Aiden savoure la vision qui se présente sous ses yeux. Il se délecte de l’érotisme dégagé par le couple qu’il a choisi. Il laisse ce curieux délice s’immiscer dans ses veines. Il adopte la posture d’un voyeuriste sans ressentir la moindre gêne. Pourquoi ressentirait-il une gêne alors que ce couple est tout disposé à se dévorer sous ses yeux. Il est envoûté par la scène, par la sensualité des gestes et l’envie qui se dégage dans ce couple l’un pour l’autre. Il y perçoit cette attirance, mêlée à l’affection qui les rend particulièrement sensuel. Il trouve cela plaisant à regarder et n’en perds pas une miette. Maximilian semble avoir plus de mal avec cet exercice. Il en prend conscience lorsqu’il laisse glisser de nouveau son regard dans le sien. « Ça va aller… » Il murmure pour l’encourager comme pour lui dire qu’il ne fait rien de mal. Il essaye d’éveiller ses sens, sa curiosité et remonte plus fermement sa main contre le creux de sa cuisse. Il ne peut pas s’empêcher de retrouver le couple du regard, de se délecter de ce qu’il y trouve. Cela l’excite réellement. Il ne peut pas s’en empêcher, pas alors que le jeu se fait plus gourmand entre ces deux hommes. Il sent le souffle de Maximilian se perdre contre son oreille, la pression de ses lèvres titiller cette partie de son visage. L’effet grisant est immédiat. Il se pince la lèvre face à ce titillement appréciable. « Oui… » Il souffle dans un aveu tandis qu’il savoure les pressions humides de cette bouche contre son cou, de ces doigts contre sa cuisse, sa virilité. Aiden se délecte de la vue et du toucher et sa virilité se gorge d’un plaisir non feint face à tout cela. Maximilian lui demande de lui narrer ce qu’il voit et Aiden ne ressent aucun malaise à le faire. « Le plus jeune dévore la bouche de son homme tandis que sa main a ouvert son pantalon. Je peux apercevoir la queue de cet homme, elle dépasse légèrement de la poigne de son homme. Son corps à l’air de savourer. Je peux sentir que son souffle s’intensifie. » Il lance dans une voix chaude alors que son propre rythme cardiaque s’accentue. L’envie de sentir Maximilian moins sage envahit ses pensées. Il se lèche la langue, sent son cœur s’emballer dans sa poitrine sous l’effet de l’adrénaline liée à la luxure. « Les poignes sont lentes et légères, parfois plus vives. Il détient le pouvoir sur l’excitation de son homme, qui se laisse dompter. La bouche du plus jeune glisse sur sa mâchoire, sa nuque… » Il s’arrête parce que la vision intensifie son désir. Il sourit comme un gamin qui semble avoir commis une bétise. « Je ne serai pas aussi excité si tu ne me touchais pas. » Il déclare en venant murmurer cela dans l’oreille de Maximilian. « Il fait exactement ce que j’ai envie de te faire. » Il conclut dans une voix chaude tandis que le parfum de Maximilian enivre ses narines. Sa main vient se presser contre l’intimité de son homme à travers le tissu. Il cherche à l’exciter tout comme il peut l’être. Il commence peu à peu à être à l’étroit dans son pantalon. Il doit bien l’avouer.

