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 Affolement des sens. Maxden

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Maximilian H. Johnson
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MessageSujet: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyVen 31 Juil - 15:45


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Lundi matin retour au bureau. Costume, cravate de rigueur. Sourire aux lèvres . Voix amicale. Rien ne laisse paraitre les idées qui envahissent mon esprit depuis deux jours. Samedi soir  j’ai accepté de te suivre dans un lieu de luxure. Ou la débauche était le centre des attentions. Les corps se frôlaient sans gêne, sans modération. Les couples se liaient et se délaient entrainant avec eux des inconnus. Le sexe comme complice, la jouissance comme but extrême. J’ai été troublé par ce que j’ai vu. Par ses corps nus qui brisaient toutes les barrières, même les plus intimes. Osant aller sur des sentiers sinueux juste pour le plaisir de la chair. J’ai surtout été étourdi par le désir qui émanait de ton regard alors que tu les voyais s’embrasser, se caresser, se donner. J’ai senti tes envies se décupler, se faire dévorantes face à ces deux hommes qui nous ressemblaient un peu dans la différence d’âge. Ils semblaient à leur aise dans ce jeu de l’effeuillement et de la découverte du plaisir de l’autre. Poussé par tes pulsion tu as été plus tactile, cherchant à m’exciter avec habileté. Être réellement réceptif était complexe. La sensation d’être regardé, envié, était dure à gérer. Pourtant l’envie est venue. Et j’ai apprécié ton soutien, le fait que tu cherches à me mettre à mon aise en nous trouvant un coin plus discret. Même si nous avons fini par être observé. L’instant a été troublant je dois le reconnaitre. Et même deux jours après j’ai encore la sensation que tu me dévores de tout ton être. La luxure ne nous a pas quitté durant les heures qui ont suivi, même une fois chez nous cette faim à peine rassasiée nous a enchaîné l’un à l’autre. Comme des affamés. J’en suis encore tout retourné. Je ne peux nier que j’ai aimé, même si personne ne sait réellement mis entre nous. Je sais que c’est un pas, mais reste encore des doutes, des peurs. Ma pudeur trop forte pour accepter d’être toucher ou embrasser par un autre. Et encore moins posséder. Il reste du boulot avant de me voir autant à l’aise que toi dans cet univers que je connais si peu. « Monsieur Johnson la réunion va bientôt commencer. » Je sursaute presque quand j’entends la voix de ma secrétaire qui me rappelle à l’ordre. Elle a même ouvert la porte. « Désolé vous ne répondiez pas à mes appels. Et j’ai frappé au moins trois fois avant d’entrer. »

Ailleurs j’étais ailleurs dans un monde où il n’y avait que toi et moi. Et nos envies de luxure qui venaient nous titiller, alors que je dois bosser. « Oui je lisais un dossier et je n’ai pas fait attention. Désolé. J’y vais. Merci. » Je dois même être rouge comme une pivoine, heureusement qu’elle ne s’est pas plus approchée. Sexy boy tu auras ma peau avec tes corps à corps toujours plus torrides et érotiques. Et maintenant avec cet univers dans lequel tu veux que je me glisse comme tu le fais avec tant d’habileté. Je passe mes mains sur le cuir de mon fauteuil, sur le bois de mon bureau. Même dans ce lieu je pense à toi. Faut dire qu’à l’époque où tu travaillais ici, on a souvent abusé de sexe. Excité par l’idée que l’on pourrait nous surprendre. Petit vicieux que tu étais. Et que tu es encore. Et pourtant personne ne s’est douté pour nous. Personne n’a vu combien tu me mettais à mal pendant des réunions avec tes SMS salaces qui me donnait envie de te prendre à même la table. Faut vraiment que je me calme. Il y a un gros contrat en jeu. Et là j’ai juste envie de faire des bêtises avec toi. Je t'envoie un message puis je remets ma veste et je me dirige vers la salle de réunion. Tout se passe très vite et très bien. Le contrat est signé et je suis soulagé. Je n’avais pas envie de me batailler. De toute façon si on n’avait pas signé, je leurs aurais filé tes coordonnées vu que tu piques tous les bons clients de la boite. Bientôt je serais au chômage. Ce qui me fait sourire. J’aurais plus de temps pour abuser de toi. Serrement de mains. Politesses d’usage. De quoi me gonfler, surtout quand le boss cire les pompes de nos nouveaux clients. Oui il faut qu’il les soigne à fond. Et on sort de la salle. Je passe par le coin machine à café et je papote un peu avec les gars qui s’y trouvent. Des anciens, que tu connais et des nouveaux, pas très futés. De toute manière tu as toujours été le meilleur. Et il n’y a jamais eu de promotion canapé.

Je vais pour retourner à mon bureau, après tout je suis là pour bosser et pas pour glandouiller, quand je te vois débouler dans le couloir. Cela jase sur ton passage. Et toi tu marches. La classe incarnée. Fier comme un paon. Le regard droit, tu salues à peine même ceux que tu connais. Mes yeux accrochent les tiens. Putain que tu es sexy dans ton costume hors de prix, parfaitement taillé. Ta chemise en soie qui caresse ta peau, je la jalouse même. Ton pantalon qui te fait un cul des plus bandant même si là tu me fais face. J’en tomberais à genou pour te sucer. Bordel Aiden, tu me fais vriller au point que là je pourrais te sauter dessus, même en plein couloir. J’imagine ton parfum enivrant chatouiller mes narines. Je ne sais pas quelle attitude adoptée. Dois-je garder mes distances ? Ou afficher notre relation ? Tu l’as toujours tenu secrète au bureau et tu n’es pas dés plus démonstratif en public. Sauf dans ces lieux de débauche ou tu sembles aussi à l’aise qu’un poisson dans l’eau. Troublant n’est ce pas que dans ces endroits tu n’éprouves pas de mal à montrer combien tu es accro à une personne. « Aiden ? » Surprise dans la voix de ceux qui te connaissent. « Tu t’es perdu ? Tu cherches du boulot ? » Moi je reste silencieux. Essayant de garder une aisance que tu désarmes juste ne plantant ton regard dans le mien. « Il vient nous dire bonjour n’est-ce pas monsieur Johnson ? » Et avant que je ne puisse répondre .. tu agis . surprenant tout le monde et moi en priorité ...



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Dernière édition par Maximilian H. Johnson le Mar 4 Aoû - 16:30, édité 1 fois
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Aiden Phelps
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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyLun 3 Aoû - 23:54


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Un sourire carnassier au coin des lèvres, Aiden use de ses charmes pour détourner l’attention de la secrétaire à l’accueil. Il n’est pas un inconnu au sein de la COM Agency et plus personne ignore sans doute qu’il n’est plus salarié de la boite. Si cela l’a mis hors de lui quelques mois auparavant, il savoure sans aucune modestie le plaisir de prendre de nouveaux contrats à ces anciens employeurs. Malheureusement pour eux, ils ne lui ont jamais fais signer une clause de non-concurrence et son ancienne entreprise s’en mort les doigts désormais qu’il a monté sa propre boite de communication. Les débuts sont difficiles. On ne va pas se mentir. Aiden travaille d’arrache-pied, mais commence tout juste à remporter des contrats. Cela ne l’empêche pas pour autant d’afficher cette arrogance qui lui colle à la peau et qui fait son charme. Un pouvoir auquel la jeune femme est sensible. Elle se laisse berner par ses sourires polis et ses paroles fluettes alors qu’il lui indique qu’il est là pour faire un petit coucou à son ancienne équipe. Elle le laisse filer vers l’ascenseur, sans rien dire, les mains dans les poches de son costume. Il est dans son élément et les regards curieux ne l’intimident pas. Il reste droit dans ses bottes, peu disposé à les laisser avoir un quelconque avantage sur lui. Sa présence n’a rien à voir avec ses anciens collègues même s’il sera ravi de les saluer sur son passage. Il s’est laissé gagner par une envie de rejoindre Maximilian dans son bureau à la suite de son SMS. L’évocation de leur week-end a éveillé ses sens et une chaude sensation s’est emparée de sa poitrine. Il se sent empli d’un espoir qu’il avait presque perdu. Le fait d’être accepté lui offre de nouvelles perspectives qu’il s’efforçait d’oublier. Maximilian a fait un pas vers lui. Il s’est ouvert à son monde sans le juger. Même si sa pudeur persiste, il a tenté cette expérience qui a été fortement salvatrice pour leur libido. Une complicité s’est de nouveau liée entre eux et il ne veut pas qu’elle s’effrite. En conséquence, c’est à son tour de faire un pas vers lui, de lui faire comprendre qu’il est son homme et que rien ne viendra changer cette donne. Cet homme qui finit par apparaitre dans le champ de sa vision, magnifiquement apprêté dans ce costume qui lui va comme un gant et qui souligne parfaitement ces formes délicieuses qu’il connait par cœur. Maximilian ne manque pas de le reconnaitre et sa surprise lui arrache un sourire alors qu’il s’avance vers lui. « Salut. » Il déclare à l’attention de ses anciens collègues alors qu’un rire s’échappe de ses lèvres. « Du tout. J’ai tourné la page depuis un petit moment les gars. J’ai monté ma propre boite. Je suis venu voir quelqu’un. » Il lance à ceux qui veulent l’entendre dans cette posture décontractée qui lui colle à la peau. Ses pas le rapprochent de son homme qu’il ne lâche pas du regard en lui offrant ce sourire carnassier qui fait son charme. Son mouvement est lent et déterminé. Il rompt la distance entre eux pour venant s’emparer des pans de sa veste pour l’attirer à lui dans un baiser passionné. Ses lippes accaparent celles de son amant pour une danse lascive, mais brève. « Salut beau gosse. Il me semble que je te dois un déjeuner. J’espère que t’es libre. Tu sais bien que je n’ai qu’une parole. On va dans ton bureau ? » Il lui indique dans une voix provocatrice alors qu’il hausse un sourcil en amorçant un mouvement vers son bureau. « Ravi de vous avoir revu les gars. A une prochaine fois sans doute. Vous risquez de me voir de temps à autre. » Il salut ses anciens collègues avec cette malice dans le regard. Il se joue d’eux, de leurs regards éberlués ou confits. Ils peuvent penser ce qu’ils veulent. Il s’en tape désormais. Plus de risques d’être accusé de promotion canapé. Il est son propre patron. Il salut rapidement la secrétaire de Maximilian en pénétrant dans son bureau qu’il investit avec la même aisance que par le passé. Il vient sagement s’installer au sein du siège de son amant pour le provoquer de son expression mutine. « Il me semble que tu avais besoin d’une gâterie, je me trompe ? » Un rire s’épanche hors de ses lippes alors que ses prunelles dévorent les formes de son amant. Il n’y a aucune pudeur dans le regard affamé qu’il lui tend, mais Maximilian adore ça et il le sait. Il en abuse même.




