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 Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier. (sebrian ♥)

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Adrian Bramwell-Lewis
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Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier.
ADRIAN &SEBASTIAN

Entraînés par ce flot de désir qu'ils contiennent et enflamment leurs reins, ils ne tardent pas à retrouver la chambre de Sebastian lorsque le dîner est terminé. Tous deux fortement excités, ils profitent d'une occasion pour s'éloigner de cette euphorie généralisée et s'étendre plutôt sur cette excitation qui ne demande qu'à être satisfaite. Ils prennent l'initiative d'abandonner les convives pour se contenter d'un instant agréable en l'unique compagnie de l'autre. Leur impatience rendait les minutes interminables, à tel point que leurs corps subissent désormais cette attraction incomparable à un degré d'intensité plus élevé que d'habitude. Le regard pénétrant dans sa direction, il sent qu'il l'attire facilement vers lui. Il reste accroché à ses yeux, dans le seul but de le laisser faire le premier pas, de l'inciter à s'engager dans cette voie enivrante. Alors quand son corps s'approche du sien et que ses lèvres s'unissent avec fougue, Adrian se laisse faire et accentue le contact en pressant davantage sa bouche contre la sienne. Leurs comparses se taquinent dans une étreinte exaltante, qui a le don de rendre leur passion plus puissante. Ses lèvres titillent son cou avec enivrement ; son oreille par un souffle chaud qui lui procure quelques frissons le long de son échine. Il le débarrasse de ses vêtements par des gestes précipités, qu'il exécute à son tour pour observer avec avidité ce début de nudité qu'il apprécie particulièrement. « Pour une fois que tu fais preuve de rapidité. On change vraiment les rôles ce soir, il commente accompagné de son sourire moqueur, faisant référence à la précipitation activée et pas toujours appréciée par Sebastian dont il faut toujours preuve. » Les mains posées contre le bas de son dos, il se laisse griser par ces frôlements qui stimulent davantage la chaleur du creux de ses reins. Ils se laissent consumer par ce désir brûlant qui s'écoule dans ses veines, et le rend plus réactif aux caresses envoûtantes de son amant. Il apprécie quand il touche ses courbes avec un désir facilement perceptible au fond de ses prunelles, ce toucher qui le rend si vivant par cette chaleur qui envahit le bas de son ventre. De simples caresses suffisantes pour éveiller ses sens, apaiser son âme et le rendre fou de désir.

Il se laisse apprivoiser par le geste en haut de sa nuque, lui permet de prendre le contrôle sans vouloir se l'accaparer. Il n'a pas l'intention de reprendre le dessus, ni de repousser ce côté entreprenant qui s'active après des minutes à enflammer leurs corps par des messages. Il lui hoche seulement la tête en guise d'autorisation, pour l'inciter à poursuivre sa démarche terriblement tentante. Il se laisse emporter par le désir qui le consume davantage à chacun de ses baisers, qu'il parsème le long de son corps brûlant. Il pose sa bouche contre sa clavicule et son sternum, tandis que ses doigts lui prodiguent des caresses au niveau de son torse, avant de descendre jusqu'à sa taille et lui ôter sa ceinture. Son pantalon glisse contre ses jambes, alors que les lèvres de son ami poursuivent leur lancée en dévorant des parcelles de sa chair. L'excitation devient considérable sous ces contacts grisants qui activent immanquablement sa virilité, si bien que sa peau brûle. Ses nerfs se relâchant, sa frustration s'envole pour laisser exprimer son excitation, incarnée par des soupirs de plaisir qui se glissent de sa bouche. Sebastian parvient à attiser son désir par des baisers passionnés contre sa peau, qui l'allument indéniablement. Il a pu apprendre la manière pour parvenir à l'exciter autant, alors Adrian ne peut que plonger dans cette passion dévorante qui les anime tous les deux.

Ivre de désir, il le laisse attirer jusqu'au lit, ne bouge pas quand son bassin heurte le sien avec sensualité. Il dévoile toute sa capacité à être dompté, ne songe même pas à prendre le dessus sur lui et se laisse emporter par ce torrent de désir qu'ils traversent. Sebastian se presse contre lui, tandis que leurs lèvres s'unissent pour échanger des baisers passionnés. Par ce contact enivrant, Sebastian rend sa peau brûlante sous la sienne. Son excitation devient grandissante au fil de ses mouvements de bassin, quant aux gémissements, ils sont nombreux et retentissent à travers la pièce chaque fois que leurs bouches se séparent. Leurs chairs se délectent de la douceur de l'autre, de cette chaleur qui rend leur proximité étouffante. Ils approfondissent une intimité qu'ils ont pris le temps d'appréhender et de savourer au fil des semaines, et qui devient de plus en plus agréable tant leur complicité se répercute sur ce plan intime. « Je déteste, il souffle contre sa bouche avec ce sourire taquin, uniquement pour l'embêter. » La taille considérable de son sexe le trahit pourtant, devenant de plus en plus imposant au rythme de ses mouvements provocateurs. Il n'est pas au bout de son supplice lorsque Sebastian lui adresse quelques caresses exquises. Excité, le blond descend ses mains à l'intérieur de son boxer, caressant ses fesses avec gourmandise, pendant que ses lèvres titillent sans cesse les siennes. Il a chaud, beaucoup trop chaud. C'est fou comme il peut le surprendre, mais surtout enflammer ses reins avec autant d'intensité. Pas qu'il ne le jugeait incapable, mais son expression faciale témoigne de sa perplexité. Il découvre une nouvelle facette de sebastian : le séducteur qui entreprend et il ne peut pas nier qu'elle le pousse vers la satisfaction. « Ce n'est pas si désagréable, il commente seulement sans en dire davantage. » Après tout, tout son corps s'exprime pour lui. Sebastian n'est pas ignorant sur l'effet qu'il peut procurer au blond, il est le principal témoin du désir qu'il a lui-même suscité.