L’excitation est réelle. Elle s’immisce dans ses veines tandis qu’il enivre ses pensées de ces visions luxuriantes. Le toucher de Maximilian augmente son état d’exaltation et cela le rend cruellement gourmand. Ses pulsions sont titillées. L’envie de luxure s’impose à lui, mais il reste sage, essaye de garder l’esprit clair, mais difficilement. Surtout lorsque son amant le provoque de manière détournée. « La même chose. T’embrasser, glisser ma main dans ton pantalon, caresser ta queue de tout son long de ma poigne ferme, pour pouvoir mieux l’exciter, la savourer au creux de ma bouche dans une gâterie dont je suis expert et dont tu es très friand. » Il narre ce qui lui trotte dans la tête, toutes ces actions qu’il aimerait réaliser pour les mener vers la voie du plaisir et de l’extase dont ils sont si friands. Il sent Maximilian réceptif, alors il ose, frôle cette virilité qu’il dévore atteindre et envouter. Il sent la main de son homme se poser sur la sienne. Il sourit amusé par la remarque de son amant. Il ne peut pas s’empêcher de trouver cela particulièrement plaisant. Il aime ce pouvoir qu’il a sur la chair de Maximilian. Il ne s’en ait jamais lassé et compte bien le conserver dans le futur. Il aime rentre ses sens dingues, étourdir son esprit, l’inviter à sombrer plus cruellement dans la luxure avec lui. A ce instant, il meurt cruellement d’envie de prendre les commandes, d’user de ses charmes comme ce jeune avec cet homme, mais il s’efforce de rester sage, d’aller au rythme de Maximilian. « Ou je te donne cruellement chaud. » Il déclare avec cette arrogance qui lui est propre, un sourire narquois sur les lèvres. Il ne peut pas s’empêcher d’être ce petit con provocateur, celui qui est parvenu à l’avoir soumis sous ses doigts, il y a plus de dix ans. Sa main vient s’appuyer plus fermement contre cette partie sensible de son anatomie. Son regard est logé dans le sien. Il dégage cet érotisme dont il est le maître, ce charme qui envoute toute personne avec tant de facilité. Maximilian n’y résiste pas. Sa bouche vient retrouver la sienne et il répond naturellement à son baiser, cruellement émoustillé par les images qui s’immiscent dans son esprit. « Tu sais bien que je ne sais pas être sage lorsque tu me provoques de cette manière… » Il déclare contre ses lèvres dans un regard brûlant. Ses lèvres reviennent recouvrir les siennes. Il rend le baiser plus sensuel, plus gourmand alors que sa main vient doucement dessiner les contours de cette virilité protégée par les bouts de tissu. Il se contente de frôler, d’opérer des mouvements à travers le tissu. Le geste est lent, discret tandis que ses lèvres glissent sur sa mâchoire, son oreille. Il embrasse, mordille, lèche subtilement cette peau offerte. Il fait monter malicieusement la chaleur dans l’échine de son amant. Il envoute à sa manière pour concrétiser les désirs qui se logent dans son esprit.

« On sait tous les deux que ton corps demande que ça. Et toi aussi… » Il provoque naturellement, sans aucune pudeur, car il n’a jamais eu besoin de l’être avec cet homme. Sa voix demeure suave, provocatrice et présomptueuse. Aiden ne manque pas de confiance en lui et Maximilian le sait totalement. Il va devoir être très convaincant s’il ne désire réellement pas qu’il le touche dans cet endroit qui respire la luxure. Aiden ne peut lutter contre ces pulsions qui l’invitent à être plus gourmand avec son amant. Ce soir, c’est lui qu’il désire avoir sous la coupe de ses doigts dans ce lieu enivrant, qui respire l’érotisme. L’idée d’être observé ne le chagrine nullement, elle participe à un certain enivrement de ses sens. Aiden aime plaire et attiser la jalousie. Il a envie qu’on désire Maximilian, qu’on le désire. Il