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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyMar 4 Aoû - 17:50


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



J'essaie de rester concentrer le temps de la réunion. Mais je ne peux empêcher de penser à toi. De m'évader en songeant au moment ou je te rejoindrais pour abuser de ton corps. J'ai presque envie de tout plaquer là et rentrer, mais cette réaction ne serait pas digne du professionnel que je suis. Même si je remets en question mon poste dans cette agence qui t'a viré comme un mal propre. Bon tu te venges bien, mais t'avoir sous la main tous les jours durant les heures de bureau était un sacré avantage. J'aimais bien nos petits instants crapuleux, ou le plaisir prenait le pas sur le travail. C'était toujours délicieusement insolent. C'est toujours l'esprit rempli d'idées obscènes, que je retrouve les gars à la machine à café. Petite discussion qui calme un peu mon appétit trop grandissant. Ma journée est loin d'être finie, je pourrais dire que j'ai une urgence et filer chez nous. Je te prendrais la main dans le sac en train de bosser sur ton ordi, le casque sur tes oreilles, isolé du monde extérieur. Et je m'amuserais à venir te taquiner. Je glisserais sous la table, déboutonnerais ton pantalon et avalerais ta queue. Tu finirais par oublier ton boulot pour me faire ma fête sur la table du salon. Je vais devoir finir par aller me rafraîchir ou me soulager  aux toilettes. Je me demande comment j'arrive à suivre l'échanges avec les gars. Remarque je hoche plus la tête que je ne parle. Et ma tactique à l'air de leurs convenir, enfin ils ne se posent pas de question. Mais qui pourrait m'imaginer si accro à la luxure et à toi. Personne n'a jamais su pour nous. Jamais nous n'avons affiché notre couple. Tu ne voulais pas que l'on pense que notre relation était juste mise en place pour que tu grimpes les échelons. Cette vision de notre couple ne m'aurait pas pu non plus. Alors que tu n'as jamais usé de sexe pour obtenir quoi que se soit de moi. Tu es un crâneur, un petit con, mais tu as toujours été honnête de ce côté là. Ce qui me rend encore plus fier de toi. Quand je pense de là où tu es parti et de là où tu es à présent comment ne pas l'être. Ton parcours est exemplaire. Pourtant tu es parti de rien.

En tout cas tu hantes tellement mon esprit que je finis par te voir dans le couloir. Illusion ?? Je me rends vite compte que ce n'est pas une vision. Mais que c'est bien ton irrésistible silhouette qui s'avance vers moi. Bordel tu es vraiment sexy avec ton regard qui me désarme. Regard que je ne lâche pas. Je vois combien tu es fier de te montrer dans ce lieu. Les anciens n'ont pas oublié Aiden Phels, ton arrogance, ton charisme, ton charme. Et dire que tu es mon homme. Mon mec celui qui me fait grimper au rideau. Le complice de toujours. J'ai presque envie de crier à tous ceux qui te regardent. Que tu es à moi et que je suis à toi. La fierté d'être à toi se mêle à mon amour inconditionnel que je te porte, ajouter l'envie qui me submerge avec violence. Je m'en jetterais à genou. Bien entendu tu te la joues royal. Putain comme je t'aime. Mais je reste surpris quand tu dis que tu es venir voir quelqu'un, loin de penser au départ que c'est moi le concerner. Enfin je comprends vite, vu comme tu réduits la distance entre nos corps. Effaçant tout ce qui nous entoure. Ton regard se fait plus présent dans le mien, plus pressant. J'en tremble alors que mon cœur s'affole. Tes mains chopent le tissu et tu m'attires contre toi. Aimanté je ne peux lutter et je n'en ais pas envie. ma bouche s'offre avec délice à la tienne. Moi qui avais déjà chaud là je brûle de ce délice que tu me donnes. « Pour toi toujours libre mon cœur,  et en plus j'ai une faim de loup. Du coup tu tombes très bien. » Parfaitement à mon aise de laisser éclater au grand jour notre relation. Et si un dit un mot de travers je me ferais une joie de lui fermer son clapet. Mais vu qu'ils sont tous bouches ouvertes et cloués sur place. Personne ne moufte. Il n'y a que toi qui comble le silence. « Tu connais le chemin il me semble. » Et tu en rajoutes une couche, je souris heureux de savoir que cette visite ne sera pas la dernière. Et pour faire exploser un peu plus cette petite bombe que tu viens de lancer je te prends par la taille. Aiden addict et je n'ai pas honte de le montrer. Tu salues ma secrétaire qui ne semble pas trop comprendre. « Qu'on ne me dérange pas. Au pire vous pouvez prendre votre pause. Et vous pouvez la faire durer. » Le tout dit dans un sublime sourire, oui je suis aux anges de t'avoir là. Et elle peut s'imaginer ce qu'elle veut, franchement c'est de le dernier de mes soucis. Tu es ma priorité. Tu es déjà dans mon bureau prenant la place de choix. Je ferme la porte à clé. Je sais déjà que l'instant qui va suivre va être sulfureux, torride, érotique. Je garde un peu de distance te détaillant sans gêne. « En effet j'avais très envie d'une gâterie. Mais je ne pensais pas la voir débarquer dans mon bureau. Tu as été tellement parfait . Et ton baiser putain depuis que je l'attendais celui là. J'en ai même eu les joues incendiées. Et pas que les joues .. » Je m'avance quittant ma veste pour la poser sur une des chaises. Je viens me poster derrière mon siège, mes bras passent autour de ton cou et mes mains descendent sur ton torse. « Tu as une classe de fou dans ce fauteuil .. Dans ton costume aussi mais j'ai très envie de te l'ôter .. parce que je sais que ce qu'il y a en dessous vaut toutes les damnations. » D'ailleurs mes doigts s'agitent sur les boutons de ta chemise. Puis je fais tourner le fauteuil pour que tu sois face à moi. Tu as une superbe vue sur la ville et sur moi. J'attrape ta cravate et je te tire doucement. « Et si tu m'embrassais avec moins de sagesse sexy boy. » Mes lèvres possèdent les tiennes. Alors que ma main glisse vers ta virilité que je rêve de dévêtir. La mienne est déjà gonflée juste par ta présence. « J'adore ce genre de visite surprise. Tu ne pouvais pas me faire plus plaisir. Assumé dans ces lieux notre relation, notre couple. C'est un super cadeau Aiden. » Et le baiser que je t'offre montre combien je suis comblé par ton geste, c'est tellement pour moi. Quand à mes mains elles se vont curieuses de trouver ta peau.



