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 Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10)

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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:25

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ADRIAN &SEBASTIAN

L’ambiance au sein de la résidence des Lewis était bonne enfant. Le réveillon s’était déroulé dans la joie et la bonne humeur. Comme à leur habitude, la famille rassemblée avait passé leur soirée à rire, plaisanter autour de bons petits plats que la mère de Sebastian et lui-même avait concoctés avec amour. Aujourd’hui, la règle n’avait pas été enfreinte et le repas s’était déroulé sans accroche. Durant ces périodes de fêtes, l’alcool coulait à flot au sein de la maisonnée qui accueillait une grande partie de la famille. Ce n’était pas le nombre de chambres qu’il manquait, même si la plupart des membres de la famille avaient préféré prendre une demeure pour les quelques jours, histoire de donner un peu de répit à sa chère mère, qui avait été malmenée par la vie lors de ses derniers mois. Une attention adorable de leur part, mais qui soulageait les deux hommes Lewis. Il connaissait sa mère et elle faisait déjà des pieds et des mains pour faire en sorte que Grand’Pa se sente comme chez lui et tout semblait marcher à merveille. Sebastian pour fêter dignement Noël avait consommé de l’alcool plus qu’en accoutumé. Sans être saoul, il était d’humeur joviale et avait plaisanté avec ses cousins et cousines, avait même joué avec ses petits cousins qui l’adoraient. On ne pouvait pas nier qu’il était doué avec les enfants et savait y faire pour leur rendre le sourire, même lorsqu’ils étaient sur le point de pleurer de frustration ou à cause d’un gros chagrin. Vu l’heure, la plupart des jeunes enfants étaient sagement endormis dans les diverses couches prévues pour eux dans les chambres non loin de la pièce principale. La plupart des gens de sa famille étaient encore attablés pour discuter et jouer aux cartes. Pour sa part, Sebastian et Adrian s’étaient exclus dans le salon pour profiter un peu de calme. Adrian, heureux de l’édition limitée d’un hors série de sa série de comics préférée, avait souhaité feuilleté et se plonger dans la lecture de ce numéro. Sebastian s’était naturellement installé à ses côtés pour lire au-dessus de son épaule. Comme à ses habitudes, il l’embêtait avec espièglerie, le sourire mutin sur les lèvres dès lors qu’il voulait tourner une page trop rapidement à son gout. Il adorait voir cette expression faussement boudeuse et agacée, comme si son ami n’avait pas l’habitude. Son regard le détaillait avec attention alors qu’il venait rire à sa remarque. « Je n’y peux rien si je savoure chaque bulle. » Dit-il en lui tirant la langue. « J’aime profiter des bonnes choses. » Sa voix s’était perdue contre la peau de son épaule, près de sa nuque. Il sentit son parfum masculin et raffiné titiller ses narines. « J’en suis même très gourmand. » Sa voix n’était plus qu’un murmure alors qu’il venait embrasser tendrement la peau de sa nuque pour la titiller de la chaleur de ses commissures, remontant jusqu’à son oreille avant de rire avec délicatesse en se pinçant la lèvre. Il avait agi sans y réfléchir, emporté par ses desseins amoureux qui le rendait à la fois plus sensible et envouté qu’en accoutumé. Il faut dire que ces deux journées avaient été parfaites. Les moments qu’il vivait en sa compagnie étaient précieux et il devait reconnaitre que cela ne faisait qu’accroitre la force des sentiments qu’il avait développés à son attention. Le regard brillant de cette émotion qui le traversait, il s’éloigna légèrement pour ne pas s’imposer et s’efforça de reporter son attention sur le numéro en venant empêcher de nouveau son amant de tourner la page qu’il avait sans doute lue en profitant de son action, sans doute terriblement amusé par son comportement affriolant.

TENUE : 01.