Les reins en feu et le corps enflammé, il s'accroche au bas de son dos pour onduler également ses hanches contre les siennes de cet air provocateur qui le définit si bien. « Tu t'es bien amusé ? il lance en souriant, en continuant de presser ses fesses avec avidité. » Il l'électrice par ses gestes au niveau de son intimité, ce qui lui soutire des gémissements multiples, témoins de son excitation féroce. La situation prend rapidement un tournant différent quand un souhait franchit ses lèvres. Je meurs d’envie que tu me fasses l’amour. Je veux te sentir. Un aveu qui le déconcerte, le trouble, mais qui rend la brûlure au creux de ses reins plus vive. Un aveu qu'il n'a pas l'habitude d'entendre, plutôt de sentir par un corps tout retourné et enflammé. « Laisse-moi jouer aussi avant, il répond à sa supplique, bien décidé à opter pour une forme de dominance à son tour. » Une main posée contre sa hanche, il retourne la situation en le poussant sur le lit pour prendre place au-dessus de lui. Il s'applique à une même torture que la sienne, dévorant son cou et son oreille avec lenteur, avant continuer sa route jusqu'à ses muscles visibles, qui savent tant le combler de désir. Il les parcoure de ses lèvres, les savoure pour le rendre aussi fou que lui. Il s'adonne à des caresses humides en glissant sa langue contre sa chair, avide de cette peau qui l'envoûte désormais. Il retire son boxer avec précipitation, avant de s'attaquer au sien, retrouvant tous les deux le contact du sol. Les yeux étincelants à la fois de malice et d'excitation, il les plante dans les siens avant de descendre jusqu'à ses aines, qu'il titille du bout de sa langue. Il pourrait frôler plus bas encore, mais estimant que le geste le tournerait vers la soumission, il remonte doucement pour rejoindre ses lèvres. Il le satisfait d'un baiser, tandis que sa virilité notable cogne la sienne avec plaisir. C'est à son tour de glisser ses doigts contre elle pour rendre le désir de Sebastian plus conséquent et vorace. Il la titille pour que ses yeux et son corps se laisse imprégner de cette passion, que la supplique ne tarde pas à résonner jusqu'à ses oreilles. « On fait moins le malin ? il le provoque au creux de son oreille, avant de la mordiller. » Il apprécie contempler ce corps aussi perturbé par sa présence, sentir les frissons qui parcourent sa peau, et cette anatomie bien développée contre la sienne. Rien de mieux pour le satisfaire et lui permettre de savourer ce moment délicieux.
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Sebastian Bramwell-Lewis
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Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier.
ADRIAN &SEBASTIAN

L’érotisme de cet instant partagé avec cet homme grisait ses sens comme jamais. Il était particulièrement exquis de voir son amant se laisser tenter par cette scène érotique qu’il mettait en place pour rendre sa chair brûlante contre la sienne. Il avait cruellement envie de lui. Leurs SMS échangés n’avaient fait que rendre ces désirs plus vifs et ils s’exprimaient avec brio, sensualité et volupté au contact de ce corps tentateur, qui savait s’octroyer toutes ses pensées. Ce pouvoir de dominer Adrian pour quelques minutes, exalté ses sens, rendait ses gestes plus séducteurs et empreints d’une avidité assumée. C’était si enivrant de le savoir si sensible à ses caresses, d’être victimes de ces mains baladeuses qui venaient accroitre leurs présences sur ses reins. Il se laissait embarquer par ses pulsions, son esprit embaumait par l’alcool qui le rendait plus gourmand, sensible, mais aussi franc. Il voulait lui faire tourner la tête, le rendre tout aussi friand de sa peau, même s’il avait le plaisir de le constater à chacune de leurs joutes charnelles. Chacune était sublimée par leur complicité et leur tendresse qui s’exprimaient naturellement entre leurs deux âmes. Adrian semblait apprécier leur étreinte, lui fit part de la réalité sans réellement s’épandre sur le sujet. Son regard brillant et pénétrant, tout comme l’état brulant de ses reins, de sa peau trahissait l’état prononcé de son excitation. Son corps vint même le trahir lorsqu’il vint onduler ses hanches contre les siennes avec impatience pour reprendre un semblant de contrôle sur la rencontre de leurs chairs affamées. « Oui… » Souffla-t-il dans un gémissement contre ses lèvres à sa question, l’expression troublée par le plaisir qu’il prenait de gouter de la sorte à ce corps qui lui faisait perdre la tête. Il avait cruellement envie de lui, de sentir sa chair se mêler à la sienne. Un désir qui s’exprima avec franchise au creux de l’oreille de son amant qui lui fit part de son attention de jouer à son tour.

