La réception a été parfaite. La venue inopinée des parents de Yano a enchanté l’ensemble de leurs convives, constitué de proches, qui n’ont pu que savourer la signification de leur présence. L’amour a triomphé sur les valeurs archaïques d’une vieille famille et c’est le plus beau des cadeaux de mariages qu’il aurait pu escompter. Le bonheur éprouvé est total, atteint l’apothéose de la décence. Yano se laisse baigner par ce moment merveilleux, plus souriant et naturel que jamais. La félicité inonde son être dès lors qu’il pose son regard sur le visage si angélique de son époux. Cette réalité le déroute d’autant plus qu’il prend conscience qu’il s’agit de la vérité. Il meurt d’envie de se retrouver seul avec lui, mais se plie de bonnes grâces aux us et coutumes qui sont nécessaires pour célébrer leur mariage. La nuit est tombée depuis bien longtemps et on peut même décerner le soleil à l’horizon qui se réveille après une courte nuit. Les derniers convives finissent par les inviter à prendre la poudre d’escampette pour profiter de leur lune de miel qui commencera dès qu’ils auront quittés ce lieu si idyllique pour fêter une telle union. Aika lui promet que la situation est sous contrôle et qu’elle va s’occuper de tout le reste comme il l’avait été convenu. Cela lui permet d’obtenir le feu vert pour profiter pleinement de son âge, loin de toute cette agitation. Ils s’éclipsent alors sous l’acclamation de leurs invités avant de se rendre dans leur appartement pour récupérer leurs affaires. Yano en profite pour se glisser derrière le dos de son amant pour le prendre dans ses bras, s’enivrer de son odeur. Il dépose un baiser contre son omoplate. « Monsieur Yoon-Wada. Cela sonne particulièrement délicieux, tu ne trouves pas ? » Il murmure contre son oreille qu’il embrasse avec douceur et dévotion. « Mais je ne compte pas le laisser dormir paisiblement. J’ai envie de lui faire l’amour comme lors de notre première fois. Tu crois que c’est possible ? » Il demande en venant parsemer sa nuque de baisers avant de relâcher son emprise pour prendre sa valise, prêt à partir. « Prêt à découvrir notre destination de rêve. Tu vas vouloir y rester à tout jamais. » Il sourit de toute ses dents, sûr que son amant affectionnera cette île déserte au décor paradisiaque et qui sera la leur durant près d’une semaine. De quoi le rendre définitivement fou de joie, n’est-ce pas ?

Un éternel sourire était figé sur ses lèvres depuis de nombreuses heures, il lui était tout simplement impossible de ne pas être heureux aux côtés de cet homme. A présent, ils n’étaient plus deux amants, mais deux âmes qui s’étaient unis pour ne former plus qu’un aux yeux de la loi. Ils étaient maris, rien ne pouvait détruire leur bonheur ! Ki Suk faisait partie des plus heureux des hommes, tout comme son amant qui était venu le prendre dans ses bras, s’enivrant de son odeur. Le coréen appréciait ce doux baiser contre son omoplate, tout comme les mots qu’il avait murmuré contre son oreille. « Très bien Monsieur Yoon-Wada… un peu trop bien.  ». Son amant ne comptait pas le laisser dormir paisiblement, il avait envie de lui faire l’amour comme lors de leur première fois. Il lui demandait qu’il croyait cela possible. Bien entendu que cela était possible aux yeux de Ki Suk qui avait fantasmé sur son amant dès lorsqu’il avait vu habillé dans ce costume qui mettait si bien en avant ces formes. Le coréen sourit à cet homme lorsqu’il lui demanda s’il était prêt à découvrir sa destination de rêve, lui indiquant même qu’il voudrait y rester à tout jamais. Des mots qui l’amusèrent alors qu’il se retournait contre son amant, venant affronter son regard brillant avant de murmurer simplement dans une voix suave : « Je suis prêt à partir avec toi cette destination, découvrir à nouveau les plaisirs de la chair à tes côtés comme la première fois… c’est en quelque sorte notre première fois, la première fois que nous allons nous unir en tant que maris… . Même s’il se considéraient comme des maris depuis de nombreux mois, à présent leur union était officielle et ils débutaient une deuxième étape de leur vie. « J’espère juste que nous avons la même notion de lieu paradisiaque et que tu ne m’emmènes pas au milieu d’une forêt rempli de créatures magiques. Le fait de se marier ne m’a pas encore transmis ta passion pour ces dernières… !  » taquina-t-il avant de voler un tendre baiser à son amant, le regard brillant de joie.  Ki Suk savait que Yano n’était pas encore assez fou pour cela, même s’il avait préparé sa valise en douce pour ne pas qu’il puisse se douter une seule seconde de leur destination finale.  Ki Suk vint mordre avec douceur les lèvres de son amant, glissant sa main sur le costume de son amant, ajoutant simplement : « Il me tarde de t’enlever ce costume et te dévorer de mes lèvres…». Ki Suk offrit un délicieux sourire à son amant. Peu importe là où ils iraient, Ki Suk passerait les meilleurs jours de sa vie, il n'en avait aucun doute.

