MAXDEN for EVER.

" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

"Aucune pitié". Tu reprends mes mots et entre tes lèvres ils sonnent avec indécence. Mais j'aime subir tes assauts, qu'ils soient doux ou plein d'insolences. J'aime quand tu te joues de moi et que tu me possèdes après m'avoir habillement mal mené. Tu as le don de me faire perdre pied, tu es une gâterie exquise dont je n'ai aucune envie de me priver, j'aime abuser de tout ce que ton corps tout entier sait me procurer avec délice. Ta langue, tes lèvres, tes doigts, ton épée, chaque parcelle de ta peau est une drogue qui m'enivrent et m'envoûtent. Ton regard aussi surtout quand il se fonce de désir toujours plus érotiques et torrides. Et il y a ta voix chaude qui caresse mes oreilles et inonde mon esprit d'images toujours plus sensuelles. Tu sais te montrer ange et démon à la fois, tu sais m’appâter et m'inviter dans ton jeu, dans cette danse que l'on va partager sans aucune retenue. Sans modération. Et là le jeu devient de plus en plus addictif, j'ai envie de plus que ta langue ou tes doigts. J'ai envie, de ta fougue qui vient rendre tes mouvements de bassin plus intenses. J'ai compris il y a bien longtemps que te résister était une chose inutile. Tu sais parfaitement m'amener dans le gouffre que tu ouvres et dans lequel je me jette avec délectation. Oui tu es doué et tu t'appliques à me faire vriller. A me pousser pour mieux me prendre. Mais je sais que tu es tout autant accro. Que si je coule tu me suivras sans résistance. Parce que ce besoin de luxure est partagé, lié par un sentiment amoureux qui dépasse bien des limites. Qui est forgé dans nos douleurs comme dans nos cris de jouissance. Alors oui aucune pitié mais putain que c'est bon de te sentir si affamé, si assoiffé, si gourmand. Je n'ai qu'une envie c'est que tu me prennes avec cette passion qui brûle autant tes reins que les miens.

Alors je t'attire vers moi, mes yeux perdus dans les siens. Ma peau frissonnante de tes assauts, impatiente des autres qui seront bien plus intimes. Mon corps te réclame. Mon cul veut ton épée. Profondément. Longuement. Déjà mon bassin se cambre pour provoquer la danse. Elle sera lente, vorace, endiablée, passionnée, amoureuse, scabreuse, exquise, unique. Elle sera tapissée d'amour, de gémissements, de mots provocants, de gestes obscènes, de douces caresses, de baisers fiévreux et langoureux. Tout mon être tremble à l'idée de la suite. De cette suite qui pourra être vu parce ceux qui bossent en face. De quoi t'exciter un peu plus, sale gosse vicieux que tu es. Tu aimes étaler à la face du monde ce pouvoir que tu as sur moi. Ce fait tu je suis à toi et que tu prends mes fesses avec une possessivité qui t'est propre. Et tu as bien raison car elles ne sont qu'à toi. Et ce n'est pas demain que ce fait changera. Et je frôle, j'effleure de ma chair en demande ta chair tendue. N'attendant qu'une chose être conquis. Tu te glisses en moi et je gémis de plaisir en sentant ton épée envahir mon espace. Je suis excité et les vas et viens se veulent puissant. Mon cul veut avaler ta queue tout entière, je veux la sentir dans mes entrailles. Sentir son feu et sa puissance. Mes muscles se serrent autour de ta chair, ma peau glisse contre la tienne et chaque frôlement me fait frissonner. Me donne envie d'un autre. Provocation dans les mots. Dans la position qui s'offre à la vision. Mais je ne pense pas à ceux qui pourraient nous voir. Je ne pense qu'à toi et à cette attraction que tu rends plus forte. Une attraction qui m'entraîne ailleurs, vers cette jouissance que tu sais habillement distillé et qui m'enchaîne un peu plus à toi chaque jour. Je sens ton sourire dans tes mots. « Non pas assez tu peux encore t'enfoncer. » Je sais combien tu aimes me dominer, dans ce jeu tu es doué, un expert de première. « Oui comme ça. » C'est toi qui m'a fait capituler la première fois. Alors que je pensais me saisir de tes fesses, c'est toi qui a pris les miennes. Avec l'insolence de ta jeunesse toujours autant présente dans nos joutes endiablée. Petit con qui fait de moi un homme comblé dés que nos peaux s'effleurent et se donnent. Tu retournes toujours autant mes tripes. Je me cambre d'avantage, soupirant d'aise quand tu t'enfonces. « J'adore ça. Comme tu aimes me prendre. Ta queue est tellement dure et tu es si excité. » Nos yeux se kidnappent par le biais de la baie vitrée. Je peux voir ton regard s'assombrit. Être envahi par le désir fou qui nous enflamme. Tes mains se baladent sur ma peau rendant l'incendie plus vorace, tu sais comment me donner envie de plus. Tu sais comment me pousser à aller plus loin dans la joute. Divine tentation que tu rends diabolique mais je pourrais me damner juste pour recevoir la bénédiction de ta queue. L'offrande de ton sexe, même si à cet instant il offenserait bien des personnes si on nous surprenait.

C'est aussi le genre d'idée qui active tes envies, toi qui est bien moins pudique que moi. Toi qui rêverais d'offrir au monde la vue de nos deux corps enlacés entrain de faire l'amour. Nos peaux se parent de perles, nos souffles se font rapides, nos corps s'emboîtent avec passion. Mes mains voudraient serrer ton corps mais elles se contentent de s’aplatir sur la vitre qui se couvre de la chaleur de notre joute. Les tiennes se font ardentes contre ma peau, jouant habillement sur ma chair qui s'éveille encore et encore sous tes caresses. Le feu augmente, s'intensifie et coule dans nos veines, activant un brasier qui ne s'apaisera qu'au moment ou la jouissance se glissera en nous. Et tu rends tes assauts provocants, alors que tes lèvres s'égarent, embrassant et mordillant ma chair. Tu me rends fou. Je tourne ma tête pour me saisir de ta bouche que je veux dévorer de toutes les façons possibles. « Mon cul est la meilleure des sucreries pour ta queue. Reste à savoir si elle le met avant ou après ma bouche. » Je te nargue alors que j'ai de plus en plus de mal à résister à cette danse que tu rends exquise, passionnée, insolente, brûlante. Tu joues avec le rythme, accélérant et ralentissant pour nous rendre plus gourmand. Je m'en mords les lèvres car je te veux vorace et affamé. Je te sens au bord du gouffre, mais j'y suis aussi. Je sais que la frontière est proche et que de l'autre côté nous attend ce bonheur ivre et délicieux. Tes doigts autour de ma queue, nos corps collés l'un contre l'autre, nos regards enchaînés, ton souffle sur ma peau et cette vague immense qui nous submerge. Violente et dévastatrice elle emporte tout sur son passage, nous unissant dans le même plaisir, dans le même soupir. Je frissonne sentant ta chaleur envahir mon bassin . Je sens même mes jambes tremblées alors que tu te délectes de la vue que nos corps enlacés offre. Je laisse mon regard dans le tien, tu me marques de ta possession. J'aime être à toi, n'être qu'à toi. De toute façon ton nom est tatoué sur son cœur, sur la moindre parcelle de ma peau, de ma chair. « De toute façon je n'ai pas l'intention d'être à un autre sexy boy. Je me ferais moine si un jour ta queue ne veut plus de mon cul. » Je ne lâche pas tes yeux alors que nos corps finissent de couler ensemble dans ce délice que nous avons créé. Ivre de plaisir. Tu es le seul à m'en donner autant. Le seul à me déstabiliser de la sorte charnellement et émotionnellement. « Je t'aime et je ne suis qu'à toi. » Et ce fait ne changera jamais. Qu'importe ce que demain nous réserve. Je me tourne, non sans gémir en sentant ta queue abandonnée mon cul. Je te fais face offrant mon dos à la baie vitrée. Je prends ton visage dans mes mains et je viens t'embrasser langoureusement, amoureusement. Tout mon corps crie dans ce baiser la force de mes sentiments. J'ai encore du mal à reprendre mon souffle, faut dire que la joute a été des plus torride. Mes mains descendent le long de ton dos, caressent tes hanches, tes fesses, elles viennent à nouveau se perdre en leurs creux. Alors que j'appuie mon bassin pour que ta virilité sente la mienne. Puis je te regarde. « Est ce que ton cul a aussi faim que le mien ? » Je te fais un clin d’œil. « On doit avoir le temps pour que j'explore tes terres avec autant d'appétit que tu as exploré les miennes. » Et tant pis s je saute le repas de midi, j'irais me chercher un truc vite fait. Là je veux à mon tour envahir ce qui est à moi et rien qu'à moi. « Faut bien que je marque ton corps au fer rouge. Comme tu viens de marquer le mien. Tu peux même venir me chevaucher sur mon fauteuil. Sauf si tu préfères que je te prenne sur mon bureau. » Je te regarde tout en continuant mes caresses. Mes doigts toujours plus entreprenant. Ma queue toujours plus insistante. « A part que tu préfères t'offrir à ton tour à la vue. » Je souris me doutant que ma dernière proposition risque fort de te plaire. Sauf si tu en as une meilleure. En attendant je retrouve tes lèvres et m'active à réanimer le feu qui nous dévore encore.  