Ce qu’il ne manqua pas de réaliser en venant reprendre le dessus. À son tour sur le dos contre les bras frais de son lit double place, il vint subir son assaut délicieux qui vint accroitre la chaleur accumulée au creux de ses reins. Il se mordillait la lèvre de plaisir, laissait parfois des frisons traverser le long de sa colonne vertébrale. Il vint gémir de plaisir aux taquineries de cette bouche, de cette langue affamée contre  sa peau ardente et friande de ces contacts déroutants et grisants. Il ne faisait qu’accroitre le désir qu’il éprouve de le sentir au creux de ses reins. Cet instant qui se rapprochait bien trop lentement à ses yeux tant ses reins brûlaient de cette fournaise délicieuse. Il l’observait le regard brillant, dévorer ce corps terriblement excitant qu’il avait appris à désirer sans crier garde. Son cœur tambourinait dans sa poitrine, endiablé par ce flot d’émotions vives et cette excitation qui le tenait prisonnier de ses chaines. « Tu es beau… » Souffla-t-il dans une voix éteinte par le plaisir alors qu’il venait gémir au contact humide de cette langue contre ses aines. Cet air malicieux affiché savait particulièrement ravir son cœur. Il lui donnait cruellement chaud et son excitation ne semblait pas perdre en force. La suite ne fut que délice. Ses lèvres contre les siennes, sa protubérance contre la sienne, le contact avide de cette menotte contre sa virilité. Il se laissait embarquer dans ce flot de sensations terriblement grisantes. Sa provocation susurrée dans son oreille, sa fierté réveillée par l’effet qu’il avait sur son corps, Sebastian fondait inévitablement, transportée dans cet univers délicieux. Il vint rire aux propos de son amant, laissa ses mains glisser sur le flanc de ses cotes, retrouver son dos, sa nuque tandis qu’il venait l’accueillir plus intimement entre ses cuisses. « Jamais, mais tu sembles bien t’amuser. » Taquina-t-il contre ses lèvres en venant l’embrasser avec sensualité. « Je ne voudrai pas amoindrir le plaisir que tu prends à me taquiner. Continue, je t’en prie. » Dit-il alors que ses prunelles vinrent retrouver celle de son amant.

Des paroles qui semblèrent rendre son amant plus malicieux encore dans ses gestes, ses mots. Il lui fit l’amour passionnément, laissant leurs chairs ardentes se retrouver dans une danse langoureuse, délicieuse qui devenait terriblement addictive. Sebastian se sentait tout simplement bien sous la coupe des reins d’Adrian, savourait la lueur du regard qu’il lui offrait à chaque fois que les chaines du désir les embarquaient dans un nouveau voyage vers ses contrées paradisiaques. Ce voyage fut tout aussi savoureux que les précédents, son âme marquée par les souvenirs heureux qui assaillaient son cœur depuis le début de la journée. Une remarque taquine de son amant le fit rire de plus beau, le ramena à la réalité alors qu’il profitait des derniers frisons. « Tu vas finir par prendre la grosse tête. » Dit-il avec provocation avant de rire doucement. « Ah oui, j’oubliais, tu l’as déjà. » Il lui tira la langue alors qu’il se trouvait victime des chatouilles de son amant qu’il lui rendit naturellement en cherchant à reprendre le contrôle avec une prise dont il était maitre. Il rouspéta comme toujours, provoquant de nouveau son rire naturel. Il était si heureux à cet instant. Son regard était brillant de cette lueur de bien-être qui ne quittait pas ses prunelles depuis le début de la journée. « Tu as de la chance qu’on doive redescendre écouter la fin des aventures de mon oncle, sinon je t’aurai torturé plus longtemps. » Son bassin nu contre le sien, il le taquina quelques secondes avant de prendre la poudre d’escampette en attrapant son boxer, le revêtant avant de lancer celui de son amant directement. « Le désert était-il à la hauteur ? » Demanda-t-il le regard brillant de malice, conscient d’obtenir une réponse taquine de son amant. Il s’habilla de ses vêtements avant de se regarder dans le miroir pour rajuster ses vêtements sous le regard amusé de son amant. « Ne te moque pas de moi. » Dit-il dans un sourire amusé et mutin avant d’ajouter : « Sinon pas de cadeaux. Vu l’heure, il ne devrait pas tarder à arriver. » Il vint rire doucement. « Nous verrons si tu as été assez sage. »

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Adrian Bramwell-Lewis
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Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier.
ADRIAN &SEBASTIAN