Yano profite de cet instant de répit. Bien qu'il fut heureux de partager ce moment avec l'ensemble de ses proches, il demeure particulièrement friand d'être en compagnie de son amant, seul. Il sourit aux propos de son amant. « J'aime cette réalité. » Il susurre contre sa peau dont il s'enivre de son odeur si exquise. Il compte faire de cette semaine qui va suivre un souvenir qu'ils chériront pour le reste de leur vie. Ils retrouvent la lueur pétillante du regard de son amant avec délice. Il adore tellement le voir empli de ce bonheur enivrant. Il savoure ses paroles, un sourire attendri sur les lèvres. « Je te ferai rêver dans ce cas là ! » Il resserre son étreinte autour de la taille de son mari pour savourer son contact. Il éclate de rire à ses propos. Son regard se remplit d'une teinte d'amusement. « Ce qui est bien dommage ! » Il sourit à ses propos, pas sérieux pour un sou. Il  sait que son amant ne partagera jamais sa passion, mais cela ne le dérange pas. Il savoure le baiser qu'il lui volé, y répond avec la même douceur, le regard tout aussi brillant de bonheur. Une félicité qu'il ne camoufle pas. Elle imprègne l'ensemble de ses membres. Il respire ce sentiment de bien-être et ne le cache pas. Il laisse son amant jouer de ses caresses sur son torse à travers le tissu de son costume. « Cette idée est délicieuse. J'ai hâte de voir être mise en application. » Son regard pétille de malice. « D'ailleurs et si on le faisait rapidement en partant immédiatement ? Tu n'as rien oublié ? » Il sourit contre ses lèvres qu'il embrase furtivement avant de prendre ses bagages, prêt à partir. Ils n'ont plus qu'à se rendre jusqu'à la zone de transplanage pour découvrir leur destination de rêve.

Ki Suk avait bien du mal à garder son calme en compagnie de Yano, un sourire ne quittait pas ses lèvres, sentant son cœur battre plus rapidement dans sa poitrine. Il avait hâte de pouvoir profiter de leur voyage de noce pour s’aimer comme s’il s’agissait de leurs premières fois avec son amant, souhaitant rêver. Yano le lui promettait d’ailleurs, des propos auxquels il ne pouvait pas douter tant il était l’unique à pouvoir le rendre si heureux et comblé.  Ki Suk y arrivait parfaitement lui aussi, aimant entendre son amant rire, lui indiquant qu’il était bien dommage que sa passion pour les créatures magiques ne lui soient pas transmises. « Je préfère me préoccuper seulement de la créature magique et merveilleuse que j’ai sous les yeux. » . Une très belle créature qui avait capturé son cœur depuis de nombreuses années et qu’il n’était pas prêt d’abandonner, ni confier à une quelconque personne.