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

L’extase qui le gagne est profonde. Il n’y a rien de meilleur au monde que le fait de se perdre fougueusement dans le bassin de son partenaire à la recherche de ce paroxysme. Cette ascension pour le paradis terrestre est si addictive que les deux amants sont devenus maîtres en la matière pour accentuer ses effets. Ils sont deux toxicomanes, accro à la chair de l’autre et pour rien au monde, ils ne désirent en être sevrés. Sans doute même que mourir de plaisir serait une fin parfaite pour l’un autant que pour l’autre. Bien sûr, ils ne souhaitent pas en venir là, du moins aussi longtemps que cela leur est possible. Cette allégresse est délirante et leurs êtres sont en transes sous la vague de plaisir qui s’abat sur eux. « Putain ! » Il grogne contre cette peau meurtrie par sa marque de possession. Leur étreinte n’a rien de doux, mais elles sont toutes différentes. Ils ont l’aisance de s’adapter au désir de l’autre, prêt à jouer avec le désir de l’autre avec tendresse ou avec férocité. Faire l’amour et baiser, c’est leur manière de se donner l’un à l’autre. Il n’y a rien de plus exquis que de sentir son suc s’épandre hors du corps de son partenaire tremblant sous le coup de l’extase. Cela gonfle sa poitrine d’une fierté qu’il embrase sans honte. La fébrilité de Maximilian lui est plaisante alors que son souffle erratique se perd contre son oreille qu’il mordille avant de suçoter sa peau accessible. Il laisse son essence s’extirper hors de son être alors qu’il surfe cette vague de félicité. « Tellement bandant. » Il grogne contre son cou alors qu’il amorce un mouvement de bassin juste pour qu’il le sente encore plus profondément en lui. Un sourire ourle ses lippes alors que ses prunelles s’ancrent à celles de Maximilian au travers de la baie vitrée. « Ce n’est pas prêt d’arriver. » Il indique en venant frôler ses aines, son ventre en remontant sur son torse. Ton cul m’arrache mes meilleurs orgasmes. » Il laisse sa voix rauque se perdre dans on oreille alors qu’il grogne de plaisir, à la limite d’un ronronnement lorsqu’il entend la déclaration de son amant. « Comme je ne suis qu’à toi. » Il ajoute dans un murmure dans son oreille tel un secret. Si Maximilian a l’aisance de dire ces trois mots, Aiden demeure très discret à ce sujet. Le feu s’étiole de leurs veines sans amoindrir le brasier qui enflamme leurs prunelles de cette passion qui ne se tarit pas. Un grognement émanant de sa gorge montre son mécontentement de quitter l’antre de son partenaire. Une frustration vite rattrapée par l’image érotique qui vient titiller son esprit. Les fesses de Maximilian souillée de son essence à la vue de tout le monde. Cette pensée active naturellement son désir en faisant légèrement réagir sa virilité humide et moite contre celle de son amant. Le baiser volé est passionné et Aiden n’hésite pas à le coller contre la baie vitrée embrumée par la chaleur de leurs corps. Le premier round est fini, mais ils ne sont pas prêts de s’arrêter. Cette faim insatiable ne semble jamais prendre faim et qui rend leurs respirations si lourdes et difficiles. Il sent l’appétit de Maximilian revenir au galop alors qu’il arpente ses formes avec dextérité, frôlant ses points sensibles avant de rejoindre ses terres. Le désir du plus vieux se fait connaitre et lui arrache un sourire coquin. « Un jour, seul te nourrir de mon essence te suffira. » Il indique dans un clin d’œil charmeur avant de souffler contre ses lèvres gonflées par ses baisers : « Même si toutes les idées soumises sont affriolantes, je suis prêt pour me soumettre à la dernière. » Il vient embrasser sa mâchoire avec sensualité. Sa langue vient titiller sa peau légèrement ombragée par sa barbe. « Il serait dommage de te priver d’un tel plaisir. Je suis sûr qu’au fond de toi, l’idée qu’on puisse t’observer me posséder entièrement et me marquer de ton essence te fait bander comme jamais. » Il conclut contre son oreille alors que ses phalanges viennent de nouveau s’emparer de sa virilité pour la caresser de toute sa stature, jouant avec sa couronne sensible après tant de caresses. Il l’entend gémir à cause de la sensibilité et ça le fait bander. « Baise-moi comme tu en meurs d’envie. Fais-moi crier ton nom pour que tout l’étage sache que je suis à toi. Cela fait des années que tu attends cet instant. Plus de secrets. On est un couple aux yeux du monde. » Il finit en venant l’embrasser langoureusement alors qu’il se colle plus intimement à lui pour frotter leurs virilités l’une contre l’autre, sous la pression de ses doigts. Il le titille juste pour garder l’excitation tolérable, mais c’est à Maximilian de définir la suite. Il a déjà une petite idée de ce que ses mots vont produire sur la psychologie de son amant et sa libido. D’ailleurs son petit sourire vaniteux et éhonté en est la preuve flagrante. Maximilian ne peut pas le résister. Il n’a jamais su le faire et il est bien le dernier à s’en plaindre. C’est son homme. Son beau gosse. Il est à lui. Entièrement sien.

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Le feu du plaisir emplit mes reins alors que ton bassin se fait plus possessif et intrusif. L'instant est des plus torride et addictif. Tu sais me rendre fou et affamé mon être tout entier. Ta main autour de ma queue qui se pare de jouissance, alors que la tienne enserrée dans ma chair brûle avidement mes entrailles. Nos odeurs se mêlent avec sensualité tout comme nos essences. Et le plaisir que j'éprouve est décuplé par les sentiments que je ressens. Tu me rends dingue mais putain que c'est bon. Tu es mon paradis et mon enfer. Tu es celui pour qui je me damne, celui pour qui je donnerais ma vie. A cet instant j'oublie que nous offrons, au travers des baies vitrées de mon bureau, une image dépravée d'une joute endiablée. Je ne vois que toi et cet exquis moment qui me fait grimper au 7ème ciel. Qui me fait toucher cette caresse à la fois mordante et enivrante qu'on obtient quand le corps à corps est plus que parfait. Ton souffle dans ma nuque, tes lèvres sur ma peau et ton corps soudé au mien, aimanté même, nous ne faisons qu'un. Mon regard se voile de ce désir non retenu qui s'exprime dans nos gémissements, dans les mots glissés avec expertise et qui diffusent tout comme ton corps ce délice donc je ne peux et je ne veux me passer. Tu es douceur et vice, tu es plaisir et frustration, tu es ange et démon. Mais c'est pour toutes ces raisons que je t'aime. Pour ces deux facettes que tu as d'entré de jeu mis sur la table. Parce que tu me fais sombrer dans un abîme à la fois pervers et sensuel, me poussant toujours plus loin dans la quête du désir et du plaisir. A cet instant tout peut s'effondrer, quelqu'un peut entrer dans mon bureau, j'en ai rien à foutre, De m'exposer ainsi à la vue de tous j'en ai également rien à foutre, je t'aime et le reste peut aller au diable. Je t'aime et tu me fais jouir avec insolence et passion. Que désirait de plus de la part de l'homme qui partage ma vie et qui vient d'afficher notre relation sans aucune retenue. C'est certainement ce fait, en plus du désir que je ressens à chaque fois que je suis à tes côtés, qui a galvanisé mon envie. Et l'abandon se fait complet, caressé de soumission et de domination. Les mots se font plus forts, alors que nos cœurs explosent sous l'effet de plaisir ressenti. Mon corps tremble sous tes derniers mouvements, sous tes mordillements, sous ton regard d'homme comblé qui se reflète dans la vitre. Je souris heureux de te voir si possessif. Oui c'est notre pacte, nos culs ne seront jamais à un autre. Et même si les je t'aime ne sortent que de mes lèvres, ils parent les tiennes de teintes aussi violentes et sincères. Je sais ce que tu ressens, ce que ton cœur chante à cet instant. Tu me le dis différemment mais le message reste le même. Et il est puissant. Il active chaque fois mon être de frisson. C'est juste beau et vrai. Pudique et indécent. Mais c'est juste nous, une saveur de souffre auréolé de douceur infini et de respect.