apprécie les frustrer indirectement. Il trouve cela excitant, mais ce n’est rien en comparaison à l’enchantement que ces formes viriles ont sur son être. Il a résolument envie de les savourer et agit pour devenir une véritable tentation pour son amant, pour qu’il lâche prise et savourer les sensations que peuvent lui prodiguer ce genre de soirée. « Tu l’es toujours. C’est pour ça que je résiste rarement. » Il ajoute dans un sourire mutin. « Du coup, si tu es un gentil garçon, tu te dois de continuer et de me faire jouir. » Il souffle contre son oreille qu’il mordille. Ses mots sont crus pour accroitre son excitation. Il sent Maximilian sous sa coupe. La fermeté de sa virilité lui prouve à quel point, il désire ardemment qu’il le touche. Tout son corps le réclame, l’invite à devenir plus indécent. C’est une réalité qui l’anime cruellement et lui donne envie d’être moins sage. Il frôle ce qu’il désire, se montre plus gourmand du bout de ses doigts et de sa bouche. Il fait grimper la température dans le corps du plus vieux, sourit aux tremblements de plaisir qu’il perçoit sur sa peau, dans son rythme respiratoire. « Et j’adore ça. » Il souffle en venant mordiller son oreille. Ses doigts insistent sur l’extrémité de sa protubérance à travers le tissu. Il joue avec avant de reprendre ses envoûtantes caresses. « J’ai bien envie de la sentir entre mes doigts… et ma bouche. » Il se fait insolant et cela semble enivrer son amant. Il le sent céder à ses pulsions, mais sa part de réserve le pousse à réclamer de se mettre à l’égard. Aiden a envie de lui dire que c’est résolument difficile de trouver un lieu calme dans un endroit où tout est pensé pour qu’ils puisse savourer et partager, mais il ne dit mot. Il se pince la lèvre en arrêtant son action et attrape son verre qu’il boit cul sec. « Au pire des cas, ils seront jaloux de moi, car ils voudront être à ma place. » Il taquine dans un petit sourire. C’est fou comme l’idée lui plait. Il ne peut pas se refaire après tout. Il se pince la lèvre et essaye de réfléchir. L’envie d’être indécent l’oblige à se concentrer pour visualiser l’endroit, le coin où il y aura le moins de monde. Il finit par se lever et tend la main à Maximilian. Il le tire vers lui, sent les regards convoiteurs se poser sur eux. Leur excitation est évidente. Elle est difficilement camouflable sous le tissu moulant de leur pantalon. « Maintenant tout le monde sait qu’on va savourer. » Il souffle contre ses lèvres en venant le plaquer quelques secondes contre un mur pour empoigner son excitation et la caresser pour qu’elle ne perde pas en excitation. Il se laisse porter par la situation, désire juste savourer un moment de plaisir coquin avec son amant. Ils finissent par rejoindre un bureau. La chance veut qu’il soit vide, ce qui lui permet de l’entrainer à l’intérieur, de le coincer contre le bois du bureau. « Cela te permettra de te laisser aller plus facilement. Tu as l’habitude que je te dévore la queue. » Il l’embrasse, mordille sa lèvres tandis que ces doigts s’appliquent à défaire sa ceinture pour s’infiltrer dans le tissu et empoigner l’objet de ses désirs. Ce qu’il fait sans ménagement, sans avoir pris la peine de fermer la porte derrière eux, juste l’entrebâiller. Ce dont il n’a pas conscience, car le désir l’emporte sur tout. « Savoure et lâche prise, Max. Ne pense plus qu’au plaisir et laisse le gouverner tout ton être. » Il souffle contre sa nuque qu’il grignote du bout de ses dents tout en venant défaire sa chemise. Il compte bien dévorer chaque parcelle de sa peau, de ses doigts, de sa bouche, de sa langue. Il veut qu’il succombe et soit bien trop aliéné pour se sentir gêné par la situation et l’endroit où ils se trouvent.