Leur moment d'intimité devient plus agréable encore quand leurs corps s'assemblent pour des mouvements de bassin délicats et sensuels. Adrian apprécie particulièrement cette étreinte lascive lancée par Sebastian, les initiatives qu'il exécute avec ce désir parfaitement lisible dans son regard. Il n'est pas indifférent à ses caresses, tout son corps s'enflamme pour les englober dans cette chaleur écrasante. Il sent celle de son ami qui se mêle à la sienne, ses soupirs de plaisir rien qu'en gesticulant sa virilité contre la sienne, tous les deux développées au rythme de ces frôlements affriolants et enivrants. Le blond se laisse chavirer par le corps de son ami, tout en savourant à son tour ses courbes exquises qui le comblent désormais de plaisir. Il admire ses courbes, les caressent par des poignes fermes mais sensuelles. Il devient passionné à cause de ce désir qui le consume, dévorant le corps divin de son amant, autant des yeux que de ses lèvres gourmandes. Le feu incandescent rend la brûlure de leurs chairs plus vive, la passion vorace et le désir plus conséquent, surtout quand un souhait particulier se glisse entre les lèvres de Sebastian. Il remarque ensuite sa beauté, s'adonne à un compliment qui soutire un sourire au blond. En guise de réponse et pour lui démontrer que la réciprocité est exacte, il s'applique dans des caresses luxuriantes et des coups de langue bien maîtrisés contre sa peau délicieuse. Il titille sa chair, envoûte Sebastian par des mouvements de bassin aussi provocateurs que les siens, avant de se fondre en lui. Il atteint le paroxysme du plaisir avec lui, l'excitation se propage dans tout son être, réchauffant toutes les parties de son corps longtemps négligées. Sa poitrine est envahie par cette douce et délicieuse chaleur, son cœur s'affole sous les coups de reins plus passionnés au fil des minutes.

Après un dernier coup de bassin, Adrian se pose à ses côtés en gardant un bras autour de sa hanche. « On semble tout perturbé Monsieur Lewis il souffle d'un air taquin, en repérant les quelques frissons qui parcourent sa peau. » Il lui rétorque que cette remarque lui vaudra à l'avenir une grosse tête, mais il rectifie en annonçant qu'il l'a déjà. Le blond se met à rire avant de lui adresser quelques chatouilles contre son corps nu, pour se venger de ses taquineries. Pourtant la bête malicieuse se laisse dominer par le Sebastian aussi joueur que lui, qui prend rapidement le dessus en s'appliquant à une torture identique, aussi vicieuse et amusante que la sienne. Adrian pousse un juron, faussement des soupirs d'agacement mais ne peut s'abstenir de déclencher son rire sous son emprise espiègle. Ils savourent un moment de complicité après avoir été happés par cette passion ardente. Le cœur éveillé par la douceur qui se dégage de cet instant agréable, Adrian sourit. « Dommage qu'on doive retourner en bas sinon je me serais vengé, petit insolent, il déclare avant de sentir sa virilité à nouveau contre la sienne. » Un contact aguichant qui pourrait allumer la flamme de désir à peine éteinte au creux de ses reins. Sebastian l'invite à faire preuve de sagesse, alors qu'il a un seul désir : entamer de nouvelles minutes bien passionnées. Au lieu de ça, il échappe à ses mains baladeuses, se redresse et enfile son boxer. « Ce n'était pas du quatre étoiles mais on fait avec. Surtout quand je considère que le dessert n'a pas entièrement satisfait ma gourmandise, il répond en souriant, dévoilant la frustration à laquelle il lui fait cruellement goûter. » Adrian le rejoint pour se vêtir à nouveau, afin d'être présentable une fois dans le salon. Il remet ses mèches blondes en place, complètement ébouriffées par les mains de son amant sous le coup de l'excitation. « A t'écouter je te taquine à longueur de journée... Faut dire qu'il y a de quoi se moquer, il rétorque en riant, fier de sa remarque, avant de remettre correctement sa chemise blanche. » Un sourire en coin et leurs apparences étant devenues correctes, ils ne tardent pas à retrouver l'euphorie familiale.

L'oncle venait de mettre fin à son discours concernant un événement de sa jeunesse quand ils prennent place sur le canapé. Sebastian désormais posé sur l'accoudoir, ils sont la cible des regards lancés par les convives, emplis de curiosité quand à leur longue absence. Quant à Grand'pa, il ne perd pas une minute pour charrier le blond par un coup d'épaule et sourire moqueur. « On se demande quel était véritablement ce cadeau à emballer... il souffle dans un regard complice qui rend la chaleur de son cœur plus vive encore. Passons aux cadeaux ! la mère s'exclame avec beaucoup d'enthousiasme avant d'en piocher un des siens. » Les gamins se précipitent également vers leurs jouets distribués par le Papa Noël, tandis que les adultes observent le déballage de chacun. La mère découvre celui d'Adrian, une parure de bijoux simples, pas extravagants mais sublimes, composés de perles de Tahiti. Elle semble l'extasier puisqu'elle vient délicatement déposer deux baisers contre ses joues, un sourire incrusté sur les lèvres. Le blond est d'autant plus comblé quand le père semble comblé par l'instrument reçu par son second fils. Une manière de les remercier pour l'invitation à apprécier Noël en leur compagnie, à défaut de pouvoir déclarer des mots bienveillants à leurs égards. C'est finalement à son tour d'en ouvrir un, qui provient de son meilleur ami au sourire déjà bien perceptible sur ses lèvres. Les yeux étincelants, il ouvre son cadeau précipitamment, mais seul Sebastian peut remarquer la lueur de malice logée dans son regard, qu'il emprunte chaque fois qu'il se comporte comme un gamin. Il découvre une place pour le comic-con de Wellington, ce qui réjouit complètement le blond. La tête tournée vers son ami, il se met à sourire en plaçant un bras autour de sa taille. Il semble transporté par la joie, il embrasse sa tempe en guise de remerciements. « Cadeau idéal, il commente doucement, ne parvenant pas à exprimer davantage ses émotions. » C'est à son tour de recevoir tous ces cadeaux, que sa mère lui tend avec impatience. « Il semblerait que tu aies été sage, il hausse les épaules en souriant devant le nombre de cadeaux disposés sur la table. » Des places pour savourer deux semaines magiques au Japon, un gros flacon d'un parfum, un bon contact vers qui se tourner pour exposer ses peintures, un portrait de lui pour qu'il remarque les progrès réalisés, un week-end dans une cabane de luxe dans les arbres avec jacuzzi. A son tour d'en déballer un.
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Bijoux mère : 1 ; 2 ; 3 ; 4
Cabane : 1 mais il peut choisir dans celles-là
Portrait de lui : 1
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Sebastian Bramwell-Lewis
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Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier.
ADRIAN &SEBASTIAN