Et lentement ton corps quitte mon corps, c'est toujours déroutant ce passage ou le vide vient rependre place dans mon antre encore brûlant de toi. Je me retourne pour venir chercher ta chaleur. Pour titiller des frissons et des gémissements plus doux. Pour sentir ton corps contre le mien. Pour cet après l'amour toujours sensuel et qui nous permet de reprendre notre souffle. Les doigts continuent et distribuent des doses de frôlements experts. Nos lèvres s'aimantent et nos langues dansent. Toujours prêtes à retenir nos souffles plus longtemps. C'est grisant ce besoin de rendre l'autre dingue, de le rendre impatient d'une suite. De le rendre addictif à une nouvelle danse. Jamais rassasié. Toujours affamé. Et je vois dans tes yeux cette tension que la situation met en scène. Cette tension irrationnelle qui alimente nos êtres comme une pompe. Elle est intense et nos virilités nous montrent combien elle est encore présente. Le désir semble ne pas avoir assez était assouvi. Il y a de ma part ce besoin de te faire mien. De sentir ma queue venir arpenter ta terre incendiaire. Tu es à moi et comme tu m'as marqué de ta présence, de ton insolence, de ton essence, je le veux aussi. Parce que cette faim elle est tenace et vorace. Je souris à tes mots. « Traite moi de vieux quand que tu y es. J'en ai encore sous le pied et il n'est pas arrivé le jour ou je me contenterais juste de ton essence. Mon épée va te conquérir durant bien des années mon amour. J'espère que ton cul est prêt à la supporter. Parce que sa faim ne va pas se tarir demain. » Je sais que la différence d'âge pèsera un jour. Mais pour le moment, je suis parfaitement en forme et apte à te faire mien. Et je compte faire durer ce droit et ce plaisir le plus longtemps possible. « J'étais sur que tu craquerais pour cette idée. De toute façon les autres peuvent mater si ça leurs chantent. Personne n'aura ce que je vais avoir. Tes gémissements, et surtout ton corps soumis à mes reins. Ta queue soumise à ma main. Eux ils auront la vision et moi les sensations. Alors qu'ils matent.» Oui ils n'auront que la vue d'un homme qui se fait dominer par son amant. Un homme soumis et heureux de se laisser envahir le bassin. Moi j'aurais tout le reste et je compte bien marquer mon territoire. Et en effet, par la même occasion, que toute l'agence sache que tu es à moi. Les caresses reprennent, tout comme les baisers. Nos corps sont sensibles et nos touchés nous électrisent un peu plus. Les frissons se font plus longs, plus profonds. Et le jeu plus intense. J'aime cette provocation que tu viens glisser avec habileté le long de ma virilité. J'en fais de même avec la tienne sans précipité les choses. Plus c'est long plus c'est bon. « Non plus de secret . »

Nos lèvres se retrouvent et se kidnappent. Ta main enserre nos virilités, les effleurements sont déroutants et terriblement excitants. Je profite et mes mains s'activent avec douceur sur ta peau, la marquant un peu plus. Une se perd sur tes reins, sur tes fesses et puis en leurs creux. Mes doigts s'invitent pour titiller cette partie de chair que je désire avec ardeur. Je gémis contre ta bouche impatient de te faire mien. « Putain Aiden tu aimes me rendre fou .. » Et lentement je te fais te retourner. Ma main vient caresser ta queue tendue. Je m'écarte un peu pour admirer ton corps, mes yeux partent de ta nuque et glisse le long de ton échine, de ta colonne vertébrale, de tes reins, sur tes fesses ou ils s'attardent, l'arrière de tes cuisses. « Tu es si sexy, si beau. Un corps pareil n'est fait que pour le pêcher de la chair.. » Et je me rapproche collant mon corps contre le tien. Ma langue taquine ta peau. « Tu as été créé pour ça. Pour me rendre dingue et accro. Tu es fais pour donner et recevoir la jouissance. Je te désire tellement .. » J'embrasse ta nuque. Ma queue vient frôler ta chair. Je titille l'entré, excite, provoque. Je veux te pousser à bout comme tu l'as fais avant avec moi. Je veux sentir ton cul se tendre, se faire impatient et avide de désir pour ma queue. Mes lèvres jouent contre ta chair, mes dents mordillent, mes mains caressent ton épée et tes courbes. J'attise le feu. J'attise ton envie. « Demande moi de te prendre. De te faire mien. Crie ton désir, ton impatience à sentir mon épée conquérir ta chair. » Et je presse un peu plus ma queue contre ta peau sans la pénétrer. J'active le désir, le titiller, le rend ardant. Je te sens réceptif, frémissant, frissonnant et cela décuple ma propre envie. Mon regard plonge dans le tien au travers du biais de la baie vitrée comme le tien l'a fait plutôt. « Regarde comme on est beau. » Sensuel, érotique, amoureux. Et cette vision de nous rend mon être encore plus fébrile. Putain que je t'aime et que je te veux.

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Le brasier reprend doucement vie au creux de leurs reins. Le feu est à peine éteint qu’ils le ravivent sans aucune hésitation. Ils sont accros aux flammes incendiaires du désir qui les englouti à chaque fois qu’ils sont l’un avec l’autre. Une terrible addiction qui pourrait résolument avoir leurs pertes, mais contre laquelle ils ne luttent pas. A quoi bon ? Ils sont près à se damner en enfer pour l’autre. Ils l’ont même déjà fait. L’affection qu’ils se portent est bien trop intense parfois pour qu’ils puissent garder les idées claires, mais l’enfer ne les a jamais séparés. Pas totalement, parce que ce lien, cette attraction et alchimie ne fait que s’affermir au fil des rencontres et des séparations. Aujourd’hui, Aiden n’a plus de raisons de fuir pour se protéger. A sa manière, Maximilian l’accepte et les paroles qu’il prononce lui laisse entendre ce qu’il désirait tant voir s’extirper hors de ses lèvres. Ces paroles qui rendent son âme si fière de l’ouverture d’esprit qui s’opère en son amant. Des mots qu’il n’aurait jamais prononcés auparavant, mais qui sortent comme une évidence pour lui à cet instant précis. Un sourire fier vient ourler ses lippes. Ses prunelles luisent d’une excitation qu’il ne peut pas masquer. L’idée qu’on puisse les surprendre en train de s’envoyer en l’air est très affriolante. Son côté exhibitionniste s’excite à cette pensée et qui accentue la flamme de ce désir qui s’embrase de nouveau au creux de ses reines. Leurs lèvres se retrouvent tandis que leurs menottes viennent user de leurs talents sur l’échine de l’autre. Tout est mis en œuvre pour renforcer l’embrasement de ce brasier qui s’intensifie au creux de leurs reins. Le frôlement des doigts de Maximilian contre sa terre promise lui arrache un frison exquis et un grognement pour l’inviter à poursuivre son action. Il use de tous les moyens pour affamer son amant qu’il s’applique à caresser de sa main experte en le faisant colisser contre sa propre virilité. La pression ferme de l’une contre l’autre est aphrodisiaque. Encore humides du plaisir expérimenté quelques minutes plus tôt, elles s’imprègnent de l’essence de l’autre pour titiller les sens de l’autre. Il aime lui faire perdre ses moyens. Faire en sorte que cet homme si fier se dédouane de toute raison pour se laisser dévorer par les flammes du désir charnel jusqu’à devenir qu’une masse gémissante, déterminée à arracher le plaisir à son partenaire. Ce qui ne manque pas de se produire lorsqu’il le sent s’extirper de son emprise pour le contraindre à se retourner face à la baie vitrée. Les mains moites posées sur la fraicheur de la baie vitrée. Il se donne sans pudeur à la vision de son amant. Son corps luit de sueur alors que sa virilité lourde d’ambition vient peser son poids dans la poigne de son partenaire. Il n’hésite pas à contracter ses fesses et bander ses muscles pour amorcer des mouvements de bassin au creux de cette main qui soulage son excitation. Ses prunelles sombres sont plongées dans le reflet de la fenêtre alors qu’un sourire éhonté vient ourler ses lippes. Il n’hésite pas à glisser une de ses mains contre son propre fessier pour écarter sa chair et lui permettre d’avoir une meilleure vision de son anatomie qui semble réclamer les attentions de son partenaire. Il savoure la portée des paroles de son partenaire comme l’excitation que cela lui procure. Son toucher affriole sa chair, tout comme sa hampe vient tirailler son envie de le sentir l’envahir. Son rythme cardiaque s’emballe sous ses sollicitations exaltantes, accentuées par la voix rauque et emplie d’ambition de son partenaire qui use de son charme pour le faire appliquer ses volontaires. Il n’a pas besoin de les prononcer, son corps parle pour lui lorsque son bassin vient chercher le contact du sien. Il ne voit aucun inconvénient à répondre à sa volonté, mais le côté joueur et provocateur d’Aiden l’entend pas sous cet angle. Un sourire malicieux vient ourler ses lippes. « Tu préfère quand je prends ce que je veux. On le sait très bien tous les deux. » Sa voix est rauque, saccadé par l’intensité de la brûlure qui gagne le creux de ses reins. Il plonge ses iris derrière lui pour retrouver ceux de son amant. Son bras passe derrière lui pour venir presser la hampe de son partenaire contre son antre. Il laisse la couronne passer l’anneau de muscle qui lui arrache un grognement mêlé de plaisir et de douleur. Il applique des mouvements de va-et-vient sur sa virilité avant de glisser contre sa hanche et rejoindre sa fesse pour l’inciter à le prendre pleinement. Il ne le demande pas. Il s’empare de sa virilité au creux de son bassin en venant presser sa main et son bassin pour la retenir prisonnière de sa prison. Un long grognement vient s’extirper de sa gorge sous le tiraillement que cette manœuvre provoque. La douleur se mêle au plaisir et il ne recule pas, l’accueillant jusqu’à la garde dans son bassin. La sensation d’être envahit de la sorte lui arrache un sourire alors qu’il provoque son amant. « Regarde comme mon cul a avalé ta queue. Tu sens mes muscles internes vibrer autour de ta hampe ? » Il lâche en venant se tordre pour s’emparer de sa bouche dans un baiser profond et affamé. « Maintenant rends-moi dingue. Baisse-moi bien et fort. On sait très bien que c’est ce dont tu as envie. Jouir au plus profond de mes reins sous ton emprise. Te faire tiens. » Il souffle contre sa bouche avant de lui offrir un sourire et regard éhonté avant de retrouver sa position initiale en oscillant de son bassin contre le sien et en se plaçant de sorte à lui offrir le meilleur angle de pénétration possible. Il est prêt à se laisser dominer pleinement par son âme tant qu’il lui offre la jouissance promise. Il le veut et il s’applique à obtenir ce qu’il désire en opérant des mouvements de bassins provocateurs en l’emprisonnant bien fermement dans son bassin. Il sait pertinemment qu’il joue avec les limites de son homme et ça l’excite cruellement.