Ki Suk avait embrassé ses lèvres avec délice, s’amusant à lui susurrer des mots taquins alors qu’il caressait son torse avec attention, désirant éveiller la passion de son amant. Yano ne manqua pas de réagir positivement à ses propos, ayant hâte d’être mise en application. Ki Suk connaissait bien trop son amant pour douter du contraire. Son amant lui proposa de partir immédiatement, lui demandant s’il n’avait rien oublié. Ki Suk sourit tendrement à son amant qui venait de prendre ses bagages, prêt à partir pour l’aventure. Ils ne mirent que quelques minutes avant d’atteindre la zone de transplannage et ce fut sans grande difficulté qu’ils arrivèrent à destination.  

Et autant dire que Ki Suk resta bouché bée de nombreuses secondes. Il ne s’était nullement attendu à se retrouver devant la porte d’une maison au style méditerranéen ou occidental, sur un bout de terre qui semblait être une petite île, les laissant sans doute seul au monde. Si Ki Suk avait déjà un sourire aux lèvres, celui-ci ne put que s’agrandir d’autant plus en laissant tomber sa valise sur le sol et en venant voler un merveilleux baiser à son amant. Ki Suk souriait et il murmura simplement : « Yano ! C’est absolument parfait, vraiment parfait. J’espère seulement qu’il ne va pas y avoir une sirène qui va t’accaparer…». Ki Suk termina ses mots en venant l’embrasser avec sensualité, jouant avec sensualité avec le tissu du costume de son amant. « Je compte bien être un très bon concurrent ! Que tu ne vois que moi… qu’en penses-tu ? ».

Il est sûr que le lieu opté pour leur lune de miel saura ravir le cœur de son amant. Quoi de mieux qu’une île déserte perdue au nulle part dans une villa de rêve. Le soleil à longueur de la journée, une eau à la couleur azur transparente. Un cadre idyllique pour passer une semaine de rêve à profiter de l’autre, d’une intimité qu’ils aiment tellement savourer en compagnie de l’autre. De ce fait, il patiente que son amant prenne à son tour ses valises pour l’inviter à le suivre. Son cœur bat vivement dans sa poitrine, transporté par ce bonheur débordant qu’il ressent depuis des heures et qui inonde sa poitrine. Ils arrivent rapidement à la zone de transplannage et Yano vient lier sa menotte à celle de son amant. Il pense à leur destination, laisse le lieu imprégner son esprit et le sort est jeté. Ils sont transportés jusqu’à ce lieu qui deviendra leur demeure pour une semaine. « Nous y voilà ! » Il s’exprime après s’être remis du voyage en laissant son amant découvrir les lieux. Il est satisfait d’y lire son émerveillement et sa surprise dans ses prunelles si brillantes de cet enchantement qu’il a tant désiré provoquer. Il se laisse entrainer dans un baiser merveilleux, y répond avec la même ivresse. « Nulle inquiétude à ce sujet. Cela fait bien des années qu’un ange s’est accaparé mon cœur. » Il souffle contre ses lèvres qui retrouvent les siennes. Le baiser gagne en sensualité. Il glisse sa menotte dans sa nuque, lâche sa propre valise pour s’enivrer de ce contact qui lui fait toujours autant perdre la tête. « À toi de me prouver que les anges sont plus enivrants et envoutants que les sirènes. » Il le provoque de son ton suave. Son regard est pénétrant, empli de tendresse et d’amour qu’il a pour cet homme qu’il chérit si cruellement. Son cœur bat la chamade et il compte bien profiter de cette journée, nuit, qui signe leur première journée entre véritables époux.

Ki Suk ne s’était jamais imaginé pouvoir profiter de cette semaine de bonheur dans un lieu si paradisiaque, il était particulièrement surpris. Il savait qu’il passerait de formidable journées en la compagnie de son amant et à présent mari. Mais, à présent cela n’était pas vraiment son problème, il voulait seulement profiter de l’homme qui était devenu son mari, après avoir passé tant d’heures en sa compagnie. Le coréen avait embrassé avec envie son amant avec, ravi de l’entendre dire qu’il n’avait pas d’inquiétude à se faire à ce sujet, ayant réussi d’accaparer son cœur depuis de nombreuses années. Il souriait tout contre lui, venant le taquiner, lui suggérant de lui prouver à quel point les anges étaient enivrants et bien plus envoutants que les sirènes. Son ton s’était fait suave et Ki Suk était bien incapable de résister à cette invitation à la débauche. Son regard était devenu plus brillant, se laissant porter par les désirs qui gouvernaient tout son être.