L’instant partagé avec Adrian était délicieux tant sa simplicité le rendait heureux. Cette soirée était parfaite sur de nombreux points et il devait reconnaitre que la présence d’Adrian y était la raison principale. Il se sentait heureux, accompli d’être en mesure d’admirer cette lueur dans le regard à la fois malicieuse et bienheureuse, qui ne pouvait qu’accroitre sa propre plénitude. Il était si exquis de le voir agir avec tant de simplicité, de le savoir tout simplement bien, redevenant ce gosse qu’il aimait tellement. Ce petit moment de complicité semblait ravir leurs cœurs, si habitués à se taquiner comme deux grands enfants qu’ils demeuraient lorsqu’ils étaient en compagnie de l’un et l’autre. C’était tellement rafraichissant et ce moment de plaisir accordé ne faisait nullement exception à la règle. Après quelques remarques taquines et une bataille de chatouilles improvisées, ils s’étaient revêtus de leurs élégantes tenues pour être distingués pour le reste de la soirée. Il vint rire à la remarque de son amant, lui offrant un de ses plus beaux sourires. « Vraiment ? » Questionna-t-il en le regardant avec malice. « Peut-être que tu découvriras le meilleur plus tard. Je tâcherai de satisfaire entièrement ta gourmandise. Je sais que t’es un gros gourmand. » Dit-il en se mordillant la lèvre alors qu’il venait ajuster sa chemise. Il ne put s’empêcher de lancer de nouveau une boutade. La réponse de son amant ne manqua pas d’arriver, lui soutirant une moue boudeuse alors que son amant venait parfaire sa tenue. « Vilain ! » Dit-il en lui tirant la langue comme un enfant, ce qu’il redevenait en sa compagnie.

Ils vinrent retrouver l’ambiance chaleureuse des convives dont la plupart avaient à peine remarqué la durée de leur absence, mais qui leur lançaient des regards curieux. Seulement, ce n’était pas le cas de Grand’Pa qui ne manqua nullement de profiter de l’occasion pour taquiner son petit fils par un  coup d’épaule et une remarque. Sebastian sentit la gêne rendre son expression plus rayonnante qu’elle ne l’était déjà. Assis sur l’accoudoir, il observa la distribution des cadeaux. Une tradition dans la famille après le repas, une fois minuit passé. Ce qui était le cas présentement. Nullement pressé de découvrir ses cadeaux, il observa ses petits cousins déchirer les différents emballages de leurs cadeaux avant de s’attarder sur le présent réservé à sa mère et à son père comme la réaction d’Adrian à ses cadeaux. Il avait eu un petit budget, mais espérait que ces quelques présents sauraient ravir le cœur de son meilleur ami qu’il connaissait mieux que personne. Il était sûr d’obtenir son engouement, ce qu’il ne manqua pas de se produire sous ses yeux. Il découvrit les places pour le comic-con, l’édition limitée d’un dernier numéro de son héros préféré. Ce n’était pas les seuls, mais pour le moment, il ne semblait avoir aperçu que ceux-ci. Il lui restait à découvrir son cadeau commun avec ses parents : un week-end de parapente, mais aussi un cadeau plus personnel comme un portrait de lui dans le costume de son super héros préféré dans un style plus comic, qu’il ne maitrisait pas tellement.