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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:26

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Le repas du midi s'est aussi bien déroulé que la veille, réchauffant le coeur de chacun des convives présents. Pourtant Adrian s'empresse rapidement vers le canapé dès que l'occasion se présente, pour savourer un instant avec son meilleur ami. Tous deux allongés dessus, ils entament l'édition limitée du super-héros favori du blond. Ils profitent du silence qui s'impose dans la pièce, accentuée par l'absence des cousins, endormis en haut, ainsi que le faible volume employé par la famille pour jouer au carte. Adrian est toutefois freiné par son ami, qui le coupe dans son élan et l'empêche de tourner la page. Sebastian se défend par une mauvaise excuse, affirme qu'il est gourmand, ce qui déclenche le rire de son gosse préféré. « Il n'y a pas que les bulles de la BD que tu as savouré ce soir. Tu as un peu abusé de celles du champagne aussi, il rétorque en souriant, pour le taquiner. Oui, surtout d'une sucrerie que tu aimes dévorer sans cesse. Tu peux être gourmand tout de suite si ça te chante, il souffle en évoquant sa virilité, désireux de l'entraîner dans une voie très attrayante. » Il sent son souffle chaud se coller à sa peau indéniablement envoûtée par cette brûlure. Légèrement troublé par ce contact enflammé, il s'évertue à se concentrer sur les dessins sans y parvenir. Son amant poursuit ses gestes enivrants, déposant des baisers tendres contre sa nuque, son oreille, avant de rire contre sa tempe. Ce bouillonnement éprouvé par cette bouche manipulatrice entraîne ces picotements peu ordinaires mais délicieux, au creux de son ventre. Il a ce don de répandre un feu incandescent dans son corps, d'embraser sa peau avec une facilité déconcertante. Les sensations qui l'inondent le décontenancent et perturbent, si bien que la seule réaction qu'il s'applique à adopter, est l'indifférence. Il reste stoïque, même si son corps est consumé par cette passion ardente, que Sebastian lui fait immanquablement goûter. Il ne se laisse pas déstabiliser par cet instant affectueux de sa part, fait mine d'être préoccupé par Batman qu'il dévore tant bien que mal. Il lit parfois trois fois une phrase identique, mais réussit toutefois à achever la page. Alors quand il s'éloigne légèrement du creux de son cou pour poser sagement sa tête contre son épaule, Adrian a la capacité de revenir sur sa lecture pressante. Son ami le freine néanmoins dans sa poursuite, prétendant qu'il n'a pas eu la possibilité de suivre toutes les informations transmises par les personnages. « C'est ça de vouloir m'exciter, il lâche en souriant, ne prenant pas la peine de le scruter dans les yeux, au risque de se perdre dans cette lueur de malice quelque peu déroutante. » Vouloir. Comme si la réalité différait de ses souhaits. « Dépêche-toi, je veux connaître la suite ! Sinon je joue au vampire, il reprend accompagné d'un air faussement boudeur, trahi par son sourire. » Il patiente autant qu'il peut pour obtenir la suite du passage. » Le rire de Sebastian retentit à son oreille, ce qui a le don d'éveiller sa chair pour quelques frissons. Est-ce l'alcool qui rend cet endroit plus sensible que d'habitude ? Pourquoi lâche-t-il autant prise ? « Je vais finir par lire les BD seul, tu gâches tout mon plaisir ! il lance d'un air provocateur. » Il préfère largement lui faire subir ce sort plutôt que l'endurer lui-même. C'est pour cette raison qu'il tourne la tête et pivote légèrement son corps pour atteindre son cou qu'il dévore avec beaucoup d'espièglerie. Il titille à son tour sa peau par des baisers qui ne sauront pas l'aider dans sa concentration. Il accompagne ces contacts quelque peu grisants en glissant une main sous sa chemise, prenant simplement place contre son ventre qu'il caresse. Il apprécie bouleverser cet homme, c'est une passion plus imposante que celle éprouvée pour Batman.
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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:27