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Aiden Phelps
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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyJeu 6 Aoû - 23:23


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Le visage de ses anciens collègues est circonspect face à son approche. Leur curiosité est piquée à vif. Nul ignore les circonstances de son départ, la rumeur qui a plané sur lui et qui lui a couté sa place : avoir mêlé affaires et plaisirs. Une rumeur calomnieuse qui lui a fait perdre son sang-froid, mais qu’un arriviste de bas étage a usé pour se faire une place de choix, facile pour le fils d’un associé. Sa parole de salarié ne valait rien, qu’importe ses états de services et le nombre de contrats qu’il leur a apporté sur un plateau d’argent. Les milliers de dollars qui lui ont fais gagner n’étaient rien face à cette erreur éthique dont on l’a accablé sans preuve. Nombre de ses collaborateurs n’en ont pas cru un mot, mais tout comme lui, ils ont du accepter la cruelle sentence : licenciement pour faute lourde. Les enflures. Pas même un licenciement avec indemnités. Aiden a décidé d’accepter la sentence, mais c’est pour mieux les entuber. Il compte bien faire grandir son entreprise, déboucher certains de leurs bons éléments dont Charles, son ancien assistant. Il sait qu’il le suivra les yeux fermés. En attendant, il s’applique à remporter des contrats juteux en faisant jouer ses relations privilégiées avec ces anciens clients. Il se la joue fine, les brossent dans le sens du poil et leur propose des idées innovantes auxquelles ils adhèrent malgré ces faibles ressources pour le moment avec la promesse de leur offrir plus à l’avenir et ça marche. Simplement parce qu’ils connaissent son professionnalisme et sa créativité, qu’ils ont toujours adhéré et que c’est ce qu’ils recherchent. Ils n’en ont rien à faire de la renommée de la boite. Ils savent ce que lui, vaut. En conséquence, il pavane comme un paon, fier de lui et de ses débuts promoteurs. Il est sur une bonne pente qui lui fait entrevoir un avenir plus éclatant que son présent, autant sur le plan personnel que privé. Désormais déliée de l’image du patron et de son salarié, Aiden décide de prendre un taureau par les cornes, celui qui l’a empêché de se révéler au grand jour durant ces deux dernières années. Il embrasse son amant avec passion. Ses lippes s’amourachent de leurs comparses dans une étreinte à laquelle ce dernier répond avec la même appétence. Il éclipse de son esprit ces anciens collègues de travail et se concentre sur l’homme qui partage sa vie. Ce baiser dévoile une intimité charnelle, mais elle est d’autant plus confirmée par l’échange qui s’ensuit entre eux. « Parfait. » Il lâche dans un sourire enjôleur alors qu’il s’apprête à rejoindre le bureau de son amant. Il salut rapidement ses collègues avec ce détachement qui lui est propre, faisant fit de leur ahurissement qui l’amuse grandement, mais qu’il camoufle derrière un sourire poli. Ils s’éloignent de leurs spectateurs pour retrouver le bureau de Maximilian. Aiden en profite pour saluer sa secrétaire avant que son amant la congédie pour les laisser seuls. Si la secrétaire de son amant ignorait potentiellement leur relation, le sourire qu’il lui lance ne laisse plus aucun doute sur le lien qui les lie, ce qui ne fait qu’accentuer l’amusement d’Aiden, qui est résolument satisfait de son initiative. Il retrouve naturellement le siège de son compagnon comme s’il était le sien. Il se montre provocateur avec son amant, mais il sait pertinemment que le plus âgé aime le voir agir de cette manière. Le regard de Maximilian se fait plus pénétrant et convoiteur. Il brûle son épiderme et nourrit son anticipation. Ils ne vont clairement pas manger dans l’immédiat. Leur faim actuelle n’a rien à voir avec un besoin naturel de se sustenter, elle puisse toute sa puissance dans le péché de la chair. L’éclat de son sourire s’affermit face aux propos de son amant. « Pourquoi cela ne me surprend pas ? T’es un véritable affamé, beau gosse. » Il lâche en venant bien poser ses avants bras sur les accoudoirs de ce siège alors que ses prunelles suivent le déplacement de son amant. Sa disparition derrière son dos lui arrache un frison d’anticipation alors qu’il inspire profondément. L’excitation grimpe délicieusement dans ses veines et les promesses de luxure semblent plus que prometteuses. Cet endroit a connu tant de leurs joutes par le passé qu’ils risquent résolument de faire exploser la jauge de chaleur du thermomètre. Peut-être devraient-ils augmenter la climatisation ? Un sourire narquois ourle ses lippes face à la remarque de son amant alors que ses doigts glissent sur son corps. « Et tu adores te damner avec moi. » Il souffle contre cette mâchoire qui vient se perdre près de ses lèvres alors qu’il se sent délester de quelques boutons de sa chemise. Il sent le mouvement de balancier qu’exécute son amant pour tourner le fauteuil vers lui et lui offrir une vision délictueuse de sa silhouette devant cette vue qui offre grandement son appétit et exalte ses ambitions cupides. Il se soumet à l’ordre de son amant sans se faire prier. Ses lippes répondent avidement à ses assaillantes. Il l’embrasse sans douceur, exprimant pleinement cette passion qui prend vie au creux de ses reins et qui s’accentue grâce aux caresses de son partenaire. Il titille ses sens avec une expertise qu’il est le seul à détenir. « Je ne suis jamais sage, tu devrais le savoir. » Il murmure contre ses lèvres qu’il s’empare de nouveau avec avidité alors que ses phalanges viennent défaire les boutons de sa chemise. « Et je suis toujours plein de surprises. » Il souffle en venant faire glisser sa chemise sur ses épaules après avoir dénoué cette cravate qui le gênait. « Tu veux me récompenser, Max ? » Il souffle contre sa mâchoire en venant rejoindre son oreille pour y lâcher ses pensées cochonnes qui ont pour ambition de faire frissonner son amant d’impatience. Il veut que ses images viennent également hanter ses pensées et exaltent ses sens. « Je veux que tu me suces. Que tu me fasses grogner ton nom. Que les oreilles indiscrètes l’entendent suffisamment pour n’avoir aucun doute sur notre relation. Je veux que tu m’amènes au bord du précipite, mais juste pour me préparer. Me préparer à te prendre. En levrette contre cette fenêtre, avec cette vue à nos pieds. Je veux te baiser jusqu’à que tu deviennes une masse gémissante qui crie mon nom et que tu te répandes sur ses fenêtres hors de prix, pendant que je souillerai tes reins, les marqueraient de mon essence. » Durant son récit érotique, ses phalanges arpentent ses formes, glissent sur sa virilité qu’il sent terriblement tendue contre le tissu de son costume avant de s’immiscer dans la douche ouverture pour la titiller à même la chair. Il fait exprès de ne pas défaire sa ceinture et le libérer de cette prison de tissu. Il titille sa couronne du bout de ses phalanges alors que sa langue mordille son oreille. Le stratagème est de lui donner terriblement chaud au point où son esprit va s’échauffer et le faire devenir cette âme avide de chair et dénuée de toute raison, si ce n’est celle d’assouvir ce besoin primaire de satisfaire ses fantasmes et surtout le plaisir de la chair.



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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyDim 9 Aoû - 15:38


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Afficher notre couple c'était un fait compliqué quand tu bossais à la COM Agency.  C'était même interdit, tabou. Les rumeurs auraient été bon train, et tout le monde n'y aurait vu qu'une promotion canapé, ce qui aurait éclipsé ton réel talent. Il est vrai que cette situation à l'époque était pour moi difficile à vivre, même si je pouvais parfaitement comprendre ton choix et ton point de vu. J'aurais tellement aimé ne pas me cacher, ne pas me priver de geste de tendresse tout à fait logique, dans le sens ou nous étions en couple. Mais voilà, la privation, du moins devant ceux qui bossaient avec nous était de mise. Mon bureau a souvent servi de terrain de jeu quand l'envie se faisait trop incendiaire pour X ou Y raison . Mais avions nous besoin de raison pour mordre à pleine dent dans ce désir qui nous unissait ? Non.  Je ne sais pas trop si en assumant nous aurions pu éviter la crise entre nous. Si cette position m'aurait permis de mieux accepter certaines de tes valeurs.  Si cela nous aurait évité la rupture brutale et déchirante. Après tout on s'aimait et on empêche pas une femme et un homme de s'afficher. Mais là dans ces circonstances tout semblait faussé. Et nos destins remis en jeu dans la grande roue de la vie.  Tu aurais été la victime sans aucun problème de calomnies effroyables.  Jeté au piloris comme un condamné. Malmené, lapidé sans autre forme de procès. Il n'y a qu'à voir la raison débile et injustifiée pour laquelle on t'a viré. Parce qu'un con t'en voulait et qu'il a jeté un caillou pourri dans les rouages de la société. Il t'a donné en pâture aux loups sans en éprouver le moindre regret. Oui afficher notre relation au moment ou tu travaillais sous mes ordres aurait été néfaste. Même si pour mon cœur elle aurait été bénéfique car je n'ai jamais eu honte de ce que je ressentais pour toi. Et nous cacher donnait parfois à notre couple une saveur qui pesait lourd dans la balance. Alors quand tu débarques sexy comme jamais dans les bureaux de l'agence, je suis loin de penser que c'est pour leurs montrer ce que nous avons caché pour éviter la disgrâce. Je me laisse emporter par le baiser, par la sensualité qu'il dégage, par le souffre qu'il délivre. Me sentant encore plus fier de mon homme. Putain comme j'aurais aimé avoir une caméra et filmer leurs tronches de débiles face à cet échange amoureux. Ce baiser va bien faire jaser mais je m'en branle. Je ne suis plus ton boss, tu n'es plus mon employé. On est juste deux hommes amoureux, qui brisent les barrières imposées depuis des années par des esprits étriqués. J'ai presque envie de crier. Oui les mecs Aiden est mon mec. Mais je pense que ce fait transpire au travers de ma posture, de nos mots échangés, de nos regards entremêlés. Direction mon bureau comme au bon vieux temps. Et le sourire que tu leurs rends, tu es vraiment le meilleur sexy boy.