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Tu est beau contre cette vitre ton corps offert à la ville. Ta nudité paraît de tous ses attraits. Ton corps respire la luxure. Ta peau en brille sous les rayons du soleil qui éclaire le creux de tes reins. Ta virilité dans ma main s'abandonne à mes caresses que tu accrois du mouvement de ton bassin. Et la vision que tu me donnes devient plus érotique et torride. Ton corps se tend vers ce plaisir que je vais distiller du bout de mon épée avant de venir te prendre de toute sa longueur. Je salive alors qu'une de tes mains m'ouvre un horizon plus grand sur ta terre intime. Délicieux provocateur que tu es. Mais comment ne pas plonger dans cette exquise addiction que tu sais rendre si sensuelle et érotique. A chaque nouvelle joute tu fais sauter de nouvelles barrières, m'entraînant sur le chemin de la luxure avec une facilité désarmante. Si j'ai lutté bouffé par des réticences du à mon éducation, je me laisse doucement bercer par ces moments sublimes. Et même si là nous sommes seuls au monde face au monde, nus comme Adam et Eve dans le paradis, nus comme si le péché ne pouvait nous effleurer, je suis conscient que l'on pourrait nous observer, voir nous surprendre. Et je sais que c'est le genre de pensées qui t'excite. Mais quand tu es excité de la sorte tu ne fais qu'augmenter mes envies. Mon désir de te posséder et de te faire grimper aux rideaux. De te propulser sur ces planètes toujours plus éloignées de la terre et où il fait si bon te retrouver. Ou nos corps endiablés par la joute se fondent et s'unissent dans la plus exquise des danses. Celle de l'amour. Parce qu'il est là le plus de notre relation chaotique. Cet amour sans limite, profond et intense comme un raz de marée. Doux comme la soie, affriolant comme le rouge, chaleureux comme une chanson qui tourne en boucle. Cet amour est l'essence de tout et même s'il nous a rendu hésitant et perdu, il nous donne la force d'en être là aujourd'hui. Alors même si les Dieux bavent sur ta nudité, sur ton corps bandant d'envie, je sais qu'il n'y a que moi qui pare ta peau de frissons, qui donne à ton corps cette frénésie exaltante et qui fait battre ton cœur avec ardeur. Je t'aime comme un dingue et à cet instant je te désire. Mais tu es un être diabolique qui sait comment prendre les commandes alors que je voudrais te torturer d'avantage avant de te faire succomber.

Et je vois les flammes dans ton regard alors qu'il accroche le mien au travers de nos reflets. Alors que je retarde l'instant de la pénétration juste pour profiter du spectacle savoureux de ton corps nu, tu viens me provoquer de ton bassin. Tes fesses frôlant ma virilité tendue au possible, impatiente de rejoindre ton paradis brûlant et humide. Tu sais comment me faire perdre pied et tu en abuses, tu t'en délectes même. Sale gosse, mais c'est ainsi que je t'aime quand tu prends ce qui est à toi depuis bien des années. Quand ton insolence et ton indécence viennent percuter mes sens tout entier, me retournant les tripes. Embrumant mon esprit. Déroutant mon être juste pour que tu m'entraînes avec plus de facilité dans ton monde. Qui devient le mien sous nos pulsions. Alors on dérive vers des lieux qui ne sont qu'à nous. Et c'est délicieux. Terriblement addictif. Ton sourire, ta voix, ton regard tout me bousculent, alors que ta main retrouve mon épée et que tu rends le contact encore plus dingue. Comment résister à ton toucher, à cette approche. Et puis ais-je envie de résister ? De te résister ? Tu me connais par cœur et tu uses et abuses de ton pouvoir de séducteur. « Alors prends tout Aiden. » De toute manière je ne sais rien te refuser. Et puis tu es tellement désirable avec cette impudence dans le regard. Qui ferait chuter tous les anges du ciel et réveillerait tous les démons de l'enfer. Et mon épée s'enfonce gouverner par ta main et puis le mouvement de ton bassin. Je m'en mords les lèvres c'est grisant, tellement érotique et la position que tu prends m'affame encore plus. Tes doigts glissent sur ma peau tendue avant que tu ne viennes chercher mes fesses pour une pénétration plus profonde. « Putain .. » Et dans un gémissement je m'invite au plus profond de tes entrailles. Ivre de ce contact incendiaire. Et tes mots rendent l'instant plus torride. Et je nous regarde emboîté en toi alors que mon bassin ondule contre le tien. « Ton cul comme ta bouche sont les meilleurs dévoreurs de queue .. enfin de la mienne. » Mes doigts se serrent autour de ta virilité. Et pour rendre le contact plus émoustillant, je mouille mon autre main de ma salive et elle vient ensuite prendre le relais pour que ta queue glisse avec plus d'aisance contre ma peau. « Je les sens parfaitement. Et toi tu sens ta queue frémir entre mes doigts. J'aimerais tellement pouvoir la prendre en bouche et être en même temps en toi. » Et nos bouches se retrouvent dans un baiser fougue et plein de promesses. Ivresse de l'instant ou seul le désir et le plaisir nous guident. Plus rien ne compte que les sensations que nos peaux éveillent sous le contact de nos intimités liées. « Tu sais que de te baiser de cette façon me rend aussi dingue que ce que tu vas l'être. » Et je réponds à ton sourire avant de mordiller ta mâchoire, puis ta nuque vu que tu te tournes ton visage. Mes lèvres s'égarent sur l'arrête de tes épaules, ma main se fait plus experte et intense contre ta queue. Mon bassin se perd dans tes profondeurs. Alors que mon bras libre entoure tes hanche et ton bas ventre pour que l'étreinte soit plus intime. Et chaque vas et viens nous rapprochent du paradis. Je dépose des baisers contre le haut de ton cou, mes dents s'accrochent à ta peau quand nos mouvements se font plus forts. Je murmure ton prénom, des mots doux, même si l'instant est torride et décadent, il reste plein de sensualité et d'érotisme. Il y a bien plus qu'un appel et une réponse à la luxure, il y a toute cette alchimie profonde et sans limite. Et dans nos regards cette flamme brillante et brûlante qui fait échos à nos cœurs palpitant d'émotions et de sensations divines. Il y a la douceur même quand l'envie me rend pressant contre tes reins. Ce besoin de t'aimer même dans cet acte de baise. Ce besoin de te cajoler avant de couler.