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La complicité développée entre les deux amis était indéfinie. Elle inondait de sa douceur chaque moment passé en compagnie de l’autre. Elle s’était même exacerbée dès lors qu’ils s’étaient lancés dans cette relation plus intimiste que leur amitié fusionnelle. Le résultat était enivrant et addictif. Sebastian ne se lassait pas de découvrir, éveiller la chair de son amant et ami à sa présence, son toucher. L’esprit jovial, enlisé dans les effluves de l’alcool, il laissait ses desseins amoureux et taquins prendre le dessus sur sa raison. « Il aurait été tort de s’en priver, non ? Il était délicieux, non ? » Demanda-t-il en faisant notamment référence au Champagne consommé sans modération pour le coup. De toute manière, il aimait profiter des bonnes choses et était même très gourmand de celles-ci.  L’allusion de son ami le fit sourire alors que son visage venait rejoindre sa nuque, enivré par l’effluve de son parfum qui avait un effet particulièrement envoutant sur son cœur. « Ne me tente pas trop. » Souffla-t-il en déposant des baisers humides, furtifs, mais ambitieux sur la peau de son cou, de son oreille. Il aimait éveiller cette peau, la sentir réceptive à ce toucher. Même si Adrian semblait calme, il pouvait entrevoir que sa peau était légèrement sensible à ce contact dans lequel il se perdait, emporté par la force de cet attachement qu’il avait pour cet homme. Cela le fit rire lorsque cette réalité le rattrapa. Il faut dire que la tentation était si forte tant le bonheur inondait son âme en sa compagnie. Il était si simple, si addictif. « Tu n’avais pas l’air de détester, non plus. » Murmura-t-il en tentant de reporter son attention sur l’ouvrage qu’il laissait par-dessus son épaule. « Je vais finir par croire que t’aimes jouer le vampire avec moi. » Dit-il dans un rire fin qui vint s’échouer contre sa nuque. Il avait reporté légèrement son attention sur lui, voyait clairement son amusement dans ce sourire en coin. « Tu oserais ? » Demanda-t-il en jouant cet air faussement outré. « Tu mettrais fin à une tradition remontant à notre enfance, vil personnage. » Il fronça le bout de son nez en mode boudeur avant d’exprimer. « De toute façon, tu n’as pas le droit, c’est dans le contrat, mon prince. Tu dois lire Batman avec moi et moi Flash avec toi. Alors, laisse-moi lire et on ne râle pas. » Il pesta faussement en venant se concentrer sur les bulles, mais ce n’était pas sans compter sur la réplique taquine de son amant. Comme lui-même l’avait réalisé précédemment, les commissures d’Adrian vinrent se poser sur sa nuque, dévorèrent avec espièglerie sa chair particulièrement friande de ce toucher. Il se pinça la lèvre en sentant de délicieux picotements perturber le creux de ses reins. Une réalité qui s’intensifia à la caresse de cette menotte qui s’était glissée contre son ventre. Ses sens troublés par les effets délicieux de l’alcool, il se trouvait plus sensible qu’en accoutumé. Son cœur s’était accéléré dans sa poitrine tout comme sa respiration. « Et toi, tu essayes de faire quoi, là ? » Murmura-t-il dans un sourire mi-amusé, mi-troublé. « Si tu veux que je lise cette page, tu t’y prends mal, mais ça ne me dérange pas. » Au contraire, il adorait ce toucher, en avait envie d’autres, avait du mal à résister à ce désir. Il laissa une de ses menottes libres retrouver l’épaule de son amant, rejoindre sa nuque alors qu’il tournait doucement sa tête pour souffler contre son oreille. « Tu peux même continuer autant que tu veux. » Sa voix se fit plus chaude, démontrant la petite flamme de désir qui s’était éveillée au creux de ses reins. Il était si difficile de résister à Adrian. Il savait tant captiver ses sens.

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Adrian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:27

