ce brasier qui prenait vie au creux de ses reins. Il pouvait même sa peau devenir moite, en demande de cette peau entièrement montrée dans son érotisme à l’état pur et cette main sournoisement taquine au creux des cuisses de cet homme terriblement séduisant, ne rendait que la scène d’autant plus délicieuse. Une part de lui-même avait envie de céder aux demandes de cet être terriblement envoutant, d’enlever cette chemise pour lui fournir la même vision frustrante, mais son côté plus taquin, le maintenait dans cette position maitrisée, qui cherchait à rendre l’instant plus cocasse, intense. Il l’invita même à poursuivre sur son action, affirmant que ses modèles avaient le droit de se caresser pour rendre le rendu plus érotique. Il tâcha d’intercepter l’action coquine de son amant, la figer sur sa toile, mais il lui fut impossible de se concentrer plus longuement à ce détail. Sa remarque avait rendu la situation d’autant plus luxuriante. Adrian avait finement recouvert son soldat de sa menotte auparavant taquine pour rendre la caresse plus précise, délicieuse, ensorcelante. Il la cajolait avec attention, son regard plongeait sur lui comme pour lui faire comprendre qu’il était l’objet de ces désirs. Son cœur s’endiabla dans sa poitrine, sa menotte se fit plus tremblante, chamboulée par le brasier qui taraudait le creux de ses reins. Il avait envie de lui. Il se pinça la lèvre, le regard envouté par cette vision paradisiaque qui se donnait à lui. Il avait le souffle coupé, laissait ses prunelles s’abreuvoir de ce corps tout simplement emporté par un désir qu’il ne cachait pas, lui dévoilait avec passion. Son expression, ses gémissements, la profondeur de son regard, tout le rendait cruellement brûlant de désir. Il laissa sa main occupée reposer le crayon pour venir glisser sa main derrière sa nuque, tenter d’amoindrir ce brasier qui rendait sa peau moite, humide d’une sueur provoquée par sa frustration, le désir qui brulait ses reins. Il tâcha de laisser l’air ambiant frôler sa peau, vint défaire les derniers boutons de sa chemise pour adopter une posture qui lui permettrait de garder contenance. « Tu avais promis d’être sage, Adri’… » Souffla-t-il en venant déglutir. Le ton de sa voix était rauque, suave tandis que sa respiration se faisait forte. Pourtant, la scène ne diminuait pas en érotisme. Au contraire, le regard d’Adrian était de plus en plus envoutant, érotique, tentateur que jamais. Il se pinça la lèvre, la gorge sèche, assoiffée. Il avait envie de lui et la bosse formée contre les remparts de son jean trahissait sa propre ambition, le chaos qu’il instaurait au sein de son bassin. Il n’en fallait pas beaucoup plus pour le faire craquer. Il savait qu’Adrian trouverait le moyen de le faire céder. Ce n’était plus qu’une question de secondes. Il avait plus qu’une envie : le toucher, le sentir, mêler son corps au sien dans cette symbiose parfaite et délirante. Il en devenait particulièrement accro.
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Adrian Bramwell-Lewis
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L'érotisme, c'est quand l'imagination fait l'amour avec le corps.
ADRIAN & SEBASTIAN

La tension sexuelle qui s'impose à eux est palpable. Elle est flagrante dans chacun de leurs gestes, dans cette lueur d'excitation remarquable au fond de leurs prunelles. Sans compter le fait qu'ils se dévorent du regard en se léchant les lèvres, cette manière de se contempler, et leurs corps transpirants. Chacun de leur corps ne réclame que leur proximité, leur union, mais tous deux s'entêtent à poser une distance frustrante. Ils transforment cette scène en un véritable jeu de séduction, mêlé à un érotisme très envoûtant. Adrian devient de plus en plus gourmand quand Sebastian semble distrait lui aussi par une excitation intense. Son corps hurle son désir pour lui, se laisse envoûter par cette sensualité qui émane de leur éloignement. La flamme du désir n'est pas prête de s'éteindre, tant leurs corps sont enflammés. « Je ne l'ai jamais été. » Tu as été bête de me croire, voudrait-il ajouter, mais le plaisir est si conséquent que les mots se glissent difficilement hors de sa bouche. Son ton est plus rauque que d'habitude, donne un détail supplémentaire pour affirmer que l'excitation devient incontrôlable et profonde. Tous ses sens s'éveillent, sont troublés par cet érotisme. Chaque parcelle de sa peau semble s'enflammer, la frustration transformant cette chaleur en une température plus brûlante encore. Ils subissent la tension, mais la manient également comme bon leur semble. Adrian s'en amuse, la rend plus imposante par des coups de main osés qui ont pour but de déstabiliser son amant. Il est perturbé, il le sait, alors il en joue. Tout en poussant des gémissements à travers la pièce, le blond s'applique dans des mouvements plus maîtrisés, fermes et jouissifs. Son membre prend une taille considérable par ses caresses lascives, rend compte du bouillonnement qui le consume. Son enivrement se manifeste sans interruption, devient plus profond à chaque échange de regards enflammés. Une brûlure vive se répand le long de son échine, au creux de ses reins ; il se laisse baigner dans cette passion brûlante et grisante dans une respiration saccadée. « Tes lèvres sont vivement sollicitées, il lâche d'un ton grave, les yeux lumineux dans les siens, pour l'inciter à approcher, à succomber au désir qui commence à leur faire tourner la tête. » Il le veut à un point qu'il n'aurait pas cru possible autrefois. Il n'est plus capable de se concentrer sur autre chose que ses courbes, ce torse dénudé et bien formé qui déclenche son désir à tous les coups.
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