Sebastian s'enivre des compliments de son amant avec délice. Il s'en délecte sans aucune pudeur, car ils provoquent un océan d'émotions au fond de ses tripes. C'est un pouvoir qui n'est détenu que par son amant. Resultzt, ses gestes se précisent, deviennent plus gourmands. Il recompense ses partenaires par des caresses enivrantes. Il se laisse gagner par ce sentiment de bien être qui le gagne. Cela ne lui semble pas tellement étrange de participer cette intimité sexuelle avec Aiden. Il ne s'impose pas à eux, à lui, bien que sa complicité avec Adrian est évidente. Sebastian fond sous la puissance de l'excitation qui le gagne. Il se perd dans le regard océan de son amant, dans le baiser qu'il lui donne et qui le rend fébrile. Il ne se lasse pas de ses lèvres, mais il doit avouer que la pression des lèvres d'Aiden tout le monde de son corps à un effet cruellement excitant. Il gémit contre les lèvres d'Adrian, le coeur fou dans sa poitrine. Adrian ne relâche pas ses lèvres, s'applique à le détendre du bout de ses doigts tandis qu'Aiden se glisse à ses pieds. Il est pris au piège par cet enflammement de ses sens, qui lui retourne le ventre. Un gémissement de plaisir s'epand de nouveau de ses lèvres alors que son corps est en feu. Sa poigne contre la virilité de son homme s'affermit et sa bouche se fait gourmande. Il se laisse totalement allé entre leurs doigts et c'est exquis.

Les deux amoureux s'embrassent et se caressent tandis que Aiden glisse sa langue contre le corps sculpté de Sebastian. Elle glisse contre sa virilité tendue qu'il recouvre avidement de ses lèvres. "Savoure, je ne l'ai encore jamais vu faire ça. Sacré faveur." Il profite d'ailleurs beaucoup puisque ses gémissements s'intensifient, au rythme de la bouche d'Aiden. La jalousie d'Adrian s'active légèrement en sachant que ses soupirs de plaisir sont renforcés par ses lèvres. Il voudrait se les accaparer indirectement, et c'est pourquoi il ne tarde pas à s'insérer délicatement et avec lenteur au creux de son intimité. Et dans des coups de reins intenses et maîtrisés, une main posée sur la hanche de son amant pour mieux s'enfoncer et contrôler ses mouvements, Adrian lui fait l'amour et pousse des gémissements contre son oreille. Il s'insinue toujours plus profondément pour lui accorder la jouissance, son autre bras venant entourer sa taille et son ventre pour rendre l'étreinte plus douce.

Aiden désire profiter de cette étreinte luxuriante sans s’imposer. Il trouve le duo composé par les deux amants particulièrement excitants et mêler son corps aux siens dans cette ambiance sensuelle et exquise. Ce plan à trois n’a rien à voir avec ceux qu’il a auparavant expérimenté avec Adrian. Il n’y a rien de bestial dans ses actions envers son petit ami. Au contraire, il use d’une sensualité qu’il lui découvre. C’est amusant pour le chef de publicité, qui découvre un tout autre homme aux côtés de celui qui partage sa vie. Finie la bête enragée, il est doux et prévenant, pense au plaisir de son amant au lieu. En conséquence, il le laisse avoir le contrôle sur le corps qu’il aime et chérit, se contente simplement de prodiguer à Sebastian des caresses enivrantes et il s’applique à lui offrir une fellation dont il est le maître. L’idée ne lui déplait pas. Il apprécie le compagnon de son ami et désire lui offrir des sensations exquises. D’autant plus qu’il doit bien admettre qu’il le trouve désirable. Alors, de nature joueur, il taquine cette protubérance du bout de sa langue, de ses lèvres, l’observe prendre du plaisir par ses actions tout en étant victimes des caresses de l’homme qu’il aime. « En effet. Profite, Sebastian. » Il lance dans un clin d’œil avant de le prendre au creux de ses lèvres, le taquiner par des coups de langue experts. Sebastian semble se laisser aller sous leurs actions et ses gémissements sont particulièrement exquis. Aiden s’en nourrit, glisse sa main libre contre sa propre virilité pour s’offrir des caresses pour soulager l’excitation qui le gagne. Il les observe mêler leurs corps, titille le bout de la virilité de Sebastian pour accroitre le plaisir qu’il éprouve d’être possédé par son homme. Il adore ça. Cette sensation qui s’embarre de ses reins est exquise, différente, mais tout aussi addictive que la luxure à deux.