« C'est tellement ..  tu es tellement .. » Et je sens la délivrance approcher. Tout comme je sens la tienne gronder au creux de ma main. « J'aime te posséder, te savoir à moi. J'aime te soumettre à mon désir .. » Mais j'aime tout autant que tu me possèdes et que me soumets. Ma main remonte sur ton ventre, ton torse pour parsemer des caresses et finir contre ton cou pour que tu me regardes. Je kidnappe tes lèvres dans un baiser passionné, grognant de plaisir contre ta bouche que je presse. Je jouis avec violence, secoué de désir qui tu distilles avec rage comme à chaque fois que nous faisons l'amour. Tu me rejoins mouillant ma main de ton suc. Nos corps se tendent et sont pris dans cette spirale que la jouissance dessine jusque dans nos âmes. Et je savoure chaque seconde, laissant mon épée incendier ta chair. Je me colle contre toi, cherchant le plus de contact contre ta peau, laissant le temps à mon être tout entier de ce remettre de cette course folle ou le plaisir m'a emporter au paradis. « Tu es tellement parfait quand tu te donnes de cette façon. Un jour on finira en enfer avec de telles joutes. » Et je te souris. Alors que mes lèvres se font douceur contre le tiennes. Tout comme mes caresses. Je reste en toi comme suspendu entre le rêve et la réalité. Ne voulant nullement que le paradis qui me frôle s'efface. Puis je te fais pivoter doucement m'échappant de ton antre pour que tu me fasses face. Je te colle à la vitre offrant cette fois ton dos et tes fesses à la vue du monde. Je te prends dans mes bras avec tendresse et te serre contre moi avant de venir retrouver tes lèvres. « Tu devrais venir plus souvent au bureau. » Et je te fais un clin d’œil, maintenant que tu as mis carte sur table par rapport à notre relation peut être que mon sexy boy viendra jouer les provocateurs plus facilement. Sachant que mon bureau a toujours été un terrain de jeu affriolant pour nous deux. « Il n'y a que toi qui me fais perdre la tête de cette façon. Tu aimes me voir perdre pied. » Même quand j'étais marié jamais ma femme ne m'a rendu dingue à ce point. Avec toi je suis déraisonnable. Mais perdre la raison entre tes mains est exquis. Mes doigts s'égarent sur ta peau humide. Mes yeux se perdent dans les tiens avant de reculer un peu pour admirer le spectacle de ton corps encore fébrile de cette joute. « Tu es une vraie damnation même après l'amour mon cœur. Tu donnerais envie à tous les saints de perdre leurs virginité. » Cette vision que tu offres à mes yeux est des plus exquises.  « Et dire que c'est avec moi que le dieu de l'amour réincarné s'abandonne tous les jours dans les jeux de la chair et de l'amour. Je suis un chanceux quand même. »Je te souris fier d'avoir ton corps comme territoire de nos plaisirs les plus ensorcelants. Et je m'attarde sur tes courbes que je connais du bout des doigts, du bout des lèvres, car chaque joute te rend plus beau.

(fiche) vmicorum. / (ava) Bambi eyes & siren charms

MAXDEN for EVER.

" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Aiden savoure pleinement l’enthousiasme de son amant. Elle est source d’une exaltation incommensurable pour son égocentrisme. Il a toujours aimé jouer avec les sens de son partenaire. Il adore manier les limites de son homme pour le voir basculer dans les affres d’une déraison incontrôlée. Il n’y a rien de plus exquis que de voir cet homme perdre toute contenance et s’adonner à des joutes charnelles avec lui avec une férocité qu’il n’a jamais expérimenté avec quelqu’un d’autre. Aiden est son exception tout comme il est la sienne. Il est complètement accro à ce corps qui est prêt à se damner pour ses baisers, ses caresses et son corps. L’étreinte se fait à la hauteur de leurs habitudes. Les mouvements se font sulfureux alors que le plaisir gagne en intensité. Aiden n’a aucune pudeur à osciller son bassin pour aller à la rencontre de celui de son homme. Il lui offre une vue incroyablement érotique sur ses hanches qui voient disparaitre son épée de manière indécente. Il sait que cette vision exalte son partenaire. Il le sent dans l’amplitude de ses coups de reins, dans les vibrations que le plaisir provoque sur sa hampe. Aiden est attentif à chacun de ses points qui viennent renflouer le plaisir qui gronde en lui sous les caresses enivrantes de son partenaire. Un sourire éhonté ourle ses lippes sous les paroles de Maximilian qui renforcent l’intensité du désir qui embrase ses reins. « Ce serait l’extase. » Il le provoque alors que sa hampe savoure la caresse humide de ces phalanges entourées autour d’elle dans des mouvements adroits qui maintiennent sa fermeté. Un grognement s’extirpe de ses lippes alors qu’il sent le bassin de son amant se faire plus conquérant dans le creux de ses reins. « Oh je n’ai aucun doute sur la question. » Il ajoute avec espièglerie alors que son amant distille ses attentions sur chaque parcelle de son épiderme. Son excitation gagne en intensité alors que leurs mouvements affamés se précisent. Maximilian laisse la fougue le gagner tout en conservant cette douceur qui le caractérise et dont Aiden s’efforce d’avoir la même durant leurs actes sans avoir réellement la même intensité : de baiser tout en faisant l’amour. Cette sensualité mêlée à la passion qui accroit l’accentuation de leur plaisir. Aiden profite de chaque seconde tandis que son homme l’aime comme il le baise. Il est le seul à pouvoir l’avoir sous son emprise dans une position aussi soumise, mais dont les hommes sont si friands. Les gémissements et grognements emplissent la pièce et accentuent l’envoutement de leurs sens. La ligne droite approche et ils la franchisent ensemble dans un baiser plein de fièvre qui atténue leurs cris de jouissance face à ce raz-de-marée qui les submergent. L’extase est considérable. Son corps se fond contre le corps de son amant alors que ses muscles relâchent toute la pression emmagasinée. Il savoure chaque seconde de cette ascension envoutante à laquelle il est complètement accro. Il veut bien aller en enfer si c’est pour pouvoir savourer ces sensations paradisiaques. Sans doute qu’ils n’ont pas les mêmes notions que les forces spirituelles. Aiden n’en a que faire. Il est prêt à brûler en enfer pour continuer à bénéficier de cette ivresse. Cela fait bien des années qu’il a renié tout Dieu malgré son éducation stricte et chrétienne. « Je ne m’en plaindrais pas. Tant que je peux continuer à te baiser comme j’en ai envie. Le paradis peut bien aller au Diable. » Il lâche dans un ton essoufflé. Son rire est court alors que des grognements appréciateurs ponctuent les attentions de son amant qui le dévore avant de l’intimer à se retourner. L’absence de son corps contre le sien est toujours une sensation désagréable, mais il se laisse manier, retrouve les lèvres gonflées de son amant pour un baiser. La douleur familière de son bassin est atténuée par la fraicheur de la vitre en total contraste avec la chaleur du corps de son amant. « Je n’ai aucun doute que cette idée te plait. Tu as toujours adoré que je me faufile dans ton bureau. » Il lâche dans un sourire éhonté alors qu’il vient doucement caresser sa hampe pour jouer avec son hypersensibilité. Il adore le grognement que ce geste provoque. Il sourit à ses propos, ne les nie pas. Ce n’est pas un secret qu’il adore lui faire perdre toute cohérence. S’il était encore son employé, sans doute qu’il aurait continué à le titiller durant des réunions importantes juste pour le plaisir de jouer avec le feu et les limites. C’est ce qui fait vibrer le jeune homme et Maximilian le sait pertinemment. D’ailleurs, il ne se dérobe pas de son regard contempler. Il lui offre une vision de son corps alangui après la luxure en lui offrant un sourire narquois. Il ponctue ses propos par un clin d’œil charmeur alors qu’il vient s’éloigner de la vitre pour lui voler un baiser. « Bien que cette séance de baise imprévue fût plus qu’appréciable. » Il murmure dans une expression taquine. « J’étais venu initialement déjeuner avec toi. Des Sushis, ça te convient ? » Il questionne avant de s’éloigner pour retrouver ses affaires d’où il soutire son téléphone pour contacter le restaurant. Entièrement nu dans ce bureau hors de prix, il se déplace avec dignité et élégance en venant prendre place sur le fauteuil de son homme, nullement gêné des traces que son passage pourrait occasionner. Il est certain qu’ils alimenteront les fantasmes de son homme durant son absence. D’ailleurs, il ne manque pas de tourner le siège vers lui, les cuisses écartées juste pour le plaisir de le provoquer. Il n’hésite pas à venir caresser doucement sa hampe en contemplant le corps de Maximilian en se mordant la lèvre. L’indécence fait partie de ses défauts et même au téléphone avec le restaurant, il n’hésite pas à provoquer son homme. « Il me semble que tu as parlé de ton avis de sentir ta bouche sur ma queue. Intéressé ? » Il le provoque dans un petit rire alors qu’il vient de raccrocher. « On a quinze minutes devant nous. Cela devrait te suffire non ? » il le questionne en venant prendre ses bourses entre ses phalanges. Aiden n’est jamais totalement rassasié et la vision du corps de son homme complètement nu après la luxure le tente toujours avec le même engouement qu’en accoutumé.