Je ne perds pas de temps avec ma secrétaire non plus. Me moquant de ce qu'elle pense, de ce qu'elle ira dire. J'ai juste envie qu'elle se casse et qu'on nous foute la paix. Oui j'ai envie de tirer un coup avec mon mec. Envie de saliver en le regardant me sucer. Envie de l'entendre gémir quand il jouira. Et même si c'est ce à quoi j'ai droit quand on est chez nous, je sais que là tout sera encore plus sulfureux. L'idée même de te faire l'amour une nouvelle fois dans mon bureau m'excite au plus haut point. Et la porte se ferme et mon regard se fixe dans le tien alors que tu trônes comme un Dieu sur mon fauteuil. Tu es juste un peu trop habiller à mon goût. On se taquine sachant que le feu déjà se glisse dans nos êtres. Le désir est là puissant et violent. Insolent et indécent. Il ne demande qu'à être libéré. « Si moi je suis un affamé toi tu n'es qu'un sale gosse provocateur, obsédé par le fait de venir te faire ton mec dans son bureau. » Tu as toujours aimé mes bureaux, du plus loin que je me souviennes ils ont tous entendu nos gémissements de plaisir. Ils ont tous eu droit à nos corps s'adonnant aux vices de la luxure. Et je viens te rejoindre, trop de distance est à présent insupportable. Et je fais monter la température, même si arracher tes fringues me traverse l'esprit. Et ce ne serait pas le prix du costume qui me poserait un problème, plus le souci de comment tu pourrais ensuite sortir. Je te garderais prisonnier, à ma botte. Tiens c'est une idée à développer. Mais je verrais plus tard. Là je te veux juste toi. Et je veux juste être à toi. Alors je lance le jeu, titille ton corps. Je le connais par cœur mais j'ai la sensation de le découvrir un peu plus chaque jour.  Tu m'électrises. Je te demande un baiser, un de ceux qui me rend dépendant et qui donne à mon épée une vigueur des plus exaltante. « J'aime le vilain garçon que tu es. » Celui qui me fait toucher le ciel et m'égare sur les plages interdites des amants envoûtes. Et ma chemise comme ma cravate ne te résistent pas longtemps. Tout comme la tienne. Je viens chercher à pleine main l'objet de ton mes désirs, de tous mes fantasmes celui dont je vais prendre soin, celui que je vais chérir de la plus tendre des manières et de la plus osée aussi. « Tu aimes être récompensé sexy boy. » Et nos corps se collent, délivrant un message des plus érotiques. Baigné dans la lumière de la baie vitrée. Tu es si beau. Et tes lèvres qui s'égarent jouant habillement de mes frissons. Alors que mes mains s'invitent sur ta chair. Cherchant la proie que je vais mettre au supplice avant de la récompenser totalement. Ton épée est si tendue que je voudrais l'engloutir de mes lèvres, l'emprisonner au creux de mes reins. Et puis il y a tes mots tu as toujours été doué pour venir titiller mon imagination. Pour donner à la réalité de notre luxure une dimension des plus explosives. C'est délicieusement obscène et c'est ce qui me plaît chez toi. Cette facilité que tu as à donner à l'acte de la pudeur comme de l'interdit. Un savant mélange d'enfer et de paradis.

Et mes doigts enserrent davantage ta peau gonflée. Faut dire que tes mots me rendent fous, tout comme tes mains qui libèrent tout en gardant un contrôle parfait sur ma virilité. « Tu es diaboliquement irrévérencieux et pervers sexy boy. L'idée que tu souilles mes reins me rend dingue . Pour les carreaux tu as de la chance pas de nettoyage prévu aujourd'hui .. » Je te regarde serrant un peu plus ta queue. « Quoi que tu aurais pris du plaisir à te faire mater par le laveur de carreaux, en train de me conquérir. » Je sais que tu aimes montrer au monde combien je suis à toi. Même si j'ai encore du mal avec cette notion de partage. Ma main glisse de ta virilité à tes fesses, je taquine doucement cette entrée que je vais rendre plus affamée en te dévorant même si tu comptes me dominer, je compte bien te rendre fou sur ce terrain là. Je t'embrasse avec passion avant de quitter tes lèvres et de descendre tout en savourant chaque centimètre de ta peau . Tu frissonnes et je finis à genou. Je te débarrasse rapidement du reste de tes vêtements. J'observe d'abord la vision que tu m'offres. Une vision bandante et décadente. « Comment résister face à ta queue si tendue. Elle est autant insolente que toi. » Je ne la prends pas en bouche tout de suite, je la fais un peu languir. Jouant sur la chair qui l'entoure, sur tes bourses, ton frein, remontant contre tes hanches, ton bas ventre, tes aines. Mes lèvres, ma langue, mes mains arpentent avec sensualité ta peau, la marquant de délice. La narguant de vices. Je mouilles mes doigts et ils se faufilent aux arrières, sur ses fesses avant de venir s'inviter plus intimement. Je te pénètre avec douceur alors que la langue glisse le long de ton gland. Puis mes lèvres entourent ta queue comme ta chair entoure mes doigts. Je prends le même rythme à l'avant comme à l'arrière. Des vas et viens dosés, lents, qui vont monter en puissance pour te pousser vers le plaisir. Je te laisse savourer même si je jouerais bien les gourmands. Mais tu veux juste que je te prépare alors je le fais en y mettant tout l'amour que j'éprouve, toute la passion que tu fais naître, tout l’excitation qui me gagne. En espérant te donner ta dose de plaisir insolent.



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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyVen 21 Aoû - 20:19