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Le temps file à toute vitesse quand Adrian se tient auprès de son meilleur ami. Les minutes s'écoulent sans qu'il n'ait le temps de remarquer que la période de Noël se dissipe devant leurs yeux, toutefois plutôt préoccupés à contempler l'autre avec avidité. Désormais posés sur le canapé, leur complicité reprend le dessus et s'installe entre les deux sans relâche. « Pas aussi délicieux que les projets que j'ai imaginés à table pour ce soir, il lance accompagné d'un sourire en coin, et de ce regard avide dont il use chaque fois pour envahir son corps d'une chaleur enivrante. Pas besoin de te tenter, tu es suffisamment gourmand sans ma contribution, il corrige en souriant, uniquement pour le provoquer. » Il n'est toutefois pas en tort quand il affirme qu'il apprécie particulièrement lui accorder certains plaisirs, en dévorant régulièrement et avec gourmandise une sucrerie dont il semble raffoler. Il entame par ailleurs quelques baisers le long de sa nuque, qui ne le rendent pas insensible. Par fierté, il n'exprime pas son plaisir et se tait sur les émotions éprouvées. Sa perturbation n'est néanmoins pas manquée par Sebastian, qui ne tarde pas à le charrier sur la question. Il estime qu'Adrian ne paraissait pas importuné par ce contact poussé, empreint d'une sensualité déroutante mais envoûtante. Le blond ne conteste pas ses certitudes, mais ne les affirme pas non plus. Il lui offre seulement un relèvement de sourcils pour diriger son regard dans sa direction, le toisant avec arrogance. Son expression faciale communique pour lui, désigne un "vraiment ?" pour lui faire remarquer combien il peut faire preuve de prétention. Il n'admettra pas que cette caresse délicate, ce frôlement doux et agréable procuré par ses lèvres, l'ont tout sauf laisser indifférent. Il contient pourtant trop de fierté pour avouer que ce geste l'a secoué, perturbé au point de sentir des frissons parcourir chaque parcelle de sa chair bien enflammée.

Finalement, leurs préoccupations reviennent sur la bande-dessinée de Batman, pour reprendre leur lecture. Sebastian est toujours aussi lent pour poursuivre, ce qui soutire quelques remarques de la bouche du blond. « Faut croire, il répond de cet air impassible, en haussant les épaules, alors qu'être un vampire est devenu son divertissement favori. » Il le menace ensuite de ne plus l'attendre pour découvrir les BD la prochaine fois, qu'il ne l'utiliserait plus comme partenaire de lecture s'il persiste à titiller sa patience. Son ami fait mine de bouder, s'exprime de cet air faussement outré qui a le don de l'amuser. Il l'insulte de vil personnage, évoque un contrat et des règles bien précises que ce dernier stipulait. « Arrête de jouer au gamin et lis ces foutues bulles, idiot, il rétorque d'un air sérieux, mais le léger rire qui franchit ses lèvres le trahit. » Quand leurs taquineries cessent, Sebastian se concentre autant qu'il le peut pour rattraper son retard, tandis que le blond vient éveiller ses sens par quelques baisers dans son cou. Il accompagne ses mouvements par une caresse grisante au niveau de son ventre, qui le trouble avec efficacité. Adrian peut sentir le coeur de son ami battre avec force contre sa poitrine, qu'il caresse désormais du bout des doigts, ayant remonté sa main contre sa peau. « De te faire bander pour pouvoir s'éclipser en haut et te faire l'amour avec passion, il répond simplement, d'une voix toutefois très sensuelle et chaude au creux de son oreille. Quitte à choisir, je préfère que tu dévores autre chose que ces bulles ce soir, il reprend avant de le dévorer des yeux. » Son amant le pousse dans la voie de la luxure, l'incite même à poursuivre ses gestes affriolants. Il en redemande et Adrian profite de l'occasion pour descendre sa main, avec lenteur, pour rejoindre sa virilité en-dessous de son pantalon et boxer. Il se contente de ce passage étroit, peu accessible, pour lui accorder un plaisir dans une intimité restreinte. La scène est dissimulée par ce qui s'apparente à une étreinte tendre, les deux êtres installés sur leurs flancs et leurs torses étant collés l'un à l'autre. Il prend ses précautions au cas où quelqu'un aurait une envie subite de les rejoindre... rien n'est vraiment visible, si ce n'est les coups de main fermes d'Adrian. « Prie pour qu'aucun membre de ta famille ne débarque, il souffle contre sa bouche, un sourire aux lèvres, avant de continuer ses caresses sensuelles, libérant toute son excitation par ses gestes. »
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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:28