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Érotisme. Indécence. Sensualité. Insolence. Provocation. Abandon. Désir. Plaisir. Torride. Amour. Tous ces mots se gravent entre nos corps. Tous ces mots glissent sur nos peaux frissonnantes. Tous ces mots caressent nos regards enflammés par cette joute déroutante. Tu as le don de me faire perdre pied. De pousser mes limites vers des contrées toujours plus exaltantes et même si parfois cela frôle, comme à cet instant, la dépravation, j'y plonge avec délice. Tu es exquis quand tu es en mon pouvoir. Quand mon épée domine ton être ton entier et que ton épée livre entre mes doigts un combat tout aussi plaisant, que celui que la mienne livre au creux de tes reins. Réunis dans cette même folie charnelle, on coule oubliant le monde qui nous entoure. Ivres et envoûtés par le sublime appel de la chair. Par cette alchimie unique qui nous lie et ne fait que se renforcer à chaque nouveau corps à corps. Et les secondes s'égrainent délivrant le message de la jouissance. Exquise perdition dans laquelle on tombe ensemble. Tout s'efface, il ne reste que nous tremblant et comblé. Heureux et amoureux. Car se ne sont pas que nos corps qui se donnent, nos cœurs et nos âmes aussi dans ces moments intenses se lient avec passion. Cela pourrait faire peur parfois, parce que c'est unique et puissant. Cette puissance m'a rendu même jaloux, mais je contrôle à présent. Même si je suis plus accro à nos moment à deux que lorsque je te partage, même juste sous des regards. Mais là l'excitation était à son comble. Le lieu, la vue offerte. En tout cas tu as été d'un érotisme torride et là alors que ma semence s'écoule dans tes entrailles et que la tienne se perd entre mes doigts, je ne peux que constater combien ce genre de situation te titille. Mais c'est moi qui en profite et moi que tu combles et que tu enivres. Alors je laisse de côté tout ce qui a failli nous perdre. Pour juste profiter de cet amour profond. Cet amour qui à cet instant nous caresse de tendresse et de trouble. Nos corps sont sous le coup des émotions, la joute a été si intense qu'elle nous berce encore de ses douceurs. Si je pouvais je te ferais l'amour à longueur de journée et à longueur de nuit. Tu me rends toujours aussi gourmand et te savourer est à chaque fois un délice. Ton corps est fait pour l'amour, et j'aime en abuser.

Le paradis, l'enfer peut importe avec toi je suis prêt à tout subir. Je te retourne pour te regarder, toujours avec cette envie de te dévorer de mes doigts, de mes lèvres. J'ai cette sensation d'être sans arrêt affamé de toi. Alors je te caresse, je t'embrasse alors que je colle ton corps moite contre le mien. J'aime ton odeur qui se marie à merveille à la mienne. J'aime le goût de ta peau fébrile et brûlante de plaisir. « C'est vrai mais je me demande qui de nous deux aime le plus cette situation. » Et je gémis alors que tes doigts frôle ma virilité gorgée du plaisir qu'elle vient d'éprouver. Elle est très sensible et tes caresses sont comme du miel. Je ne manque pas de venir quérir la tienne pour la gâter aussi d'attention. « Mais peut importe le résultat est que cela nous fait toujours autant d'effet. Même après toutes ces années. » Si dans certains couples le désir s’amoindrit avec le temps, ce n'est pas notre cas. Bien au contraire on semble être plus voraces avec l'âge. L'expérience cumulée nous mettant de plus en plus à l'aise dans les jeux érotiques. Et nous rendant de plus en plus gourmands dans leurs déroulés. Je profite de la vision de ton corps nu, tentation extrême que tu exhibes avec délice. Provocateur né pour la luxure. « Ah j'avais presque oublié que tu étais venu pour cette raison. Et tu n'as pas assez mangé. » Je te souris avec malice. « Oui des sushis parfait comme menu. Je ne pourrais pas les manger sur ton corps mais bon il ne faut pas abuser. Ce soir je verrais pour prendre de la glace en dessert et je pourrais bien en tartiner tes jolies fesses. Je suis sur que tu apprécierais le coup du chaud froid sur ton cul. » On aime bien se la jouer neuf semaines et demi. C'est d'ailleurs de cette façon que nos retrouvailles, après nos années de séparations, s'étaient joués dans cette chambre d'hôtel. On avait bossé, mais on avait surtout pris notre pied. « Je te laisse gérer la commande. » Je profite pour te mater un peu plus vu que tu ne sembles pas dans l'optique de te rhabiller, ce qui me convient parfaitement. Je reste également dénudé autant te laisser mater aussi. « Prends tes aises mon amour. » Je te taquine alors que tu poses tes royales fesses sur mon royal fauteuil le marquant de ton essence et de ton odeur. J'adore l'idée, de quoi me perturber pour le reste de ma journée et me rendre impatient de te retrouver.

Et tu augmentes l'image exquise en écartant tes cuisses, m'offrant une vision indécente de ton corps. Ta main vient caresser ta queue et tes mots montrent combien tu as encore envie que l'on s'occupe de ton cas. Monsieur se fait gourmand. « En effet j'ai parlé de ce détail. » Je me penche vers toi et frôle ta joue de mes lèvres. « Quinze minutes !! Je devrais arriver à te faire planer un peu plus sexy boy. » Tes doigts viennent titiller mes bijoux de famille. « Tu aimes profiter jusqu'à la dernière seconde. » Je viens me saisir de tes lèvres avec avidité, alors que ma main s'égare autour de ta queue. « Elle frémit encore de désir. » Mes lèvres glissent dans ton cou, sur son épaules, ton torse. Je me baisse pour finir à genoux devant toi. J'écarte un peu plus tes cuisses, tout en les caressant avec provocation. Puis ma tête rejoint ton entre jambe et j'avale ta queue avec délice. La suçant doucement car je la sais sensible. Mes vas et viens sont lents, je titille des points sensibles. Te dévorant tout entier pour cueillir les dernières gouttes de ta semence. Puis je retrouve tes lèvres pour un baiser fiévreux. « On devrait se rhabiller. Même si c'est à regret. » Je t'abandonne et enfile mon boxer, mon pantalon et ma chemise, rien de plus. Ma veste et ma cravate viendront plus tard, je ne reboutonne même pas tous les boutons de ma chemise. On a juste le temps de finir quand ma secrétaire me dit que la livraison est là. « Timing parfait mon cœur. » Et je vais vers la porte pour récupérer la commande et payer. « J'espère que tu as faim. » Et je reviens vers toi. « Au fait tu as fais quoi de beau ce matin ? A part venir me retourner les tripes et me faire jouir..» Petit clin d'oeil alors que je dépose notre repas sur un coin de mon bureau. « Et tu as quoi de prévu après midi ? » Parce qu'avec cette tension sexuelle mise en place à peine arrivé, je n'ai pas eu le temps de savoir ce que tu avais fais de spécial. Peut être un nouveau contrat de signé.