Sebastian est pris au piège de leurs lèvres et doigts gourmands. Le désir qui s’immisce au creux de ses reins devient imposant et il lui est difficile de garder les idées claires. Il faut bien admettre que cette étreinte à une saveur singulière, différente de celles qu’ils partagent avec d’autres inconnus. Sans doute que cela est due à l’amitié qui lie les trois hommes, mais il doit bien admettre que son corps se détend plus facilement. Il semble le sujet des attentions des deux hommes et tout son être s’empreigne du plaisir qu’ils provoquent au creux de ses reins. L’action d’Aiden le surprend, mais le ravit. Son corps savoure les baisers qu’il dépose contre sa protubérance tendue face aux caresses de son homme et au feu qu’il distille dans ses reins. C’est tellement bon et naturel à ses côtés. Sa chair s’enflamme sous leurs caresses, mais Sebastian ne voit que cet homme qui dévore ses lèvres avec un érotisme conséquent. Il gémit face au plaisir ressenti par sa protubérance, mais également face aux caresses d’Adrian au creux de ses reins. Ce feu devient plus incandescent lorsqu’il sent le bassin de son homme s’immiscer au creux du sien. La sensation lui retourne l’estomac tandis que son corps se tend vers celui de son amant pour savourer la chaleur de ses bras. Leurs bassins se collent, les lèvres d’Adrian investissent sa mâchoire, sa nuque, son oreille. Il l’envoute par la pression de ses mains autour de sa taille, de son ventre. Son cœur bat la chamade, ses gémissements s’intensifient face à la fournaise qui dévore ses sens. Ses reins viennent chercher ceux de son amant. Il ferme ses paupières, savoure totalement cette excitation qui le chambarde. « Adri… » Il murmure en laissant ses reins chercher les siens. Il le veut, intimement, au plus profond de son bassin. Il grogne de plaisir. Il brûle des deux côtés tandis que ses doigts glissent contre l’arrière des cuisses de son amant pour le pousser à être plus gourmands. Cela rend son excitation d’autant plus puissante. Il se sent terriblement bien et Aiden ne fait que rendre le feu plus brulant, dévastateur, divin. Il se donne.

Tandis qu'Aiden s'accroupit pour lui accorder des coups de langue humides et adroits contre sa virilité, Adrian tente de se montrer plus entreprenant pour s'accaparer son plaisir. Un jeu malsain s'installe entre son ami et lui, même s'il le laisse faire grimper naturellement l'excitation de son amant. Il a envie que Sebastian prenne goût à cette luxure, prenne son pied comme jamais. Alors il s'enfonce au creux de son intimité pour lui faire atteindre l'extase, l'orgasme. Il le sent réceptif, en redemandent, grâce à une main collée contre sa hanche. Il se presse contre lui, veut qu'il atteigne sa profondeur, alors il s'insinue davantage. Sa bouche dévore son cou, retrouve ses lèvres quand il pivote la tête vers lui. Parfois il le force en la faisant tourner d'une main. Son sexe est gonflé de plaisir mais sa taille s'accentue à chacun de ses coups de reins intenses. Il lui fait l'amour avec passion et affection, avec un désir plus conséquent, renforcé par la présence d'Aiden à ses genoux. Plusieurs minutes passent à se faire du bien, à gémir, jusqu'à ce que Adrian jouisse au creux de ses fesses. Dans un dernier cri rauque de plaisir. Sa tête se pose contre son épaule, complètement à bout de souffle sous le coup de l'excitation forte.