Ki Suk était ravi de pouvoir profiter de cet homme après tant d’heures ! Il lui offrait un délicieux sourire avant d’emmener Yano à l’intérieur de la maison. Il ne fit même pas attention à l’environnement de la maison, il se concentrait sur cette délicieuse bouche qu’il était en train d’embrasser avec attention. Ces mains vinrent se glisser sur son costume pour défaire sa veste et le laisser en chemise, détachant chacun des boutons qu’il avait sous ses doigts. Il ne lui enlevait pas sa chemise, mais il prenait un plaisir certain à caresser sa poitrine musclée, ravi de sentir le corps de son amant frissonner pendant qu’il l’embrassait avec envie ses lèvres. Il soupira le nom de son amant avant de desserrer légèrement sa cravate pour dévorer sa nuque de baisers : « Le repas du mariage ne m’a pas suffi, j’ai très faim et je mangerai bien un dessert… ». Yano faisait un très bon encas qui ne pourrait que le rendre d’autant plus gourmand. Ki Suk était prêt à tout pour profiter de ces instants de luxures avec son amant ! Ki Suk vint pousser délicatement son amant contre le bar de la cuisine, glissant ces mains sur ses hanches, appréciant caresser ces formes si tentatrices. Yano n’omettait aucune résistance à son désir et cela l’enchantait d’autant plus, ce dernier réagissait positivement à chacune de ses attaques. Ki Suk vint mordiller l’oreille de son amant en susurrant dans un voix suave : « Je rêve de te dévorer depuis bien trop longtemps mon amour ! ». Ki Suk comptait bien entendu prolonger ces instants de sensualité, mais pour l’instant il comptait éveiller le désir de son amant, avant de passer aux choses sérieuses. La température avait subitement augmenté et cela lui convenait, aimant tant quand cette chaleur prenait part dans son corps. « Tu es prêt à subir les assauts de ton ange préféré ? ». Ki Suk lança à Yano un regard profond avant de reprendre les lèvres tentatrices et pulpeuses de son amant.

Le cadre est idyllique et il compte bien profiter de l’environnement et de la maison louée en compagnie de l’ange qui fait partie de sa vie. Cet homme aux traits si délicieux qui éveille si profondément son affection et son désir. Il savoure cette ambiance sensuelle qui se met naturellement en place entre eux. Ils ne semblent jamais rassasiés de laisser leurs chairs ardentes s’offrir une étreinte torride. Ils ne cessent d’en redemander continuellement tant cette félicité ressentie est déroutante et addictive. Ils se provoquent tendrement, se charment avec cette aisance qu’ils ont sur les pensées cupides de l’autre. Ki Suk se saisit de l’invitation pour lui retirer les boutons de sa chemise afin d’y glisser ses menottes chaudes et ambitieuses retrouver les courbes de son torse. Il le laisse user de ses charmes, se laisse envouter par le regard pénétrant qu’il lui offre par ses paroles enchanteresses. Le toucher de ses commissures contre sa nuque l’enivre alors que son cœur s’endiable dans sa poitrine. Il aime le sentir si conquérant, ne se lasse jamais de le voir si avide d’enflammer sa peau et ses reins. En amant soumis et sensible à ses charmes, il se laisse bloquer contre le bar présent dans cette maison qui va accueillir leur couple pour la semaine à venir. Les menottes de Ki Suk se font gourmandes sur ses formes qu’il dévêt sous son toucher voluptueux. Ses paroles lui soutirent un sourire enchanté. « Alors, fais-toi plaisir. » Il souffle dans une voix chaude. Il est impatient d’être dévoré sous ses caresses et baisers. Il n’y a rien de plus délicieux que de sentir ses reins s’endiabler sous le frôlement de l’avidité de cet homme. Ki Suk a pu s’en assurer de nombreuses fois lorsqu’il se montrait gourmand par le passé. « Plus que jamais. » Il souffle contre cette bouche qu’il dévore à son tour avec sensualité et appétit. « Tu sais bien que j’adore subir ses assauts. Il était tellement érotique quand il se lâche. » Sa voix est suave, son regard profondément charmé est ancré dans les prunelles brillantes de son ange. Il désire se laisser happer par cette délicieuse sensation.