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Un sourire narquois ourle ses lippes carnassières. Son regard brille de cette arrogance qui lui colle à la peau. Il aime l’observer depuis ce fauteuil dans ce bureau dont l’extravagance est de mise avec le statut de son amant. Vice-président. Maximilian n’est pas n’importe quel homme. Son homme. Cela qu’il a la capacité de faire craquer par un regard, par un sourire, par une caresse. Un homme aussi dépendant qu’il ne l’est de sa présence dans son existence. Un homme qui lui a tout donné et qui a fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. Un homme qui n’a peur de rien, bien dans ses baskets et toujours capable de se relever face à n’importe quelle épreuve, même les leurs, car ils ne peuvent pas vivre l’un sans l’autre. « C’est vrai. J’ai toujours eu un faible pour les hommes en costume. Surtout quand ils ont un mobilier de si bonne qualité. Il serait dommage de ne pas profiter de l’élégance de celui-ci pour s’adonner à nos vices les plus secrets. » Il commente sans le lâcher du regard de cette voix chaude et pénétrante qui a toujours enivré son partenaire. Rapidement la distance entre leurs deux échines s’amoindrit et leurs corps se retrouvent attirés l’un par l’autre. Leurs souffles se frôlent, se mêlent comme leurs regards et leurs mains. Le jeu débute délicatement tandis que le feu s’accentue sous la pression de leurs menottes habiles. « Je sais. Promis, ça restera notre petit secret. Le fait que le grand Maximilian Johnson aime les très vilains garçons qui jouent avec ses pulsions. » Il lâche dans une voix provocatrice en venant de nouveau s’emparer de ses lèvres avec appétit. Leurs actions se précisent alors que leurs chairs se délivrent des tissus qui les confinent tandis qu’ils s’enflamment au contact de l’autre. Leurs respirations se font plus lourdes et Aiden est satisfait de le savoir réceptif à ses propos. Il verbalise ses pensées lubriques sans la moindre gêne, ayant abandonné certains de ses tabous avec son partenaire depuis leur dernier week-end. Maximilian a fait un pas vers lui et Aiden se sent résolument plus libre désormais que jamais. Il laisse échapper un grognement de satisfaction lorsque son amant répond favorablement à ses propos et évoque la possibilité qu’ils auraient pu être vus. La simple pensée lui arrache un frisson de plaisir. La pudeur n’a jamais fait partie de ses habitudes, surtout dans le domaine de la luxure. L’idée qu’on puisse l’observer en train de posséder son homme a un effet aphrodisiaque étourdissant. Il se lèche les lèvres avec appétit tandis que son regard accompagne les actions de son amant. Le voir plier les genoux tout en distillant des baisers savoureux accentue son exaltation. Sa virilité ne masque absolument pas son plaisir tandis qu’il est destitué des derniers remparts de vêtements. Il se retrouve nu face au regard de son amant. Ce dernier est dans une tenue dépravée qui lui donne un magnétisme érotique : celui de la décadence. Un sourire enjôleur ourle ses lippes alors que sa respiration s’alourdit sous la pression de son souffle sur sa chair sensible. « On comprend mieux pourtant tu en es accro, beau gosse. » Il le taquine en glissant sa menotte dans ses cheveux ras alors qu’il l’observe jouer avec ses sens avec l’expertise qui est la sienne. Il adore ces caresses et baisers voluptueux sur sa chair avide, la manière qu’il a de jouer avec ce corps et ses points sensibles. Il n’est jamais déçu lorsque leurs corps s’embrasent dans une joute charnelle. Aujourd’hui encore moins qu’hier. Ils connaissent parfaitement le corps de l’autre et savent jouer à la perfection avec celui de leur partenaire. Le désir accroit inévitablement sous la pression de ses doigts, de ses lèvres, de sa langue. Il distille avec espièglerie ses talents d’allumeur et Aiden n’en perd pas une miette. Son sourire s’agrandit face à ses taquineries alors qu’il se mordille et humidifie de manière plus conséquente ces commissures. Il adore ce petit jeu qui ne fait qu’accroitre le désir l’un pour l’autre. Il ne se fait pas prier pour lui donner les sensations convoitées par son partenaire. Sa chair frisonne, ses grognements se verbalisent dans le creux de sa gorge alors qu’il s’enfonce dans la moiteur de sa bouche. Il savoure la pression de ces phalanges dans le creux de son bassin, distillant des cajoleries tout aussi addictives que celles réalisées par sa langue et sa bouche. D’ailleurs, les sensations sont divines et il se laisse envoûter. Sa main se loge dans sa nuque alors qu’il vient doucement baiser cette bouche que sa virilité convoite. Son bassin ondule pour savourer la sensation de succion et de sollicitation de ses bourses qui accentuent ses grognements alors que les minutes s’égrènent. Ses mouvements se font lents pour distiller ce plaisir dans l’ensemble de son organisme. Il adore cette sensation de brûlure, de trop peu qui lui vrille le ventre et le rend si avide à la recherche de plus. Très rapidement, il laisse son corps prendre les commandes et investir cette bouche, buter contre cette mâchoire lorsque son amant vient grignoter du bout de ses dents sa chair sensible. « Putain Max. Continue. » Il adore lorsqu’il joue avec sa chair sensible de cette manière, lorsqu’il mordille son épée avec cette indécence avant de le pomper de cette manière qui le fait grogner que plus fort. « Tu suces comme personne d’autre. » Il souffle alors qu’une parle de son suc vient glisser sur la langue de son compagnon qui ne manque pas de le regarder avec amusement tandis qu’il vient appuyer sur un point sensible de son anatomie. Il grogne plus fermement alors que ses prunelles se font plus sombres face au plaisir qui l’aveugle. Lui seul le suce de cette manière si décadente en usant de chacun de ses points sensibles. Il anticipe chacun de ses mouvements et tout naturellement la gorge de son amant se détend pour l’accueillir pour une gorge profonde au moment où lui-même ignore que c’est ce qu’il veut. « Putain !! » Il grogne en sentant les grognements de son homme vibrer contre sa virilité tendue à son paroxysme. Il commence à baiser sa bouche, comme il se fait baiser par ces doigts qui l’envahissent et distillent leurs pouvoirs au creux de son bassin. Son autre menotte vient s’agripper contre ce crâne alors qu’il mouve ave appétence. Les bruits de succion viennent envahir la pièce alors que ses grognements se font de plus en plus fort. Il l’excite terriblement, joue avec son excitation comme jamais, l’approchant vers le bord du précipice avant de l’abandonner. Et putain, il aime ça. Il aime sa manière de le baiser alors qu’il est en position de faiblesse. La manière qu’il a de grignoter sa virilité avant de la prendre de nouveau pour une série de mouvements de balancier avant de l’abandonner de nouveau. Sa virilité perle de ces gouttes qu’il ne peut contenir. Il laisse son nectar titiller les sens de Maximilian qui semble de plus en plus avide. « Oui, tu aimes ça. Le fait d’être le seul à pouvoir me faire perdre la tête juste avec ta langue et tes doigts. Tu aimes que je baise ta bouche comme ça, que je me perde en toi, mais j’aime tout autant ça. » Il lâche en venant effleurer ses lèvres gonflées par cette fellation merveilleuse. « Mais tu sais ce que je préfère plus que ça ? » Il lui indique en glissant son pouce dans ses lèvres. « C’est de te voir, dos à moi, les mains bien ancrées au mur pendant que je viens dévorer ton cou avant de rejoindre ton bassin, ton cul que je dévore de mes lèvres, si profondément que tu auras l’impression que c’est ma queue qui t’écartèle et qui t’amènera pourtant proche de l’orgasme, faisant de toi, une marionnette entre mes doigts. Ta voix me suppliant de venir te baiser profondément et vivement pour que tes cris de jouissance emplissent la pièce. Rien que cette pensée m’excite à un point. » Il indique en savourant le contact de sa langue autour de son pouce alors qu’il murmure dans une voix complice. « Alors qu’en penses-tu, beau gosse ? » Il sourit de son sourire affamé alors qu’il s’humidifie les lèvres avec envie. Cette simple pensée l’émoustille et fait vibrer sa virilité logée contre la mâchoire légèrement ombragée de son amant. Il n’y a aucun doute sur le fait qu’il n’attend qu’une chose, que Maximilian se relève et se soumette à son bon vouloir. Rien n’est plus parfait que son homme dans sa soumission. Si, son homme dans sa domination. Il aime les deux facettes de son amant.



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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyJeu 27 Aoû - 18:31


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Je vois dans tes yeux ton envie de luxure qui danse comme des flammes indécentes. Tu en es que plus sexy. Ta provocation glisse dans tes mots, dans tes regards et elle vient m'éclabousser de ce désir ivre et passionné que tu fais naître. Putain je te boufferais tout entier, en prenant le temps de m'attarder sur tes points sensibles pour te faire davantage vriller. Te voir là assis sur mon fauteuil réveille de délicieux souvenirs. Et me donne envie d'en créer d'autres en les imprégnant dans nos chairs en demande, en attente. De toute façon tu es là dans ce but. Et j'apprécie encore plus ta présence par le fait que tu es mis sur la table sans aucune équivoque notre relation amoureuse. Je me demande ce qu'ils se disent tous en matant la porte de mon bureau fermée, et la chaise de ma secrétaire vide. Et oui les mecs si vous avez fantasmé sur le cul de Aiden, sachez que c'est juste à moi qui l'offre.  Et je peux vous jurer que l'instant va être brûlant. C'est toujours incendiaire entre nous, et j'aime ça. Au point que je me consume de l'intérieur à te regarder, en te désirant comme je n'ai jamais désiré un homme ou même une femme. Tu es un vrai ouragan niveau luxure. Une tempête dont je n'ai pas envie de me passer. Et encore plus quand tu te gorges de ton arrogance et que tu te laisses emporter par tes pulsions salaces. Tu me fous la tête à l'envers et ce depuis notre première joute. Et les coups durs traversés, partagés, les ont toujours rendus plus affriolantes et enchanteresses. Accentuant notre faim avec voracité. « Tu veux laisser ton empreinte et ton odeur dans ce lieu, histoire que tout le monde sache que je suis à toi. » Je te regarde avec provocation, avec envie. Nptre jeu se pare de caresses plus intimes, de touchés plus intenses. Nos corps se cherchent et se frôlent avec expertise. Dans la quête ultime du plaisir de l'autre. Je sais où effleurer, je sais où mordiller, je sais où embrasser. Ton corps est mon terrain de jeu favori et je me délecte de chaque parcelle que tu m'offres. Nos souffles et nos gémissements se noient dans nos envies et elles alimentent nos esprits d'image de décadence. Te désirer devient parfois douloureux mais cette douleur est tellement exquise que je l'enlace avec rage. Peu importe ce que les gens pensent. Avec toi je me délivre de toute retenue, je me laisse emporter par ce besoin de n'être qu'à toi. « Monsieur Maximilian Johnson n'aime qu'un seul vilain garçon joue avec ses pulsions . TOI. »

Et nos peaux se dévoilent alors que les tissus tombent. Les barrières de la quête de jouissance sautent nous laissant maître de couler avec délice dans nos envies. Je te taquine sur le fait que tu veux me faire l'amour face à la baie vitrée. Je devine dans tes frissons que ce que je t'ai dis te plait. J'en profite pour venir envoûter ta peau la marquant avec habileté et sensualité de mes baisers et de mes caresses. Je délivre de l'extase tout en descendant vers l'objet de mon désir. Ta queue est si dure, si tendue. Que la dévorer va être un délice. J'aime la sentir gorgée de désir entre mes lèvres humides. J'aime te sentir fébrile sous mes vas et viens savamment distillés. Et ma bouche devient l'étau ou ta virilité s'enfonce, étourdie par la chaleur et l'humidité de cette cavité que je referme avec douceur.  Je compte te faire perdre pied alors je m'occupe aussi de tes belles fesses, de leur creux brûlant qui abritera plus tard ma queue, mais qui pour le moment est conquis par mes doigts. Je joue sur les deux tableaux, voulant te pousser au bord du précipice. Voulant te sentir en mon pouvoir. Et tu es réceptif, terriblement réceptif, ce qui m'excite davantage. Ce qui m'affame davantage. Je me sers habillement de tous les atouts de ma bouche et chaque nouveau va et viens et un délice de plus que je te donne. Ta main dans ma nuque me fait augmenter le rythme parfois. Je la voudrais autour de ma queue. Tes mots m'incitent à t'offrir un peu plus de ce délice. Mes doigts s'enfoncent en toi, alors que ta queue honore mes lèvres. Je sens ton désir couler sur ma langue, quelques gouttes exquises que je savoure. Je sens tes muscles se serraient autour de mes doigts. Tu es beau quand tu t'abandonnes à la loi que je dicte du bout de mes envies. Tout est toujours si parfait avec toi, on est sur la même longueur d'onde. On joue la même musique sans aucune fausse note. Et de te voir ainsi nu, tendu de désir, coulant de plaisir, les lèvres frémissantes d'envie, le regard gorgé d'insolence, je ne peux que te dévorer avec plus d'appétit. Sentir ton suc entier couler au creux de ma gorge me tente. Et je pourrais te bouffer jusqu'à la jouissance et même au delà ...