Aiden prodigue à sebastian une gâterie dont il est le maître. Si en accoutumé, il ne s'addonne pas à ce genre de gestes avec ces amants d'un soir, il désire laisser un bon souvenir au petit ami de son meilleur ami. Il se caresse, s'applique avec attention dans des gestes étudiés pour accroître la fournaise qui brûle les entrailles de l'hispanique. Il semble entièrement s'enflammer sous les mouvements de ses actions, mais surtout de celles de son amant, Adrian. Aiden savoure cette vision, accroît la pression de ses doigts sur sa propre virilité pour la faire gonfler, lui prodiguer le plaisir nécessaire pour son expansion. Il s'active, dévore cette chaire de sa langue, de sa bouche. Il s'enivre des gémissements des deux hommes, qui montent en force tout comme les mouvements de leurs reins s'endiablent. C'est exquis, il les trouvent cruellement érotique et cela accroît considération son plaisir. À tel point qu'il sent sa virilité doubler en taille. Il retire ses lèvres lorsqu'il sent Sebastian au bord de l'explosion. Il s'éloigne, continue de se caresser en observant les deux hommes et finit par atteindre la jouissance en les fixant ressentir cette extase. Cette sensation est somptueuse. Il la savoure tout en prenant son souffle, un sourire satisfait sur les lèvres.

Sebastian savoure cette étreinte avec délice. Il se laisse entièrement embarquer par ses sensations divines qui prennent ses sens en otage. Son coeur palpite violement dans sa poitrine, transporté et chamboulé par les caresses et mouvements de bassin de son amant. Adrian lui retourne la tête avec une aisance qui le désarme toujours. Il use et atise ses sens avec puissance. Il lui est entièrement soumis. Le coeur au bord des lèvres, il gémit avec force, l'extase happant peu à peu tout son être. Il ne se retient pas, oublie totalement la présence d'Aiden. Il se laisse embarquer par cette explosion délicieuse. Il atteint les étoiles, gémit le nom de son homme en recevant sa délivrance. Le souffle court, il se remet de ses émotions, glisse une main dans sa nuque pour retrouver la saveur des lèvres exquises de son homme. "C'était délicieux." Il admet en venant l'embrasser langoureusement. Ce baiser brûlant le fait planer. Il vient de prendre un de ses meilleurs orgasmes.

Adrian prend son pied avec deux amants aussi exceptionnels. Tout ce qu'il désirait c'était envahir son amant d'une douce chaleur exquise et rendre la tête de son amie plus légère. Il donne des coups de bassin intenses contre ses fesses, tandis que sa bouche recouvre son cou, puis ses lèvres quand Sebastian se retourne vers lui. Il jouit en lui avant de s'écarter, un bras contre sa hanche. Il l'enserre contre lui, pour lui accorder de la douceur, et exercer une pression contre Aiden pour l'inviter à se relever. "Sacré plan à trois..." Il sourit et regarde son ami avec complicité. "Tu veux rester dormir ici ?" Il propose tout en embrassant la peau de son cou et le blottissant contre lui.

La vision de ces deux corps qui se mêlent l’un à l’autre a été exquise. Il a savouré le spectacle qu’il juge particulièrement érotique. Pour une fois, il a pu admirer deux amants portés par le désir et l’amour qu’ils se portent, voguer vers les méandres du plaisir. C’était magnifique et excitant de pouvoir en être spectateurs. Cela l’a profondément détendu, bien que cela demeure particulièrement frustrant à ses yeux. Il aurait aimé que sa complicité avec Maximilian ait la même force que celle qui lie les deux hommes face à lui. Il aurait désiré que leur amour soit assez fort pour leur permettre de partager une telle expérience. Malheureusement, la vérité est toute autre et à cet instant, il préfère l’effacer de son esprit pour juste savourer l’instant présent. Il profite de la jouissance que lui a procuré cet échange avec ces deux hommes. Il les trouve beaux après la luxure et se délecte de cette vue en reprenant ses esprits. « Mon préféré sans aucun doute. » Il déclare dans un sourire complice en se relevant à la demande de son ami. « Non, ça ira. Je vais rentrer. Il faut que je vous laisse reprendre de vos émotions. » Un rire s’épand de ses lèvres avant d’ajouter. « Bien que je craigne d’être gourmand d’une telle expérience avec vous. » Il admet en riant de plus beau en venant doucement frôler la virilité de Sebastian du bout de ses doigts. « Merci. » Il murmure avec reconnaissance de façon audible pour eux deux avant de s’éloigner d’eux pour se rhabiller. Cela fait du bien de seulement se laisser aller, sans penser à rien, juste savourer un moment très intime avec deux personnes qu’on apprécie. C’est dans ce genre d’échange qu’il se reconnait, qu’il a la sensation d’être bien dans ses basques.