Il espérait que leur découverte saurait emplir le cœur de son ami d’ondes positives et accroitre la lueur dans ce regard déjà bien vif et brillant de joie. Son bras autour de sa hanche comme ce baiser déposé sur sa tempe le dérouta comme le toucha profondément. « Ce n’est que le début pourtant. » Dit-il avec douceur en venant plonger son regard doux dans le sien avant que sa mère ne le rappelle à l’ordre. Il découvrit avec surprise l’ensemble des présents à son attention. Il y en avait plus qu’il ne l’avait envisagé. Il crut percevoir qu’une partie de ces cadeaux venait de son ami. « Je crois aussi. » Dit-il dans un fin rire. Il pensait à de nombreux cadeaux de faibles sommes. Après tout, généralement Adrian offrait un gros cadeau et ajoutait parfois quelques petits cadeaux de faibles sommes. Ce qui n’était pas le cas présentement. Il ouvrit délicatement l’ensemble des présents, tomba en premier lieu sur le gros flacon d’un parfum assez cher qui sentait délicieusement. Il était parfait pour lui. « Cela t’arrive d’avoir de bons gouts, je suis surpris ! » Taquina-t-il dans un fin rire alors qu’il ne voyait que cette voie pour ne pas sombrer dans cette approche que son amant considérerait comme sentimentale. Pourtant, la découverte des présents suivants le laissa sans voix. Ils le déroutaient par leurs significations alors qu’un sourire incontrôlable sur ses lèvres et que son regard se troublait face à la joie qui l’inondait. « Ils sont parfaits. » Dit-il dans un rire nerveux alors qu’il venait le prendre dans ses bras quelques secondes sans lui laisser la possibilité de refuser son étreinte. Il laissa même ses lèvres déposer une faible pression contre sa nuque en soufflant. « C’est ta faute, alors ne te plains pas. Tu vas devoir venir avec moi pour ce week-end dans une cabane de luxe. Je suis sûr que tu voulais juste réaliser un de tes fantasmes, petit coquin ! » Taquina-t-il dans un murmure en venant rire tendrement en se dégageant de lui, rompre tout contact. « Je suppose aussi que je dois t’embarquer avec moi pour le voyage ? » Demanda-t-il avec cette pointe de malice dans le regard. « Et si tu déballais tes derniers cadeaux. Faut croire que tu as été plus sage que prévu. » Dit-il en levant les yeux en l’air dans une moue faussement surprise.


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ADRIAN &SEBASTIAN

La joie qui inonde le cœur du blond est imposante, elle lui procure cette sensation de chaleur au creux de sa poitrine. C'est autant Sebastian que la famille Lewis qui lui administre autant de bonheur dans le cœur. Les taquineries lancées avec son meilleur ami après leur étreinte charnelle rendent sa gaieté plus vive. Adrian lui fait avaler que leur ébat aurait pu être plus jouissif, que sa gourmandise n'a pas été entièrement satisfaite, alors la victime de ses remarques espiègles se met en tête de régler ce détail. Les deux se cherchent comme à leur habitude, avec autant d'humour qu'ils sont capables, dans le seul but de déclencher le sourire de l'autre. Il apprécie particulièrement le rire de son ami, qui retentit chaque fois jusqu'à ses oreilles et envahit son corps de cette douce émotion. Même quand il rouspète faussement, il se surprend à se délecter de son air bougon qui le rend attendrissant. « Il va falloir être très persévérant pour satisfaire autant ma gourmandise... je te souhaite bon courage, il rétorque de son sourire en coin qui lui est propre, tout en le scrutant d'un regard empli de malice et moquerie. » Il poursuit ses plaisanteries pour le provoquer, entendre son meilleur ami râler face à sa voix railleuse et son expression dédaigneuse incrustée sur le visage.

C'est finalement au tour de la famille Lewis de le recouvrir d'un enjouement saisissant, et de le plonger dans cette ambiance conviviale. Ils sont chaleureux, agréables, attachants, si bien qu'Adrian brise la méfiance qu'il extirpe rarement, pour se laisser emporter par ce bonheur simple mais favorable pour son bien-être. A cet instant, il se sent pleinement à sa place comme jamais il n'en a eu l'impression dans sa propre famille. Même si sa couleur de peau est plus blême que les membres de cette famille, rien ne pourrait contester cet amour pur et bienveillant qu'ils éprouvent à son égard. Alors en guise de remerciements pour cette soirée festive à laquelle il a été invité avec son grand-père, Adrian a recouru à la seule forme d'amour qu'il sait offrir aux essentiels. Une matérielle, qui symbolise son attachement vis-à-vis de ces gens qui auront bouleversé son existence. De l'argent, dépensé sans réfléchir, sans compter. En grand radin qu'il est, c'est la plus belle manière de prouver son affection, de leur en accorder autant qu'ils en méritent. Elle semble leur satisfaire puisque chacun se réjouit de son cadeau respectif. Même si les réactions des parents lui soutirent un léger sourire sur ses lèvres, c'est notamment celle de Sebastian qui noie son cœur d'une délicieuse chaleur. « Je sais parfaitement ce qui te va bien. On pourra voir ta penderie prochainement, il rétorque sans se démonter, d'un air tout aussi taquin que celui de son ami, pour dévoiler une simple réalité. » Il le connaît suffisamment pour pouvoir déterminer certains éléments à son sujet, tels que des tenues vestimentaires ou caractères physiques qui mettraient en avant ses courbes élégantes. Il n'ignorait pas non plus le fait que la joie s'écoulerait dans ses veines en découvrant ses cadeaux. Il n'avait pas tort. Une fois les emballages déchirés, c'est le sourire de Sebastian qui apparaît sur son visage. Il lâche un rire nerveux, avant de déclarer qu'ils sont parfaits et de se loger entre ses bras. Adrian ne songe pas à échapper à cette étreinte, il serre à nouveau son emprise de son bras déjà attaché à sa taille, tandis que son autre main trouve refuge contre sa nuque. Il se laisse transporter par sa tendresse, ressent même quelques frissons contre sa chair lorsqu'il dépose un baiser furtif et doux contre son cou.