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Un sourire carnassier ourle ses lippes à la remarque de son compagnon qu’il n’hésite pas à frôler du bout de ses phalanges expertes juste pour le plaisir de jouer avec sa sensibilité exacerbée après leur joute charnelle. D’une main experte, Maximilian vient lui offrir la même caresse qui lui arrache un grognement appréciateur, car il profite pleinement de cette pression entre ses cuisses. L’un et l’autre demeurent très friands de ces instants crapuleux qui satisfassent leur libido et renforcent l’attraction qu’ils ont l’un pour l’autre. Tel un poisson dans l’eau, Aiden finit par prendre ses aises dans ce bureau qui n’a plus aucun secret pour lui. Il l’arpente dans le plus simple apparat sans aucune gêne pour le plaisir d’être dévoré par le regard de son amant qu’il sent sur lui. Il n’hésite pas à le provoquer juste pour le plaisir d’envouter son partenaire qui mord à l’hameçon comme à ses habitudes. Il lui offre un regard malicieux alors qu’il vient se loger dans le siège de son amant après avoir récupérer son téléphone. « Je ne doute pas que tu te régaleras ce soir alors. » Il lui souffle dans une voix profonde et suave. Il ponctue ses propos par un clin d’œil provocateur. « Je sais que tu adores dévorer mon cul de toutes les façons imaginables. » Il ajoute dans une confidence avant de passer commande auprès du restaurant sans lâcher du regard son amant qui l’observe sans pudeur. Il imagine pleinement la vision enchanteresse qu’il doit lui offrir. Il n’hésite pas à le provoquer juste pour le plaisir, quand bien même le désir vient de nouveau s’embraser dans ses reins. Il n’est jamais totalement rassasié lorsqu’il s’agit de cet homme. D’autant plus lorsqu’il est nu dans ce bureau hors de prix où il n’est pas seulement son homme, mais également le directeur adjoint de cette entreprise. Une fois la commande passée, Aiden délaisse son téléphone sur le bureau et provoque son partenaire de la plus indécente des manières. Il ne peut pas s’empêcher d’agir de la sorte lorsqu’il est en compagnie de son partenaire. Leur complicité est si profonde qu’ils n’ont pas à masquer leurs desseins. Maximilian se rapproche naturellement pour embraser sa joue en lui offrant une promesse qu’il compte satisfaire. De nouveau le jeu de regards et de caresses les entraine dans un univers de sensualité. Leurs lèvres s’amourachent de nouveau dans un baiser avide tandis que leurs phalanges retrouvent leur proie pour des caresses lentes mais emplie d’envie. Le désir reprend naturellement vie dans leurs échines pour un dernier round. La texture du cuir contre sa peau échauffée contraste avec l’humidité de cette bouche qui s’empare de son épée dans son étau ensorcelant. L’excitation grimpe naturellement dans ses membres et s’exprime par des sons gutturaux qu’il ne camoufle pas. Il se pourlèche les lèvres, ses phalanges s’ancrent dans la chevelure de son compagnon alors qu’il savoure pleinement cette gâterie qui joue merveilleusement bien avec sa sensibilité. Il est complètement repu lorsqu’il lui arrache une jouissance brève, mais puissante. Son épiderme est fébrile lorsque leurs commissures se retrouvent pour un baiser au goût intime. Son regard est sombre encore embrumé par les effluves de son orgasme alors qu’un grognement mécontent lui échappe par instinct. Cela lui arrache un sourire après coup lorsque son esprit regagne la terre ferme. Contrairement à son homme, il prend son temps pour se redresser et attraper ses vêtements dans l’intention de se revêtir. Ses membres sont encore ankylosés par leur étreinte luxuriante. Il est en train de reboutonné les boutons de sa chemise froissée lorsque que leur commande arrive à point nommée. Il offre un sourire complice à son amant qui va récupérer leur commande. « Tu m’as ouvert l’appétit. » Il lui indique dans un sourire amusé en se rapprochant de lui pour souffler dans son oreille : « Même si dans un autre domaine, tu m’as complètement repu. J’ai encore les membres endormis. » Il le complimente en venant mordiller son oreille avant de rejoindre le bureau où il a déposé leur achat pour qu’ils partagent le plateau de sushis. « J’ai travaillé sur un projet sur lequel on est encore en concurrence alors je ne peux rien t’en dire. Désolé, beau gosse mais prépare-toi à devoir tirer les oreilles de ton nouveau chef de publicité. » Il lui indique avec cette arrogance qui lui colle à la peau. « Je me suis qu’une petite pause ne serait pas de refus dans ton bureau comme au bon vieux temps. » Il ajoute en venant porter un sushi à ses lèvres avec ses doigts. Il mange sans mettre les formes avec ce naturel qui caractérise leur relation. « C’est encore plus excitant maintenant que tout le monde sait que je me tape le grand patron. » Il lâche en haussant un sourcil espiègle. « Depuis le temps que j’en mourrais d’envie. » Il ajoute en venant attraper un autre sushi qu’il glisse entre ses lippes en appui sur le bord du bureau sans aucune manière. « Après cette petite séance de baise parfaite, je pense que je vais profiter de cet élan d’inspiration pour mettre au point ce projet pour écraser tes collaborateurs devant notre client commun. Je vais tellement prendre mon pied devant leur visage déconfit. J’espère que tu es fier de moi, beau gosse ? » Il questionne dans un sourire charmeur alors qu’il vient glisser un sushi devant les lippes de son amant. « A défaut de les manger sur mon corps, tu peux profiter que je te nourrisse pour lécher mes doigts. » Il provoque juste pour le plaisir d’entendre son rire et de rendre son regard plus brillant. Maximilian semble pleinement heureux de sa démarche aujourd’hui. Du moins il n’en a absolument aucun doute. C’est une preuve de l’amour que lui porte Aiden qui accepte de s’afficher à ses côtés et Maximilian en a pleinement conscience.

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" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

L'instant est plaisant encore caressé par l'érotisme de notre joute. Et on s'en amuse allégrement, abusant de nos mots et de nos gestes. Une provocation savamment calculé se met en place, nous rendant gourmands. Elle se teinte aussi de promesses que je me ferais un plaisir de mettre en place une fois chez nous. Et auxquelles tu répondras avec délice. On est tous les deux friands des jeux de l'amour, avant, pendant et après l'acte. Toujours à se titiller pour donner envie d'un plus qui ne fera que d'avantage frissonner nos peaux. Pratiquement pas de limite dans cette glissade sur les pentes de la luxure. Sauf celles que l'on impose. Mais quand on est juste tous les deux toutes les idées sont bonnes à prendre et elles sont nombreuses dans ce domaine. On sait comment se retourner la tête, les tripes et le cœur. Mais ce n'est pas moi qui vais me plaindre de ton goût pour la tentation. J'y cède avec la même envie à chaque fois. Ton corps, ton cul, ta queue étant des armes fatales d'indécence et d'insolence dans la folie de la luxure. Et là encore tu viens habillement jouer de ton charme. Taquinant un peu plus la pauvre proie fragile que je suis. Tu sais que la vision que tu m'offres, tout comme l'invitation que tu exhibes je ne peux pas les décliner. Je me fais même un plaisir d'honorer ta queue de mes lèvres, sucer encore ta saveur, m'en délecter pour te sentir couler un peu plus. Pour te sentir en mon pouvoir, ou me sentir en ton pouvoir. Alors je me laisse gagner par l'attrait de ton corps, par le goût de ta peau, de ton essence. Je savoure la chaleur de ta chair, je savoure ta perdition alors que tu t'écoules entre mes lèvres. Tes doigts dans ma chevelure, gémissant d'envie et d'abandon. Tu es tellement désirable, irrévérencieux, sexy, que si je pouvais je remettrais le couvert. Parce que parcourir encore ta terre promise et la plus douce des raisons de vivre. Mes doigts glissent sur ta peau frissonnante alors que je cueille les dernières gouttes de ton nectar, avant de retrouver tes lèvres gonflées par nos baisers fougueux. Tu m'enivres sexy boy. Au point que ma virilité se tend à nouveau d'un nouveau désir ardant. Mais le temps s'est écoulé trop vite et on se doit de se rhabiller, à regret. Je prendrais autant de plaisir à te dévêtir ce soir. Ivresse délicieuse de ce démon que tu éveilles dés que je sens ton odeur. Je te regarde alors que tu sembles encore flotter dans l'univers exquis de la jouissance. Divin et obscène à la fois. Érotique et sensuel. Cela me fait sourire, j'aime cette insolence que tu affiches avec grâce et prestance. Putain que tu es beau. Je vais ouvrir la porte pour récupérer notre repas. Alors que tu te décides à enfin t'habiller. Je me sens un peu frustré sur le coup d'être privé d'une vue aussi sublime.