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Leur complicité s’insufflait naturellement au sein de leur relation comme une douce couverture qui enveloppait leurs âmes de sa chaleur enivrante, bienfaitrice. Il en était dépendant, savourait toujours avec délice ces petits moments en compagnie de l’autre, d’autant plus lorsque l’alcool coulait dans leurs veines, enivrant leurs êtres de ses effets bienveillants, suffisamment pour rendre l’instant plus puissant. « Des projets pour ce soir ? » Demande-t-il dans une voix chaude et amusée, sensible au regard et sourire en coin de son ami. Ses allusions le firent sourire avec naturel. Il était aisé de le tenter en vue de circonstances et il devait reconnaitre que leur proximité, l’odeur de son parfum ne parvenait nullement à amoindrir cette tentation. Emporté par son désir, il déposa de baisers humides, furtifs sur la peau découverte du cou de son amant qui ne se gêna pas pour le corriger en le provoquant. Cette attaque taquine était de bonne guerre tandis qu’il venait reprendre le contrôle de son être. Tout ceci amusait particulièrement l’Hispanique, venait titiller son côté joueur et taquin, si facilement éveillé aux côtés de cet homme tant c’était un délice de profiter de tels instants en sa compagnie. Son ami profitait de la situation pour le taquiner, gardait cette prestance naturellement fière. Pourtant, il n’était pas dupe. Sebastian savait que ces baisers ne l’avaient pas laissé totalement indifférent comme il le laissait prétendre par ce regard dévisageant. Sebastian ne se laissa pas tromper, hocha la tête dans un air entendu, le sourire en coin avant de s’intéresser de nouveau à l’objet qui les avait conduits à se retrouver l’un contre l’autre au sein de ce fauteuil. Adrian s’impatientait comme s’il était peu habitué à ce que l’Hispanique ne l’interrompe dans sa lecture. Une manie que chacun avait avec le superhéros de l’autre. Ils se chamaillèrent comme des enfants, qu’ils redevenaient toujours en compagnie de l’autre. Un intermède interrompu par la voie sérieuse et grave de son amant qui le sommait d’arrêter de jouer au gamin et de lire cette foutue BD. Si le ton se voulait menaçant, son expression fut amusée et ses actions plus ambigües. Comme s’il tâchait de lui rendre la monnaie de sa pièce, Adrian s’appliquait à taquiner sa peau du bout de ses lèvres et de ces doigts brulants, avides d’éveiller ses sens. Un art dans lequel il excellait particulièrement et qui se trouvait dédoubler par les effets embaumeurs de l’alcool. Les réponses de son amant à ses propos étaient enivrantes, excitantes. Il le troublait et le blond en avait conscience. Il l’invita à poursuivre ses touchers par désir de sentir son être s’affrioler de ce contact émoustillant. Sa respiration était plus vive, Adrian devait sentir sn cœur battre plus promptement dans sa poitrine alors qu’il sentait cette main expéditrice redescendre sur son ventre, s’immiscer sous le tissu de son pantalon, de son boxer, pour frôler cette partie sensible qui ne bouda en aucun cas son plaisir. Une caresse aguicheuse qui le fit se mordiller la lèvre dans une inspiration vive. Cette menotte captivait tous ses sens et il lui était résolument impossible de se concentrer sur la bande dessinée. Sa menotte contre l’épaule de son amant vint glisser dans sa nuque, la naissance de se chevelure blonde tandis que son autre menotte abandonnée l’ouvrage offert pour arpentait la même route sinueuse que la menotte de son amant. Il voulait identifié l’effet qu’il procurait à la chair de cet homme dont son cœur s’était étreint d’amour. Sa menotte glissa sous le tissu fin de sa chemise blanche pour frôler ses abdominaux avant de retrouver sa partie dissimulée avec douceur, mais ambition. Il vint répondre au sourire de son amant en venant gouter à ses lèvres pour partager la brûlure qui grisait son bassin sous son toucher séduisant. Sa bouche goutait avec délice à ses lèvres alors qu’il murmurait contre celle-ci. « Ils sont trop occupés à boire et à jouer aux cartes. Les enfants dorment dans les chambres d’amis, on est tranquille pour un bon moment. » Au pire, ils découvriraient les deux amants en train de fricoter. Était-ce surprenant qu’un couple ne se laisse tenter par la chair de l’autre ? Sa voix était chaude, empreinte de cette excitation qui était éveillée sous les caresses fermes de son amant auxquelles il s’appliquait à répondre en réalisant le même geste ravageur. Il se mordilla la lèvre dans un rire court, légèrement troublé par cette ambition de fondre de nouveau sous les doigts de son amant tout en tentant le diable. « Tu ne me sembles pas être contre cette éventualité. » Il se mordilla la lèvre en contenant un soupir de plaisir, le regard brillant de malice et d’ambition. Son autre menotte vint naturellement quitter sa nuque pour retrouver son épaule, son torse à travers du tissu pour savourer ses formes, mais également affrioler sa peau de sa présence. Il était si délicieux de succomber en sa compagnie.