Mais il y a tes mots. Ton pouce qui vient troubler ma peau, ma langue. Tu aimes baiser ma bouche avec ta queue, je n'ai aucun doute là dessus. J'étais même prêt à te pomper toute ta jouissance. Avant de venir t'embrasser gorgé de ta saveur érotique. Mais tu as une autre idée en tête, une idée que tu m'exposes alors que mes doigts continuent à caresser cette terre qui m'est promise et que j'arpenterais avec passion et dévotion tout à l'heure. Car je compte te posséder comme tu comptes me posséder. Tes mots me font frissonner. Sale gosse qui sait me faire vriller, en me donnant envie d'autres caresses. Je sens combien cette idée dévoilée t'excite. Je lèche ton pouce et libère le creux de tes reins presque à regret. Mais la suite s'annonce tout autant délicieuse et je sais que je retrouverais la chaleur attrayante de ton cul sexy. Je remonte doucement le regard plongé dans le tien. Nos iris frémissant de cette fièvre que la luxure met en place. Ma bouche humidifie ta peau. « Je pense que tu vas me rendre fou et qu'on va prendre notre pied. Que les gémissements vont être plus forts et la jouissance plus torride. » Je colle mon corps au tien. Nos virilités tendues se provoquent de leur droiture. J'attrape ta main et la pose contre ma queue. « Caresse la. Elle se sent délaissée et ton idée l'a excité un peu plus .. elle rêve de prendre ton cul .. tu y auras droit sexy boy .. » Et mes lèvres retrouvent les tiennes dans un baiser sulfureux. Nos langues dansent et s'envoûtent avec expertise.  Une main sur tes fesses, l'autre autour de ta queue. Je te mords même les lèvres. La faim de sexe est là vivace et vorace. Un autre baiser avant de t'offrir mon dos. De me cambrer pour que mes fesses s'appuient contre ton épée tendue. « Je suis prêt à devenir ta marionnette sauf si tu craques avant moi. » Je te nargue d'un sourire provocant. Mon bassin se frotte contre toi. Je t'allume. Avant de poser mes mains contre la vitre, j'attrape une des tiennes pour à nouveau la ramener sur ma queue. « Elle est toute à toi. Comme mon cul. Montre moi combien tu es doué pour me faire perdre pied mon cœur. J'en salive d'avance. Soumets moi à tes désirs. Avant que je ne te soumettes aux miens. » Parce que j'aime autant être à toi que ce j'aime que tu sois à moi. C'est ce qui est exquis avec toi, c'est que l'on joue sur les deux tableaux. Même si au début ce n'était pas gagné. Vu que tu ne voulais pas t'offrir totalement. Mais j'ai fini par avoir tes fesses et je sais que je suis le seul à avoir ce droit, comme tu es le seul à l'avoir sur moi, Tu es et tu resteras le seul à me soumettre à tes lois. Mais bordel que j'aime quand tu t'invites en moi. Un dernier baiser et voilà ta bouche qui se fait gourmande et qui explore ma peau. Ma nuque, mes épaules, mon dos, mes reins, mes fesses, deviennent ta possession. Et tu délivres dans chaque baiser une dose d'extase qui me rend plus vorace de la suite. Je frissonne à chaque contact. Je me mords les lèvres plus ta bouche se rapproche de mon intimité. Je frissonne quand tu t'attardes contre le bas de mon dos. Quand tu joues sur mes fesses avant de venir te perdre en leur cœur. Tes doigts, ta langue, ta queue, tout ce que tu enfonces de toi en moi me donne du plaisir. Un plaisir immense, puissant que j'en veux toujours plus. Tu sais me rendre gourmand. « J'adore quand tu es diaboliquement outrageux. Quand tu es insolent et indécent. Putain Aiden. Ta bouche .. oui  .. hum. » Je passe ma langue contre mes lèvres, tu me donnes chaud. Tu me donnes faim. Et je ferme les yeux pour profiter de tes caresses. Douce descente dans l'abîme du plaisir que tu sais rendre addictive et torride.



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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptySam 29 Aoû - 15:42


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Le brasier qui s’est embrasé dans le creux de ses reins est vorace. Il dévaste tout sur son passage comme une vague scélérate renverse les chaloupes dans une mer agitée. Ce feu est d’une telle intensité que Maximilian est le seul à pouvoir le provoquer. Son appétit est si profond qu’il se laisse couler dans les méandres de ce plaisir que son amant lui offre. Il se déleste de toute pudeur, laisse ses paroles indécentes s’extirper hors de ses lippes pour enivrer son partenaire avec la même violence que ces gestes le retiennent captif d’un incendie incontrôlable qui le dévore de toute part. Il veut l’entrainer dans sa chute, l’enchainer à ces images luxuriantes qui sauront assurément aviver le même embrasement dans son regard, le creux de ses reins et dans chaque terminaison nerveuse de son épiderme qu’il compte bien mettre à sa merci. Ces paroles outrageuses n’ont que pour effet de lui faire entrevoir la suite de leur étreinte, de s’envouter des sensations qu’il va lui faire vivre avec encore plus d’intensité que la prochaine fois. Cette faim de l’autre qu’ils ne parviennent jamais à satisfaire pleinement. Il y a une addiction développée qui ne se tarit pas. Ils sont la drogue de l’autre. Une substance illicite dont il ne compte pas se priver. Elle bien trop délicieuse surtout lorsqu’elle les enchaine l’un à l’autre de cette manière : soumis à la volonté de l’autre. Aiden use de ses mots incendiaires pour provoquer l’ambition de son amant avec cette dextérité qui est devenue sienne au fil des années. Il aime profondément être le seul homme à parvenir à dépraver cet homme aux allures si élégantes. Qui pourrait imaginer la décadence dans laquelle il l’entraine en le soumettant à ses désirs ? Personne. Et c’est ce qui l’excite autant : être le seul à pouvoir le faire devenir la pauvre victime de ses désirs. Il est tellement sexy lorsqu’il baisse les armes et se détache de toute raison. Son âge déchu à la solde d’Eros qui le fait pécher et glisser jour après jour dans son univers, l’éloignant pour toujours du Paradis. Aiden savoure cette vision délicieuse qui ne fait qu’accentuer l’ambition qui lui vrille le ventre alors que les propos de son amant titillent ses sens. Sa proximité lui arrache un grognement appréciable alors que leurs corps se collent l’un à l’autre. Je vais tellement te faire jouir que tu oublieras comment tu t’appelles, Max. Il s’empare de sa virilité pour lui offrir des caresses franches. Il joue avec sa couronne, glisse son pouce sur sa pointe pour lui arracher un grognement qu’il obtient aisément. Leurs lèvres se retrouvent dans un baiser sulfureux qui gagne en férocité alors que le brasier s’intensifie dans le creux de leurs reins. Il se relève naturellement de son fauteuil en voulant retrouver ses lèvres taquines qui lui échappent. La frustration s’intensifie aux mouvements de son amant, au frôlement de sa hampe conte ce fessier qu’il meurt d’envie de posséder sans la moindre préparation. L’idée de retrouver ses parois étroites lui arrache un grognement impatient alors qu’il vient se coller à ce corps qui s’offre au sien. Il oscille son bassin contre le sien juste pour le plaisir de sentir ses muscles fessiers emprisonner sa virilité avide. Sa soif de lui ne s’étanche jamais. Sa main logée contre la virilité de son partenaire, il distille son plaisir dans des caresses expertes alors qu’il vient grignoter son oreille, sa nuque, son regard brumeux se perdant dans la vue offerte par la baie vitrée. Savoir qu’ils se trouvent dans une des plus hautes tours du quartier, que leurs corps enlacés peuvent être aperçus par des voisins curieux ou inconscients de ce jeu érotique qui se lie entre eux. Un sourire arrogant ourle ses lippes alors qu’il vient se nourrir de ce corps qui est devenu sien avec le temps, une extension de son épiderme et qu’il honore à chaque occasion d’une faim qui ne tarit pas. Ses commissures avec délice cette chair humide et salée. Il adore voir ce corps se perdre dans cette chaleur étourdissante au point où il le délie de toute raison. C’est bien ce qu’il compte réaliser aujourd’hui. Il veut qu’il devienne une masse gémissante sous son corps alors que leurs corps seront emmêlés contre cette vitre fraiche et qui s’embaumera de buée face à la chaleur incandescente de leurs épidermes aliénés. Il glisse le long de sa colonne vertébrale, titillant des endroits stratégiques qu’il sait particulièrement sensibles. À la naissance de son fessier, il joue avec cette partie dont il adore se repaître. Sa bouche embrasse, mordille avant de s’immiscer entre ses lobes pour venir titiller la peau plissée sensible. Il dépose des baisers légers, reproduit l’opération en les rendant plus humides avant que sa langue s’invite à la danse. Il joue avec son entrée comme un homme peut jouer avec celle d’une femme, mais dans le cas présent, il adore la saveur musquée de cette chair qui lui appartient. Il est le seul à l’avoir exploré et elle le demeurera tant qu’il aura le droit d’avoir son mot à dire sur la question. En équilibre sur ses cuisses, il dévore avec avidité ce bassin qu’il adore arpenter du bout de son épée. Une épée qui réclame son dû alors que ses phalanges s’attèlent à cajoler celle de son partenaire. Il joue avec sa pointe, sa tige jusqu’à rejoindre ces bijoux de famille qu’il malaxe avec expertise. Il fait grimper l’impatience, le désir sans le laisser savourer la délivrance. Il use son suc comme lubrifiant naturel autour de sa protubérance pour le faire gémir plus férocement. Sa virilité n’a rien à lui envier alors qu’il la caresse de sa menotte vacante juste pour le plaisir de la lubrifier avec sa propre essence. Il grogne contre cette peau plissée qui se dilate sous ses coups de langue qui le pénètre. Il le dévore sans pudeur de longues minutes avant de glisser une de ses menottes à la danse. Il s’immisce en lui, retrouve la chaleur de son bassin pour jouer avec ses terminaisons nerveuses. Il gémit en écho aux sons gutturaux qui s’extirpent hors des lippes de Maximilian qu’il sent se courber de désir. Un sourire ourle ses lippes alors qu’il vient le préparer avec expertise à son intrusion. Il joue avec tous ses points sensibles, utilise ses doigts comme il userait de sa virilité pour toucher ce point sensible qui lui lance des pulsions électriques dans chaque parcelle de son corps. Il sent la respiration de son amant s’appesantir, ses gémissements se faire de plus en plus rauques alors que sa virilité perle de ce suc qu’il ne parvient pas à contenir alors qu’il lui fait tant de bien au point que sa menotte glisse sans difficulté sur la forme tendue de son épée. Il sent de légers tremblements s’emparer des membres tendus par l’effort de son partenaire et il se délecte de l’effet qu’il a sur ce corps qui lui appartient. « Alors, qui est en train de craquer maintenant ? » Il souffle dans une voix chaude contre cette fesse qu’il mord avec espièglerie. « Qui est au bord de l’orgasme rien qu’avec ma langue et mes doigts ? » Il le provoque avant de reprendre sa gâterie en venant parcourir son ouverture de ses phalanges agiles et de sa langue. Il veut l’entendre gémir profondément, qu’il le supplie de le prendre là, maintenant contre cette vitre jusqu’à lui retourner les yeux dans ses orbites. Maximilian connait la musique, il n’a plus qu’à suivre le rythme et succombe à ce désir qui leur vrille les tripes. Le feu d’artifice est prometteur. Il va être délicieux à savourer du bout de sa langue, de ses doigts, de sa queue alors que sa vue s’abreuvera du spectacle décadent dont il est l’artiste lorsque Maximilian est sous l’emprise de ses phalanges.