Le coréen avait particulièrement envie de profiter de ces instants en compagnie de son amant, gourmand et impatient de découvrir à nouveau le plaisir de la chair et de la luxure. Il venait détacher un à un les boutons de la chemise de son amant, glissant ses mains sur son torse pour le caresser avec une envie certaine. Ki Suk souriait à son amant, ravi de l’entendre continuer dans cette voie, même s’il n’avait aucun doute sur la volonté de son amant.  Yano adorait subir les assauts de son ange préféré, le jugeant particulièrement érotique quand il se lâchait. Le ton suave de son amant ne le laissait résolument pas de marbre, si bien qu’il ne put que vouloir rendre ces instants toujours plus langoureux. Il était tout aussi impatient que son amant et il voulait jouer avec les sens de son amant. Ainsi, il vint tout simplement détacher la ceinture, détachant sa braguette alors qu’il laissant son pantalon tomber un petit peu. Voir Yano dans cette tenue était particulièrement attirant, éveillant son désir et son envie de son amant : « Tu fais un fabuleux dépravé, je pourrais presque immortaliser ça en photos tellement t’es sexy…». Il prononça ses mots dans un ton suave avant de passer sur le boxer de son amant pour réveiller son soldat. Ces lèvres vinrent descendre progressivement sur son torse, en soupirant le nom de son amant, laissant sa langue goûter à ces deux boutons de chairs pendant quelques secondes.  Son autre main venait caresser les fesses de son amant avec attention, ravi de voir le corps de son amant réagir positivement à ses attaques.  Ces lèvres descendirent sur ses abdominaux dans un rythme particulièrement lent, jusqu’à atteindre la limite de son boxer. Le jeune homme s’amusait à rendre fou son amant.

Dans un doux sourire, il vint remonter ces lèvres jusqu’au haut de son torse, l’embrassant de manière passionnée. Ces mains s’amusaient à réchauffer chaque moindre parcelle de sa peau, caressant ses fesses et à nouveau ce soldat emprisonné dans ce boxer. Ces lèvres s’attaquèrent à leur compères, mordant ces lèvres avec envie, l’embrassant avec sensualité alors qu’il ajoutait simplement dans une voix suave : « J’aime sentir ton corps s’échauffer… ». Il ponctua ses mots dans un sourire avant de glisser délicatement sa main dans ce boxer pour se saisir de son soldat, ravi d’entendre les soupirs de son amant qui ne demandait qu’à être une victime de son ange.