« Heureux de savoir que tu es repu mon ange. Ce qui prouve que je suis à la la hauteur de tes attentes de grand gourmand. » Et je te fais un clin d’œil, espérant rester encore très longtemps à la hauteur de ton appétit sexuel. « Je te ferais un massage si tu veux avant que tu ne partes. Histoire que tes membres soient parfaitement en forme pour ce soir. » Et alors que tu mordilles l'oreille, ma main se pose sur ton entre jambe voulant appuyer sur le fait que ce membre là doit être en parfaite forme pour ce soir. Mais tu n'as rarement fais le coup de la panne. Ou de la fatigue. Puis je te questionne sur ta matinée, autant profiter de ce moment à deux pour papoter un peu. « Rien me dire je vois. Il va peut être falloir que j'utilise la torture pour te faire parler. Je sens surtout que je vais finir par me retrouver sans boulot. Tu embauches ? » Petit sourire en coin, je n'ai pas quitté l'agence pour le moment. Même si je regarde d'autre situation. Mais bosser à nouveau avec toi ne me ferais pas peur, même si je dois passer sous tes ordres. Je sens que ce serait très jouissif. « Tu as bien fais. Faut savoir prendre des pauses. Et j'adore te savoir dans mon bureau. Surtout quand tu y laisses traîner ton odeur comme tu viens de le faire. » Je m'empare d'un sushis pour le manger. « J'avoue que là tu as fais fort et je suis très fier de toi. Moi aussi j'attendais ce moment depuis un bail. Tu m'as rendu tellement heureux au moment ou tu t'es imposé. Du style messieurs votre boss est à moi et à moi seul. J'ai adoré. » Il est vrai que par le passé j'ai souvent souhaité que l'on affiche notre relation. Tu as toujours voulu rester discret, alors je ne peux qu'apprécier ton geste et le fait que tu assumes pleinement notre relation et notre amour. Il est vrai qu'à présent il n'y a plus la peur que notre relation passe pour une promotion canapés. « Je pense que c'est aussi cet action qui a rendu cette joute encore plus jouissive. Pas besoin de se cacher ou de faire dans la discrétion. Mon bureau va devenir notre antre de luxure. » Mon regard se pose sur toi alors que tu manges aussi, et je me dis que je pourrais bien être un de ces sushis que tu dévores avec tes doigts. « J'ai toujours était fier de toi Aiden. Même quand tu n'étais qu'un petit con arrogant. Mais là j'avoue que tu es au top. Et tu le mérites bien plus qu'eux. Alors si tu  veux nous piquer tous nos clients fais toi plaisir. Tu as le potentiel pour, tu es plus avant-gardiste et tu n'as pas froid aux yeux. Je ne dis pas que l'agence est foutue, mais elle a fait des mauvais choix et on va le payer. Tant pis pour eux. Toi tu vas récolter les lauriers de la gloire alors oui je suis fier de toi sexy boy. Terriblement fier. Et aujourd'hui encore plus qu'hier. » Tu viens me titiller avec un sushi. Et je me mets à rire. « Je te jure tu n'en perds pas une toi. » J'attrape le sushi du bout des lèvres et je prends le temps de le savourer. Puis j'attrape ta main et je porte un à un tes doigts à mes lèvres, les suçant avec délice. Enroulant ma langue autour d'eux, comme elle le fait autour de ta queue. Laissant glisser mes lèvres dans des vas et viens lents en plongeant mes yeux dans les tiens. Chacun de tes doigts y passent et j'y apporte la même attention. Donnant à cet instant l'érotisme qui pourrait bien t'emplir l'esprit pour toute ton après midi. « Tu sais que j'aime te dévorer. Je pourrais me nourrir que de toi. » Puis je me remets à rire, ivre du bonheur qui me caresse à cet instant. « Je vais finir par ne pas avoir envie que tu rentres pour me piquer des clients. Ou alors je vais faire l'école buissonnière et m'occuper de ton cul bien plus tôt que prévu. » Parce que tout ce petit jeu m'excite et que te résister est un combat que je n'ai pas envie de livrer à cet instant. Ma main vient d'ailleurs se glisser sur sa virilité la frôlant avec expertise et douceur. « Tu me rends dingue et je sais que tu aimes cette idée. » Mais entre nous cela a toujours été de mise. Provoquer pour faire encore plus succomber.  

(fiche) vmicorum. / (ava) Bambi eyes & siren charms

MAXDEN for EVER.

" Le plus bel amour est celui qui éveil l’âme, et nous fait nous surpasser. Celui qui enflamme notre cœur et apaise nos esprit. C’est ce que tu m’as apporté. "

Sagement revêtus de leurs vêtements après une longue heure passée à batifoler, les deux amants s’appliquent à se sustenter pour satisfaire leur appétit naturel. La complicité est de mise. Leurs prunelles luisent de ce sentiment d’appartement qui rend leur relation si intense et singulière. L’addiction qui est devenue affection. Elle les rend dépendant l’un de l’autre et quand bien même les désaccords ont manqué de rompre leur équilibre, ils sont parvenus à démêler les nœuds de leurs problèmes et mettre de l’eau dans leur vin pour ne pas sombrer dans une rupture définitive. Elle aurait été fatale. Fort heureusement, ils ne sont pas assez bornés pour prendre le risque de quitter définitivement l’existence de l’autre et leur amour est bien trop profond pour pouvoir le supporter. Leur commande livrée, ils prennent place autour du bureau luxueux de son amant alors que leur conversation se dirige naturellement sur leur relation et le plan professionnel. Une routine agréable de leur nouvelle existence. Ils partagent des éléments sur leur vie professionnelle à la fois similaire et différente. Il ne fait plus partie des rangs de la COM Agency contrairement à Maximilian qui continue de gérer autant que possible cette entreprise d’une main de maître. Aiden prend plaisir à le taquiner juste pour le plaisir de lui arracher un sourire. « Il serait vil de ta part de profiter de tes charmes pour me soutirer des informations. Il s’agirait d’espionnage industriel. De la concurrence purement déloyale. » Il lui indique dans un sourire éhonté en haussant un sourcil de manière provocatrice. C’est sa manière d’être. Elle est greffée dans son épiderme et rien ne semble pouvoir atténuer cette facette de sa personnalité. « Es-tu prêt à être sous mes ordres ? » Il le questionne dans un sourire enjôleur avant de murmurer telle une confidence. « Que dis-je ! Tu adores être sous mes ordres ! » Il le taquine avant de lui offrir un clin d’œil complice. Son sourire s’affermit, se fait plus charmeur. Il sait à quel point Maximilian est friand de ce genre de visite. Lorsqu’il était adolescent, il lui arrivait de débarquer dans son ancienne entreprise pour fricoter avec cet homme qu’il était parvenu à mettre dans ses draps. Il est satisfait d’avoir pleinement fait plaisir à son homme. Il sait que Maximilian avait besoin de cela. Aiden ne lui avait jamais concédé de crainte que leur relation impacte ses relations parfois déjà chaotiques avec ses collègues. Aujourd’hui, il n’avait rien à craindre. Il était le chef de sa propre entreprise. Il embauchait de bons contrats qui lui permettaient d’affronter sereinement l’avenir. Il n’y avait plus de barrières pour qu’ils n’assument pas leur relation. Les compliments de Maximilian sont sincères et le touchent. Il ne le montre pas, car Aiden possède cette réserve qui l’empêche d’embraser ses émotions qui pourraient le faire apparaitre comme faible, même si Maximilian est le seul homme à pouvoir faire flancher cette façade d’homme arrogant. Il lui offre un clin d’œil pour le remercier de ces éloges chaleureux qui lui vont droit au cœur. Il lui montre par une action coquine, qui dévoile pleinement leur complicité et une nouvelle fois la magie opère. Maximilian se laisse gagner par sa proposition tentatrice. Il se plie à son ordre érotique et l’instant se charge en érotisme comme à chaque fois qu’ils sont dans la même pièce et proches l’un de l’autre. Le contact est électrisant sous l’intensité de ce regard qu’il adore voir s’assombrir de désir. « Je sais. Si tu étais un vampire, tu me viderais de mon sang, car tu serais incapable de te retenir. Il en va de même pour moi. » Il lui indique dans un rire chaleureux alors qu’il vient se saisir d’un nouveau sushi pour le glisser entre ses lippes. Un grognement s’échappe de sa gorge. Son hypersensibilité est encore de mise à cet instant et la pression de cette menotte contre sa virilité vient titiller ses sens. « Je n’ai plus vraiment de secrets pour toi. » Il lui souffle dans un sourire taquin alors qu’il vient le nourrir de nouveau du bout de ses doigts. « Je serai tout à toi ce soir, alors laisse mon cul et ma queue tranquille jusqu’à ce soir. » Il lui indique dans un rire franc alors qu’ils profitent de ces derniers instants ensemble avant que la secrétaire de Maximilian lui rappelle une réunion à laquelle son amant doit se rendre. « Bon courage. » Il finit par lui indiquer alors que son homme revêt en vitesse sa cravate sous son rire espiègle. Une nouvelle page semble se tourner.

(fiche) vmicorum. / (ava) Bambi eyes & siren charms