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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptyVen 4 Sep - 9:15


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



Je m'enfonce avec plaisir et envie dans cette ivresse que tu éveilles. Et que l'on partage sans aucune retenue, sans aucune modération. Esclaves des désirs de la chair, on obéit aux ordres de nos pulsions. Pas question de ne pas les contenter. Pas à cet instant si parfait. Je me laisse happer par ce besoin de t'embrasser, de te caresser, d'être à ta merci comme tu es tout autant à la mienne. Les mains activent les frissons. Les lèvres augmentent le feu. Le jeu glisse vers cette pente que nous adorons emprunter. L'odeur de la luxure se repend comme une traînée de poudre derrière mon bureau. Elle envahit même la pièce prenant centimètre par centimètre pour nous faire davantage baigner dans son monde. J'active tes envies tout en rendant les miennes plus puissantes. Je te vois savourer mes baisers intimes avec cette aisance qui me chavire. Avec cette insolence qui me perd un peu plus chaque jour. Jouant avec férocité sur le besoin de plus. Ce besoin de nous lier, de ne faire qu'un .Ce besoin d'échapper à ce monde pour ne retrouver que celui dans lequel nos corps se perdent durant nos joutes. Celui où ils restent après jusqu'à ce que la réalité refasse surface. Dans ce monde où nous sommes qu'un corps vibrant de passion bouillonnante et d'ivresse sulfureuse. Tes mots choisis avec élégance accroissent ce besoin le rendant tellement réel que j'en ai mal. Un mal délicieux qui occupe toutes mes pensées, surtout les plus intimes, les plus insolentes. Tu sais parfaitement ce que tu fais, tu sais que ton langage se glissera dans toutes mes pores. Avec malice il viendra prendre mes tripes et mes reins, tout comme savent le faire habillement tes doigts et ta bouche. Mais je ne peux m'en passer et j'en demande toujours encore. Jamais envie de mettre fin à ce délice exquis.

Et la chaleur s'intensifie quand je retrouve ta bouche, quand ta main vient cajoler mon épée durcie par ce désir mis doucement en place. Je gémis voulant encore plus. Voulant tout. Te voulant toi. Des images se bousculent dans ma tête ou tel un conquérant tu bouscules les codes et les règles. Et j'aime ça. Je me laisse guider par le fuit défendu que tu te délectes de distiller. Tes doigts, ta bouche, tes mots tout est fait pour me plaire et me mettre un peu plus à ta merci. Mais qui refuserait pareille attention. Il faudrait que je sois fou pour vouloir fuir alors que l'instant devient aussi brûlant que la lave d'un volcan .Et je veux te sentir partout sur moi. Je veux que tu laisses ta trace encore et encore. Que tu tatoues ma peau de ton insolente. Et c'est ce que tu fais. Je te sens descendre le long de mon dos. Je sens irradier la chaleur de ta langue vorace et exigeante. Je frissonne de plaisir alors que mon regard se perd sur la vue que la baie vitrée m'offre. Troublant de savoir que l'on pourrait être observer. Troublant d'imaginer que derrière les autres fenêtres d'autres personnes sont peut être en train de se livrer à la même danse. Qui sait les secrets que peuvent renfermer certaines pièces voisines. Même si pour nous ce qui se passe dans mon bureau doit être moins secret, vu les grognements de plaisir que tu as poussé et ce que tu fais naître quand tu viens t'emparer de ma terre promise. De cette part de moi que je me donne qu'à toi. Tu es le seul à pouvoir rependre tant de délices à cet endroit. Le seul a y glisser ta langue, tes doigts et ta virilité. Je t'appartiens comme tu m'appartiens. Le reste n'a pas d'importance. Et tes baisers deviennent pire que des braises ardentes. Je me cambre et mon bassin s'agite alors que ta langue s'invite en mon creux et que tes doigts frôlent ma virilité. « Putain Aiden tu es sadique. » Mais je l'ai été tout autant tout à l'heure. On aime rendre nos moments charnels toujours plus exquis. On aime retarder l'instant en affamant l'autre juste pour le faire couler plus profondément. C'est un jeu dans lequel nous sommes habille et donc nous maîtrisons l'expertise. Les années partagées font qu'on a une parfaite connaissance du corps de l'autre. Même si les découvertes sont toujours de mise. Car on aime pousser plus loin nos échanges. Je soupire d'aise, les yeux clos, ne pensant qu'au bien être que tu me fais éprouver. Et tout mon corps frisonne. Ta langue, tes doigts me possèdent, noyant mon être tout entier dans la naissance de la jouissance. L'essence du plaisir. Je me doute que ton épée doit commencer à se gorger d'envie plus intime. Elle doit se sentir abandonner, à part que tu ne la câlines toi même pour pallier à son impatience. Je l'imagine déjà en moi avec des coups de bassin puissant et vorace. J'en salive et j'en gémis de désir. Et bien entendu tu joues de la situation. Tout mon corps crie à quel point je te veux. Et je ne peux te cacher ce besoin de sentir ton épée s'infiltrer entre mes parois que tu mets sous ta loi.

« Je ne craquerais pas sexy boy. » Et je me mords les lèvres sous ton assaut plus pressant. Sale gosse que tu es à jouer avec mes envies. Tu sais que je suis en train de tomber dans le piège exquis que tu me tends. Mais qui refuserait cette gourmandise donc tu me gâtes depuis tant d'année ? Pas moi en tout cas. « Ce n'est pas de ma faute si je suis dans cet état. C'est la tienne. Tu adores me provoquer. » Je tourne la tête pour te regarder. « Tu es la provocation incarnée, et encore plus dans cette posture. Je te jure que j'en bave juste en te voyant tout faire pour me griser. » Et je souris avant de gémir à nouveau sous le l'assaut impétueux de ta langue et de tes doigts. « Aucune pitié. » Ma main vient attraper ton bras pour te tirer doucement. Je me retourne un peu pour pouvoir kidnapper tes lèvres avec impatience. Tu m'as affamé sexy boy. « Tu n'es qu'un sale gosse qui aime me pousser au bord du précipice. Mais tu sais que j'adore ça et tu adores abuser de ce pouvoir là. » Ma main vient effleurer ta virilité aussi dure qu'un morceau de bois. « Vu comme tu m'as préparé elle devrait se glisser sans problème dans ma chair brûlante. » Un autre baiser sulfureux  et je me retourne. Collant mon bassin contre le tien. Creusant un peu plus mes reins. Je me frotte même contre ta chair tendue et vorace. « Montre moi comment tu aimes mon cul. Montre moi comment ta queue est affamée de ma chair. » Et tu t'invites dans ma chair, alors que j'en soupire d'aise. « Putain que c'est bon. »  Grisant et envoûtant. Nos bassins se mettent au même rythme. Augmentant dangereusement le poids du désir au creux de nos entrailles. Je viens attraper ma virilité pour la caresser, elle est comme la tienne gorgée de désir et tes caresses n'ont fait que la rendre plus en demande. Puis j'attrape une de tes mains pour l'inviter sur mon épée aidait de la mienne dans le mouvement de va et viens. Alors que nos corps se perdre dans une danse sensuelle ou ils n'espèrent qu'une délivrance. Mais pas tout de suite. On savoure avant. Jouant habillement entre lent et rapide pour faire croître le feu qui nous consume. Et plus tu me possédés et plus je me consume. « Oui continues. Vas plus profond. » Mon autre main vient attraper ton côté juste pour que nos corps soient encore plus coller. Je veux te sentir encore. Réduire l'espace entre nos êtres pour ne faire qu'un. « Baise moi plus fort. »  Plus de retenue, juste du sexe pour le plaisir du sexe et de l'amour. Parce que même si la joute se pare d'indécence et d'insolence. Il est en nous et il donne une couleur encore plus particulière en cet instant érotique et torride. Une couleur donc je ne me lasse pas.