Aiden se montre insolant, déterminé à enivrer les sens de son amant et de le faire couler dans l’ivresse du plaisir charnel. Il a conscience du pouvoir déroutant qu’il a sur l’excitation de son amant et il en abuse, avec ce côté déterminé et espiègle qui lui est propre. Il est possible à Maximilian d’y résister et Aiden le sait plus que bien. Il adore cette sensation que l’addiction de cet homme provoque sur sa propre excitation et il se laisse enflammer sans aucune restriction, étant bien trop faible face à l’appel de la luxure. Si seulement, Maximilian pouvait briser ses chaines pour juste faire comme lui, profiter de l’instant présent, de cette ivresse qui le gagne et brûler en enfer avec lui. Il serait l’homme le plus heureux du monde, car ça signifierait énormément pour lui. Il essaye de s’adapter à ce fait, même si elle le frustre. Si déjà, il arrive à faire perdre la tête de Maximilian dans ce bureau, au sein de cette soirée libertine, il aura gagné beaucoup de choses. L’idée qu’une personne les surprenne durant cet acte représente une image excitante supplémentaire dont il se nourrit sans ménagement. Bien sûr que ça l’excite encore plus. L’idée qu’un mec les surprenne et éprouve l’envie d’être à sa place ou à celle de Maximilian vient glorifier sa fierté. Aiden a toujours aimé séduire. C’est quelque chose qui est ancré dans sa psychologie. Personne ne peut lui retirer et il ne peut pas aller contre cette nature-là. « Lâche prise, Maximilian. Tu verras à quel point cela fait du bien. » Il souffle contre ses lèvres alors qu’un grognement de bien-être s’extirpe de ses lèvres. Le contact de la poigne ferme de Maximilian est exaltant. Cela l’excite plus fermement alors que ses doigts resserrent plus fortement leur emprise sur sa virilité. Les coups de poignets se font plus francs alors qu’il vient lui sourire de son air présomptueux lors qu’il lui murmure qu’il aime. Il le sait et il aime cela, même s’il ne l’exprime jamais clairement par des mots. Sa bouche vient s’abattre sur sa nuque tandis que sa langue vient laper sa peau chaude. Il savoure son gout salé, la chaleur brûlante de sa peau. Il vient même la suçoter alors qu’il continue ses caresses endiablées autour de sa virilité. Il grogne sous la pression des doigts de Maximilian. Il mordille sa peau, déplace sa bouche contre sa pomme d’Adam, sa gorge avant de rejoindre ses pectoraux. Sa main libre se loge contre ses flancs, glisse sur ses hanches et vient lui retirer tant bien que mal son pantalon et son boxer pour accéder à ses belles fesses fermes. Il en empoigne une fermement en venant coller son bassin contre le sien. Il l’entend jurer de plaisir et cela le rend encore plus incendiaire. Il mordille son bouton de chair avant de relâcher son emprise autour de sa virilité pour lui retirer complètement ces vêtements, les faire glisser au sol alors qu’il vient se mettre à genou à ses pieds. Il le regard intensément tout en venant laisser trainer sa langue sur son ventre, ses aines, sa virilité. Il cherche à le rendre dingue et y parvient, ce qui l’excite cruellement. Son souffle se perd contre sa protubérance qu’il effleure dans des baisers frustrants tout en la maintenant droite grâce à la pression de ses doigts. « Tu as l’air d’avoir chaud et d’être cruellement affamé, je me trompe ? » Il provoque en venant glisser sa langue sur cette partie sensible de son excitation. Il la suçote juste pour le plaisir de l’entendre grogner. « Tu veux que je t’aide à atténuer cette faim ? » Il taquine en venant continuer ses actions espiègles et frustrantes. Il veut qu’il le réclame, qu’il le supplie de le prendre en bouche jusqu’à le faire jouir. Après tout, cela a toujours fonctionné ainsi. Le jeu des mots et des gestes. Lier le plaisir lubrique et charnel. Ils en sont complètement accro, et ce, depuis le jour de leur rencontre.