Yano laisse son amant prendre les rênes de leur étreinte. C’est une véritable source de plaisir pour le métis qui apprécie particulièrement la lueur de ce regard gourmand comme la pression de ces doigts conquérants sur sa chair qui s’offre à sa vue. Il sait son corps séduisant, l’effet grisant que ses formes ont sur l’ambition de son amant et dorénavant époux. De ce fait, il le laisse savourer cet instant en se donnant à lui. Il est à sa merci et cela semble endiabler les désirs cupides de son compagnon. « Ton père a déjà bien commencé, il y a des mois. Tu peux faire une série de photos encore plus cochonne, si tu le veux vraiment. » Son sourire est éclatant. Il rayonne, le dévore du regard alors qu’il se fait dévêtir et dévorer par ces doigts qui glissent sur ses formes, sa virilité. Il savoure la caresse, laisse cette chaleur envahir les pores de sa peau. Il est vraiment accro à cette manière dont son amant à de s’approprier sa chair, l’enflammer. Il profite de ces contacts envoutants, laisse son excitation s’accroitre dans le creux de ses reins. Il n’a aucune raison de se restreindre et il l’observe faire, jouer avec ses pulsions. Il se pince la lèvre, laisse un léger gémissement s’exprimer entre ses lèvres lorsqu’il empoigne sa virilité en remontant à ses lèvres. Il répond à ce baiser, en profite pour lui retirer sa chemise. « Déshabille-toi. » Il ordonne dans une voix chaude. « Je veux voir l’effet que je lui fais. » Il souffle en venant desserrer sa ceinture pour ouvrir son pantalon et empoigner cette virilité. « Je sais que tu aimes me chauffer, me dévorer de la sorte. Je te veux nu. Je veux voir ton corps s’enflammer par le plaisir qu’il prend de me dévorer. » Des paroles coquines, qui laissent apparaître son désir plus qu’évident. Il s’exprime clairement, sachant parfaitement que son amant s’appliquera à l’obéir avant de le dévorer, s’approprier son excitation. Tout ceci est un jeu auquel ils aiment terriblement jouer. Son regard est brillant de cette complicité nécessaire pour qu’ils profitent pleinement de tout ceci, en accord, leurs cours devenus fous au sein de leurs poitrines.

L’homme sage et droit n’existait plus vraiment lorsqu’il s’agissait de luxure en compagnie de son amant. Ki Suk devenait un autre homme particulièrement gourmand et plus imposant, un fait qui ne déplaisait nullement à son amant qui l’incitait à poursuivre dans cette voie. Ki Suk observait avec attention et plaisir son amant dans cette tenue décadente, si captivante. Le coréen aurait bien pris à nouveau une photo du corps de son amant, des paroles qui avait plus à son amant qu’il lui énonçait que son père avait déjà bien commence, il y avait des mois. Il pouvait réaliser une série de photos encore plus cochonne, s’il le souhaitait. Des mots qui le firent sourire alors qu’il lui répondait dans une voix suave : « Un jour je m’y lancerai, mais je les garderai précieusement dans un coffret sous scellé magique… ces photos me seront réservées. Si un jour, nous avons des enfants, je ne voudrais pas qu’il tombe dessus… » Il avait prononcé ces mots dans un doux sourire avant de continuer à éveiller les sens de son amant, laissant ses lèvres et ses doigts découvrir ce corps avec envie.

Yano reprenait en quelque sorte les mains de ces échanges, l’ordonnant de se déshabiller dans une voix chaude et autoritaire. Il lui avait enlevé sa chemise et avait déserrée sa ceinture pour empoigner sa virilité. A ce geste, Ki Suk n’avait pu que gémir, fermant les yeux, sentant son corps brûlait de désir pour cet homme. Yano affirmait qu’il aimait le chauffer, le dévorer. Il le voulait nu, voulant voir son corps s’enflammer par le plaisir quand il le dévorait. Une proposition à laquelle Ki Suk eut bien du mal à résister alors qu’il souriait à son amant, l’embrassant avant de se dévêtir rapidement pour lui permettre de profiter allégrement de la vue.  Il ne mit que quelques secondes de plus pour le réaliser, offrant à son amant une délicieuse vue avant de venir coller leurs corps, laissant leurs soldats se rencontraient pour la première fois dans leur vie de maris. Un fait qui était tout à fait grisant pour le jeune homme qui venait gémir contre les lèvres de son amant. Il venait l’embrasser de manière langoureuse, glissant ses doigts contre son dos pour rejoindre ses fesses musclées qu’il aimait particulièrement caresser. Souriant, il ajoutait simplement dans une voix suave : « La vision vous plait monsieur Yoon-Wada ?  ». Sans aucun doute que oui, à présent que son souhait se réaliser. Ki Suk aimait sentir le regard embrasé de son amant. Ki Suk remonta ses lèvres jusqu’à atteindre le lobe de l’oreille de son amant, s’amusant à jouer de sa langue pour éveiller le désir de cet homme. Il venait rapprocher leurs corps pour lui montrer à quel point il avait envie de lui, tel un amant affamé.