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MessageSujet: Re: Affolement des sens. Maxden Affolement des sens. Maxden  EmptySam 5 Sep - 23:36


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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "



La provocation fait partie de leurs jeux coquins. Chacun d’entre eux use de paroles enjôleuses pour titiller l’imagination de son partenaire. Une technique imparable pour exacerber l’embrasement du brasier qui sévit dans leurs êtres. Ils en sont aussi accros l’un que l’autre et ne rechigne jamais à se plier à cet exercice. Aiden en priorité et il ne manque pas de se montrer aussi éhonté qu’en accoutumé, car il sait à quel point il a cette capacité à enflammer les fantasmes de son amant. D’ailleurs, il ne peut contenir un sourire sournois sur ses lèvres à l’annonce de Maximilian qu’il punit en venant exactement toucher les points sensibles de son anatomie pour le voir plier. Ils n’ont plus aucun secret l’un pour l’autre, ce qui rend la recherche du plaisir que d’autant plus fougueuse et débridée. Ils se laissent dominer par leurs pulsions sans plus se poser de questions, acceptant tant bien que mal les desseins de l’autre. Maximilian se fait plus ouvert pour le plus grand bonheur de l’ex-chef de publicité qui avait craint de le perdre alors qu’il l’a dans la peau. Essayer de vivre sans lui a été difficile et pouvoir succomber de nouveau aux plaisirs de la chair en sa compagnie est un Eden dans son existence. La luxure n’a cette intensité qu’avec cet homme qui a fait de lui l’homme qu’il est aujourd’hui. Un homme capable d’aimer sans se renier lui-même. Un homme qui lui a appris à s’aimer et à se construire un chemin vers la réussite grâce à son soutien. Un homme dont il ne veut plus se passer même s’il est plus pudique dans l’expression de ses sentiments en dehors de la luxure. Sans doute parce que durant le sexe, il n’y a plus de barrière entre eux, plus de différence d’âge et qu’ils deviennent juste deux hommes désireux d’offrir leur passion à l’autre comme à cet instant où il se sustente de l’exaltation de son amant qu’il sent faiblir sous ses attaques cupides. « Aucune pitié. » Il souffle dans un rire qui se veut coquin alors qu’il reprend ses gâteries qui se retrouvent interrompues par son amant qui l’attire doucement vers lui. Son regard taquin vient se perdre dans les prunelles de son petit-ami. Leurs lèvres se retrouvent dans un baiser sulfureux alors qu’il lui arrache un grognement d’impatience. Sa menotte sur sa virilité est exquise et il ne peut s’empêcher de donner un mouvement de bassin en son sein pour savourer sa chaleur contre sa chair. Un sourire ourle ses lippes alors qu’il se montre aussi impertinent comme d’habitude. Il n’est pas nécessaire de contredire son amant, car il a raison sur toute la ligne. J’adore abuser de ce pouvoir-là. T’avoir à ma merci, c’est ce qui me fait planer. Ses prunelles brillent de ce feu qu’il ne contient nullement et qui enflamme son épiderme et accroit son appétence. Il a envie de lui, d’envahir ses reins et sentir de nouveau les parois de son homme engloutir son épée comme un étau. Cette pensée s’immisce insidieusement dans son esprit et est avivée par les paroles crues et sulfureuses de son partenaire. Il sait comment lui parler, enflammer ses pulsions et le faire agir malgré son envie de le pousser jusqu’à ses limites. Voir cette silhouette cruellement désirable se damner pour la sienne est une vision enchanteresse à elle seule. Le frôlement de son fessier contre sa virilité lui arrache un grognement d’impatience, accru par ses paroles qui pourraient damner même un ange. Ce qu’il n’est absolument pas. Cela fait bien longtemps que son âme s’est damnée pour les plaisirs de la chair, surtout en la compagnie de cet homme tout aussi dépravé que lui. Il n’a plus rien de l’homme qu’il a soumis à son désir lors de leur première rencontre. Aussitôt demandé, il s’immisce sans difficulté en ses terres qui n’ont plus aucun secret pour lui. La sensation est exquise et est révélée par un grognement qui vient se perdre dans l’oreille de son amant qu’il vient mordiller. « Tu la sens bien, tout au fond de ton cul ? » Il le questionne alors qu’il le possède jusqu’à la garde. « Moi je sens bien tes muscles masser ma queue pour la garder en toi. T’aimes me sentir en toi ? » Il provoque dans un sourire narquois alors que ses mains viennent caresser ses hanches et rejoindre son ventre, son buste. Il enflamme sa chair sans pudeur, oscille doucement son bassin contre le sien pour savourer la sensation de friction qui lui arrache des frisons d’excitation. Le mouvement se veut lent, mais prend peu à peu de puissance. Il lui est difficile de résister à l’appel de ce bassin contre lequel il prend plaisir à claquer et qui ne fait que le réclamer plus intimement. Son souffle se fait plus erratique alors que les bruits érotiques de claquements viennent emplir la pièce comme leurs gémissements gutturaux. Ils se perdent dans la recherche du plaisir, se déliant de toutes les chaines liées à la raison. Ils ne sont plus que deux âmes déterminées, à la recherche du plaisir dans sa forme la plus primaire. Ils s’emboitent comme deux pièces faites l’une pour l’autre. Il s’applique à lui offrir de ses doigts experts les mêmes frisons que son bassin lui arrache alors que la chaleur incandescente embrase leurs reins. La passion prend peu à peu possession de leurs échines alors qu’ils ne deviennent que deux masses gémissantes prêtes à tout pour succomber à ce feu qui ne demande qu’à les bruler jusqu’à l’os. Et ils aiment ça, en redemandent systématiquement alors que leur corps à corps se fait plus intense et bestial. Une pellicule de sueur recouvre leurs chairs en effusion alors que des râles d’extase viennent remplacer leurs gémissements. L’air ambiant de la pièce semble être devenu brûlant, au point de recouvrir d’une fine couche de buée la vitre contre laquelle Maximilian est appuyé avec de plus en plus de difficulté face aux assauts brutaux d’Aiden qui le baise de plus en plus sauvagement, mais en veillant surtout à son plaisir. Ses mains viennent assurer leurs prises sur ses hanches alors qu’il s’enivre de la vision de son postérieur et de son dos devant la vue aérienne. Son visage vient se perdre dans son dos alors qu’il se laisse gagner par ce feu qui se fait violent dans le creux de ses reins. Il prend son pied, oscillant son bassin de sorte de frôler à chaque fois ce point sensible dans les reins de son homme qui lui fera perdre pied et c’est magnifique de le voir perdre du terrain face à la vague de plaisir qui menace de le submerger. « Putain, que ton cul est bon pour ma queue, Max. » Il souffle dans une voix essoufflée alors qu’il accroit ses coups de reins avant de les calmer, lui arrachant par la même occasion un râle de frustration. Il veut faire durer le plaisir et s’efforce d’y parvenir en oscillant plus lentement son bassin contre le sien, mais très rapidement la course effrénée reprend, car la friction est parfaite. Trop parfaite pour qu’il tienne des heures. Ils aiment de toute façon prendre leur pied et il s’agit du premier round, alors il peut s’octroyer le plaisir de lui arracher un orgasme puissant et rapide. Ce qu’il s’applique à réaliser en venant reprendre en main sa virilité pour lui offrir des caresses franches et puissantes. Son regard se plante dans le reflet de la fenêtre pour observer le visage en transe de son amant qui n’a absolument rien à lui envier. Regarde-nous. Regarde comme tu es magnifique quand je te prends. C’est ce que j’ai envie que les autres voient, qu’ils voient à quel point tu m’appartiens, car c’est la vérité. Tu es à moi et la seule queue que tu connaitras est la mienne. » Il lâche dans un claquement plus profond que jamais alors qu’il vient le plaquer contre la vitre pour l’assaut final. Ses reins se font de plus en plus conquérants alors que ses dents viennent se planter doucement dans son omoplate. L’extase est proche, plus que quelques mouvements de reins et l’explosion se fait brutale, dévastatrice et cruellement jouissive. « À moi. » Il grogne alors qu’il laisse le plaisir s’étioler dans ses veines au point qu’il le laisse à bout de souffle et tremblant. Définitivement, il se sent complètement dévasté et démuni face à l’extase qu’à ses côtés. Et pour rien au monde, il ne veut changer cette réalité. Il est cruellement amoureux de cet homme.  


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