Il enflamme les désirs de Maximilian avec aisance. Il use de ce pouvoir qu’il affectionne sur la chair endiablée de son amant, car il désire ardemment que son amant lâche prise. Il veut qu’il succombe à l’appel de la luxure et se laisse damner par le feu qui ravage ses entrailles. Il le sait à sa merci et il adore cette sensation qui l’envahit. Il veut entendre des paroles crues s’extirper de ses lèvres gonflées par leurs baisers trop nombreux. Il sent que tout ce qu’il réalise titille les ambitions de son partenaire. Chaque parcelle de sa chair trahit l’excitation qui ravage le creux de ses reins et qu’il malmène du bout de ses doigts et de ses lèvres. Il titille sa protubérance de coups de langues ou de baisers furtifs. Il goute la chair salée qu’il apprécie depuis des années. Il joue à l’insolant, au sale gosse qu’il a toujours été avec lui et si Maximilian essaye de garder contenance, il sait qu’il finira par lâcher prise. L’envie d’être dévorer par ses lèvres surpassera sa réserve et c’est absolument ce qu’il recherche à cet instant. Il le sent prêt à sombrer. Il le perçoit dans la caresse des doigts de Maximilian contre sa joue, ses lèvres avant de rejoindre sa nuque, ses cheveux. Il prend ses marques, retrouve une emprise qui lui permettra de parvenir à ses fins si jamais Aiden veut se la jouer frustrant et insolant. Ce qu’il serait capable de faire, par jeu, parce que c’est dans sa nature et cet homme le connait mieux que personne. Il sourit à cette action sans le quitter du regard, lapant cette peau brûlante dans un coup de langue bien maitrisée. « Je sais. » Il provoque naturellement avec cet air mesquin et joueur, ancré dans ses traits. Il savoure l’emprise de ces doigts contre sa chevelure, sourit amusé lorsqu’il sent le regard de son amant se porter sur la porte du bureau, comme pour s’assurer que personne ne l’entendra proférer des obscénités dont il est pourtant maître. Et ces mots tant entendus se font connaitre, lui arrachant ce sourire glorieux qu’il ne camouffle pas alors qu’il s’applique à répondre à ses commandements. Oui, il compte bien le sucer longuement et profondément jusqu’à que le seul désir qu’il est en tête est de jouir au creux de ses lèvres, qu’importe si une personne arrive dans la pièce à cause de leurs gémissements et bruits de succion. Ce qu’il fait en entrouvrant ses lèvres pour laisser cette longue et dure virilité envahir sa bouche. Il l’accueille avec expertise, la connaissant par cœur jusqu’à la moindre de ses courbes. Sa main suit le mouvement, vient rejoindre la base de sa virilité pour frôler les bijoux si sensibles de son amant. Il le sent se cambrer de désir, grogner sous le coup du plaisir qui l’inonde et cela rend l’appétit d’Aiden que d’autant plus vif. Sa bouche amorce des mouvements enchanteurs, il alterne entre emprises lentes et profondes et brèves et rapides. Il dévore cette virilité sans ménagement, la titillant de ses caresses enivrantes qui ne font qu’accentuer la température élevée de la pièce. Il s’enivre de ses gémissements et grognements, ne peut contenir les siens alors qu’il le regarde à chaque mouvement qu’il réalise. Il sent cette extase venir alors il vient titiller l’extrémité dans des coups de langues avides et mesquins. Il sent alors une présence sur le côté, une personne attirée par les gémissements résolument bien trop vifs et forts pour qu’ils passent inaperçus. Son regard se porte naturellement vers cet homme, résolument charmant et envouté par ce la vue qu’il a. Aiden renforce son emprise sur ses fesses qu’il a malmené tout le long de cette gâterie et vient doucement laper le bout de sa virilité en sondant le regard de son homme. A lui de décider s’il accepte de jouir sous le regard cupide d’un homme alors qu’il est à ses genoux ou accepter la frustration de ne point connaitre l’explosion salvatrice qu’il désire lui donner. La virilité d’Aiden est cruellement tendue et il vient naturellement se caresser pour atténuer cette douleur exquise au creux de son bassin. Il est prêt à se soumettre à sa volonté. Il a juste un mot ou un geste à faire pour qu’il continue de l’immiscer au creux de ses lèvres pour lui offrir l’extase, se la donner aussi, bien qu’il ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. La présence de cet homme constitue une excitation qu’il ne camoufle pas. Il est bien trop excité pour être capable de le faire.