Il ne lésine pas sur les taquineries, les reprend avec autant d'énergie que d'habitude. Son émotion ne disperse pas leur humour toujours apparent dans la moindre situation. « Quelle corvée de devoir se prélasser dans un jacuzzi avec toi et une belle vue ! Et de te faire l'amour passionnément dedans... Ce sera plus pratique que dans notre cabane d'enfance... il souffle contre son oreille pour les dernières phrases, de ce ton sensuel dont il use pour l'allumer. Tu n'as pas trop le choix, le second billet est à mon nom. Mais si tu tiens à savourer ce moment avec quelqu'un d'autre, je pourrais toujours m'arranger. Je tiens quand même à te signaler que j'ai repéré un hôtel très charmant, avec une baie vitrée dans la chambre, contre laquelle on va pouvoir prendre notre pied. A toi de décider, sexy, il poursuit avec autant de chaleur dans son murmure, pour le rendre ivre de désir une nouvelle fois. » Sa spécialité étant d'enflammer ses reins autant que possible, il ne tergiverse pas pour répéter cette séduction. Rien n'est plus satisfaisant qu'observer l'effet qu'il peut avoir sur son amant, les sentiments qu'il lui procure avec facilité. Leur tension sexuelle devra pourtant rester intacte sans se libérer pour atteindre le paroxysme du plaisir, car les cadeaux n'ont pas tous été découverts. Sebastian s'extirpe de son emprise sans aucun doute trop électrisante et enivrante pour lui, lui désignant deux derniers présents qu'il doit déballer.

L'impatience le gagne, si bien qu'il ne tarde pas à déchiqueter les papiers, parsemant le sol par quelques bouts. Il détaille du regard le cadeau plus personnel qu'il détient sous les yeux. Un portrait de lui dans le costume de son super-héros favori : Batman. Si ce dessin provoque son rire en premier abord, il se laisse finalement attendrir par cette attention. Sebastian a visé juste, le connaît par cœur. C'est un fait indéniable. Il ne pouvait pas s'attendre à mieux pour noël. Il pivote son crâne dans la direction de son ami, pour lui offrir un sourire comblé et posséder ses lèvres un court instant. « Je suis Batman, shhhht, il chuchote en posant un doigt contre sa bouche pour qu'il garde la confidence d'une identité faussement acquise. » Une action exécutée chaque fois qu'il tient à le faire rire ; avec un air mutin qu'il apprécie. Un geste qui s'accordait au dessin et qu'il n'a pas pu s'abstenir d'entreprendre. Tellement heureux qu'il dévoile ce côté enfantin qui ressort toujours avec Sebastian. Il reprend finalement ses esprits et son sérieux pour déballer le dernier, qui est un collectif en collaboration avec ses parents. Il a le droit à un week-end en parapente pour s'initier à ce domaine, un de ses rêves qu'il avait pu citer dans des conversations naturellement partagées avec Sebastian. « Du parapente !!!! Génial ! Merci ! il s'extasie, moins sur la réserve. Tu me feras l'honneur de ta présence ? il interroge son amant en souriant, voulant savoir s'il se lancerait lui aussi dans le vide. » Il se déplace finalement jusqu'au sapin pour attraper un tableau finement emballé, tout en accordant une bise à la mère et une tape amicale contre l'épaule du paternel, en guise de remerciements. Il revient à sa place puis scrute son ami. « Tu en as oublié un. Il ne m'a rien coûté celui-là, juste plusieurs heures de travail, il annonce en lui présentant le cadeau, qu'il dépose sur ses cuisses. »
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Bijoux mère : 1 ; 2 ; 3 ; 4
Cabane : 1 mais il peut choisir dans celles-là
Portrait de lui : 1
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Sebastian Bramwell-Lewis
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MessageSujet: Re: Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier. (sebrian ♥) Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier. (sebrian ♥) - Page 2 EmptyMer 23 Mar - 23:24

Vive le vent d'hiver qui rapporte aux vieux enfants leurs souvenirs d'hier.
ADRIAN &SEBASTIAN