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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:29

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Leur complicité est vivement exploitée pour savourer cet instant agréable en la compagnie de l'autre. Leurs taquineries ne cessent de se glisser entre leurs lèvres, pour se chamailler comme des gamins. Une spécialité qui leur est propre et qu'ils développent chaque jour un peu plus. Adrian se surprend à se laisser envahir par une douce chaleur au creux de la poitrine, témoignant de sa joie avec force. La capacité de son ami à lui insuffler autant de gaieté le déconcerte. Pourquoi est-ce si facile de sourire quand ça le concerne ? Il est heureux avec lui ; à chaque fois qu'il dépose des baisers contre sa chair ou que son rire retentit à travers la pièce. Rien ne pourrait sembler plus apaisant et réjouissant qu'être auprès de lui pour la lecture d'une bande-dessinée. Même tous les corps exquis du monde ne pourraient pas lui permettre d'atteindre et d'éprouver cet état de bonheur. « Je te laisse travailler ton imagination. Je ne voudrais pas gâcher la surprise, il souffle contre ses lèvres accompagné d'un sourire. » Une idée aussi érotique que savourée la veille, qui n'est qu'autre que travailler ses sens, notamment celui du goût, en lui bandant les yeux. Pour le moment ils titillent les parcelles de leurs peaux en les frôlant avec provocation, résolus à enflammer le corps de l'autre. Ils déposent des baisers contre la nuque de chacun, dévorent leurs lèvres par des baisers passionnés. Adrian se laisse plonger dans ce gouffre sacré, celui de la luxure délicieuse, et ne freine plus cette délicieuse chaleur qui s'écoule dans ses veines. Il se laisse transporter par le désir, enivrer par les caresses électrisantes de son ami, ainsi que ses regards emplis d'avidité. Il ne tarde pas à lui démontrer combien il peut être excitant en glissant une main le long de sa virilité, pour lui prodiguer quelques coups de main maitrisés. Il s'applique pour rendre Sebastian fou de désir, autant qu'il peut l'être avec ce corps exquis entre ses doigts gourmands. Il se demande souvent comment il a pu passer à côté d'un corps aussi divin que le sien. Il dégage tellement de beauté. Il ne s'est jamais attardé sur ses courbes, sûrement parce qu'il s'était fait à l'idée qu'il ne l'aurait jamais entre ses draps, même s'ils s'échangeaient des taquineries déplacées et perverses. Il n'a jamais douté de son charme, n'a seulement jamais pris le temps de détailler ce corps et ne l'a pas considéré comme l'objet de ses fantasmes. Maintenant qu'il a dépassé la limite imposée à son esprit et qu'il a appris à l'étudier avec précision, il ne cesse de savourer ce corps splendide. Il continue de lui accorder un plaisir que tout homme apprécie, avant de se laisser surprendre par l'ambition de son amant. Il exécute des mouvements identiques, caresse ses abdominaux puis descend jusqu'au témoin de son excitation, bien développé et ferme sous la paume de son amant. Sa peau s'enflamme au contact de ses mains chaudes, il le laisse répandre une excitation conséquente au creux de ses reins, qui ne réclament que la symbiose avec les siens. Il accompagne ses soupirs de plaisir des siens, très satisfait par les effleurements de sa chair contre la sienne. Sa virilité prend une taille considérable, au point de désirer une certaine intimité pour libérer le désir qu'il contient. Il doit simplement pousser des murmures et toucher son sexe de manière délicate et discrète, pour ne pas éveiller les soupçons des convives installés à la table du salon, proche du canapé où ils entament une forme de luxure gourmande. Les lèvres possèdent les siennes un instant, s'en délectant avec délice, avant de les relâcher pour proposer l'alternative logique qui s'impose à eux. « Il faut qu'on monte dans ta chambre, il reprend dans un souffle plus bruyant que les autres, prêt à jouir de plaisir, en pressant sa hanche pour démontrer l'urgence de sa demande. » Il ne pourra pas tenir longtemps alors que son corps renferme trop de désir... et il sait pertinemment que la réciprocité est exacte.
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MessageSujet: Re: Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) Love is a story whose we write a line every magical moment spent together | Sebrian (10) EmptyMer 23 Mar - 23:31

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ADRIAN &SEBASTIAN

Il était difficile de résister à une telle attraction. Adrian avait une aisance déconcertante à enflammer ses reins, à envouter ses sens. Il ne pouvait que se laisser happer par cette délicieuse sensation qui l’inciter à fondre sous ses regards, ses sourires, ses mots ravageurs. Il n’y avait rien de plus exquis que de découvrir l’effet qu’il avait sur le corps de son ami, l’exultation naturelle que ces actions ou paroles avaient sur cette chair. Il ne pouvait qu’en être troublé, envouté et il ne pouvait lutter contre tout cela si ce n’est en faisant en sorte de rendre cette faiblesse réciproque. Il faisait de son mieux pour entrainer Adrian avec lui dans ce gouffre délicieux dans lequel la luxure les jeter. Il n’y avait rien de plus somptueux que de se laisser attirer par l’attraction du corps de l’autre. Il n’avait aucune envie d’être sage. L’alcool distillé dans ses veines l’invitait à poursuivre sur cette voie dangereuse. Il ne pensait plus à rien si ce n’est à cet homme, le brasier que cette main coquine embrasait dans le creux de ses reins, les frissons que ses lèvres et son souffle provoquaient sur sa peau brulante. Il avait envie de lui, de succomber de nouveau à ses charmes pour découvrir ses horizons tant savourés et il ne voulait pas être le seul à s’y rendre. Adrian subissait les mêmes attaques mutines de ses doigts, de ses lèvres, de son souffle. Il le savait tout aussi gourmand, avide de cette libération charnelle. Leurs mouvements se faisaient plus gourmands, leurs baisers plus passionnés. L’étreinte sage du départ commençait à devenir plus langoureuse et il était évident qu’ils avaient envie de se libérer de ces barrières de vêtements pour savourer ces merveilleuses sensations qui les prenaient aux tripes. Ils demeuraient silencieux, mais leur corps ne demandait qu’à exprimer ce plaisir de façon plus franche.

La pression emmagasinée dans leurs reins titillait bien trop leur bassin pour que leurs gestes ne demeurent sages. Il fallait qu’ils montent à l’étage, dans sa chambre. Un ordre insufflait par son amant dans une voix plus sombre et suave. Il était d’accord avec lui, ne pouvait nullement camoufler son excitation. « OK. » Souffla-t-il à son tour dans un souffle plus bruyant alors qu’ils venaient interrompre leurs actions. Ils prirent congés de la pièce principale sans un mot, se faisant les plus discrets possibles pour monter jusqu’à sa chambre où ils vinrent s’enfermer avec précipitation. Le corps en émoi, brûlant de cette étreinte partagée, ils échangèrent un baiser plus gourmand, langoureux alors que leurs menottes exploratrices venaient défaire les vêtements de l’autre avec un engouement assumé. Sebastian vint rire contre les lèvres de son amant, bien trop chambardé par cette danse lascive qui prenait peu à peu forme sous le toucher affriolant des menottes de l’autre. Très rapidement, ils se retrouvèrent entièrement nus alors que leurs menottes venaient retrouver la chair impatiente de l’autre. Ils prirent place sur les draps du lit dans des sourires complices afin de s’adonner à un délice que tous les deux appréciaient terriblement. Une fois de plus, ils s’enivrèrent des charmes de l’autre, vinrent parcourir de nouveau à l’harmonie cette rue sinueuse vers ce paradis terrestre sous les mouvements cupides et puissants du bassin de l’autre. Ils firent l’amour de nouveau avec sensualité, en domptant la bête qui somnolait toujours en sa compagnie pour permettre à Adrian tout comme à lui de savourer leur étreinte dans sa forme la plus parfaite, happée par un bonheur sincère et profond d’être en compagnie de l’autre.    


-- FIN --
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