La complicité naturelle entre les deux jeunes hommes était réelle et profonde. Il suffisait de voir cette lueur de malice dans leur regard pour prendre conscience que cette longueur d’onde était indestructible. Ils ne se lasseraient jamais de se taquiner mutuellement, de chercher le sourire ou le rire de l’autre, de laisser leur être s’enliser dans ce bien-être simple et si addictif. Après ce petit interlude coquin et complice, ils avaient rejoint l’ensemble de sa famille pour découvrir les magnifiques présents que le Père Noël. Tout le monde semblait avoir été sage tant l’amas de cadeaux était conséquent. Sebastian avait regardé avec beaucoup d’attention et d’affection la découverte d’une partie de sa famille, s’attardant particulièrement sur les réactions de son meilleur ami, qui semblait particulièrement satisfait par ceux qu’il lui avait offerts. Ce baiser contre sa tempe, doux et intime, mais aussi déroutant et envoutant, était bien là pour lui prouver. Cela emplissait son cœur d’une douce chaleur qui enlisait toute son âme de sa délicieuse couverture. Il se nourrissait de ce bonheur simple, laissait ses prunelles parcourir les traits détendus et enfantins de son ami. Il était si exquis de le voir agir de la sorte, d’être ce petit blondinet enfantin qu’il affectionnait tellement et qu’il était si doux de retrouver. Cependant, on attira rapidement son attention pour l’inviter à découvrir ses propres présents. Par la remarque taquine de son ami, il vint comprendre que la plupart venaient de lui. Cela n’était pas surprenant. La plupart du temps Adrian offrait des petits présents en plus d’un cadeau plus onéreux, mais il était évident que Sebastian ne s’était pas attendu à une telle découverte. Afin de masquer son côté sentimental, le jeune hispanique se lançant dans des répliques mesquines auxquelles son amant et ami vint répondre sans détour. « Dis que je ne m’habille pas bien, vilain ! » Son ton était boudeur, ce qui dénotait clairement de la lueur espiègle de son regard. « Je suis curieux de voir ça ! » Un sourire fin se figea sur ses commissures alors qu’il venait déballer la suite, rendant sa surprise et sa joie que d’autant plus vive.

Il ne put que rire nerveusement en le remerciant à sa manière par une étreinte inévitable tant ces présents avaient une portée déroutante. Une étreinte qu’Adrian renforça par le frôlement de ses mains contre sa hanche et sa nuque, rendant leur étreinte plus intime et ressourçant. Il lui exprima son plaisir par des remarques taquines, un baiser au creux de sa nuque. La réponse de son amant le déroutait, échauffait délicatement la chaleur qui envahissait aisément le creux de ses reins avec son amant. Les images qu’il lui faisait miroiter son amant étaient délicieuses. Il lui tapa gentiment l’épaule du coup de son poing en venant s’éloigner de lui, le regard brillant, le sourire espiègle. « Tu aurais été contraint de me suivre de toute façon. » Il vint rire doucement avant de l’inviter à déballer ses derniers présents que son ami découvrit immédiatement. Il l’observa avec plaisir arracher les papiers-cadeaux et découvrir le portrait qu’il avait réalisé de lui, en secret, dans le costume de son superhéros préféré. Il ne put s’empêcher de rire en écho à celui de son ami. Il était persuadé qu’il réagit de cette manière, mais il lisait clairement dans ses prunelles le délice qu’il ressentait à sa découverte. Une réalité qui se fit plus profonde lorsqu’il le vit réaliser ce petit geste qu’il usait parfois pour l’amuser. Ce qui fut le cas présentement. Il était difficile de résister à cette expression mutine lorsqu’elle rendait ce regard clair d’autant plus pénétrant et brillant. Il fondait indéniablement, d’autant plus désormais qu’il était amoureux de cet homme. « Désolé. Ton secret est découvert. » Sa voix était rieuse alors qu’il le laissait découvrir son dernier présent. Son dernier présent sembla enthousiasmer son amant, provoquant une réaction à la fois attachante et surprenante de sa part tant il le sait généralement sur la réserve. Cela ne peut que le ravir d’autant plus. Il lui demande s’il voudra bien l’accompagner. Une remarque qui vint le surprendre malgré lui. Il faut dire qu’il s’attendait à le voir partir en week-end en compagnie d’un de ses amis plutôt que lui.

« Avec plaisir, comme ça tu pourras te moquer de moi. Je sais que c’est ton passe-temps préféré. » Sa voix était taquine tandis qu’il voyait son ami se diriger de nouveau vers le sapin en venant remercier à sa façon ses parents pour ce beau cadeau. Sebastian savait qu’il le désirait depuis un petit moment. Il revint vers lui avec un cadeau qu’il lui tendit en le scrutant. Il ne lui avait rien coûté, si ce n’est quelques heures de travail. Sebastian le regarda avec curiosité, sachant indirectement ce qu’il s’y trouvait dedans. Il devait s’agir d’un dessin, mais cela l’intrigue particulièrement de connaitre le sujet. Il le découvrit avec surprise, venant retrouver ses traits dans des coups de crayon très étudiés et techniques. Il resta bouche bée devant la réalisation. « Il est magnifique, Adri ! » Dit-il en venant soigneusement étudier chaque trait. « Tu t’es grandement amélioré. Ton coup de crayon est encore un peu brut sur certaines parties, mais ta technique s’est grandement améliorée. » Son regard était brillant de bonheur et de fierté. « Tu vas finir par me surpasser si tu continues. Je vais avoir un sacré concurrent. » Dit-il en lui donnant un petit coup d’épaule. « À moins que ça ne soit moi qui éveille ton côté perfectionniste. » Il lui tira la langue en riant. Cette soirée était parfaite, que pouvait-il demander de plus ? Il avait tout pour être heureux.


-- FIN --
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