Il distille ses caresses buccales avec expertise. Il use de ses talents pour griser la chair de son amant et le rendre plus affamé que jamais. Il affectionne ce pouvoir qu’il a sur la chair de cet homme et s’en délecte. Il savoure le goût salé de sa chair, la fermeté de sa virilité contre la caresse de sa langue. Il lui offre une sucrerie comme il les affectionne et il sent son amant se donner sans restriction. Il l’intime à poursuivre, sa poigne ferme contre ses cheveux tandis que ses reins viennent chercher ce qu’ils désirent ardemment : la caresse humide de sa bouche. Ce qu’il lui donne sans restriction, laissant le plaisir s’immiscer dans sa chair au point de sentir sa virilité gonflée par le désir. Il adore le dévorer de la sorte, s’en délecte sans cesse depuis leur première rencontre et cette sensation s’accentue lorsqu’il perçoit un inconnu s’immiscer dans la pièce. L’idée qu’on le voit sucer son amant jusqu’à la jouissance ne le perturbe le moins du monde. Au contraire, elle l’excite et il serait déjà résolument en train de dévorer sa virilité plus profondément s’il ne savait pas Maximilian réticent à ce genre de présence. Cela ne vient en aucun cas amoindrir sa propre excitation dont il vient s’occuper de ses doigts fermes. Il gémit, sa virilité satisfaite de ne plus être délaissée. Le feu qui grignote ses entrailles s’intensifie alors que sa langue lape le bout de cette virilité terriblement gonflée. Il sait que l’extase n’est pas loin pour son homme, il le voit dans la lueur de son regard, malgré l’angoisse qui l’habite. Il lui demande silencieusement ce qu’il désire. Il est prêt à se plier à son bon vouloir. Sa réaction le surprend, mais il se laisse faire. Il se relève, retrouve sa hauteur et se laisse dévorer par la fougue de son amant. Le baiser qu’il lui vole est fiévreux et un grognement de plaisir se fait connaitre au creux de sa gorge. Sa virilité se gonfle plus fermement sous l’emprise de ces doigts et il vient en faire de même avec la sienne alors que sa main agrippe l’une de ses fesses. Leurs bassins se collent l’un à l’autre, révélant l’appétit cuisant qu’ils ont pour l’un et l’autre. Maximilian se fait conquérant et cela le fait sourire de manière amusé, car c’est justement ce qu’il avait en tête lorsqu’il parlait de jalousie titillée. Cela rend l’étreinte encore plus brûlante et exaltante, mais il n’en dit mot. Son regard brumeux retrouve celui de Maximilian. Il savoure l’humidité de ses lèvres contre sa nuque, se lèche les lèvres tout en venant jeter un coup d’œil à cet inconnu. Il sent qu’il est à l’étroit dans son pantalon, ce qui rend son sourire plus charmeur alors qu’il poursuit l’emprise de ses doigts contre la protubérance de son homme. « Je pense effectivement qu’il va prendre son pied tout en étant frustré. Il a juste le droit de regarder et savourer ce qu’il voit. Rien de plus. » Il souffle contre l’oreille de Maximilian en venant accélérer sa poigne contre sa virilité. « Ne réfléchis pas et pense juste à l’humidité de ma bouche dans laquelle ta queue va venir se perdre. Je ne la lâcherai pas avant de sentir ton jus contre ma langue. Je veux boire chaque goutte qui va s’en échapper. Je suis sûr que tu ne penseras plus à rien. » Il souffle dans son oreille pour émoustillé son désir, lui faire perdre la tête par ces mots en rendant l’excitation encore plus forte. Il répond à son baiser, n’hésitant pas à glisser une phalange entre ses fesses pour réaliser des cercles autour de son orifice. Il use de ses talents pour rendre la chaleur insoutenable et s’applique à rejoindre ses pieds sans le lâcher de son regard. Sa langue glisse le long de cette virilité tandis que sa main continue de titiller cette partie sensible. Il lui sourit de façon complice de son regard coquin alors que sa bouche vient emprisonner de nouveau cette virilité tendue. Il l’immisce entre ses lèvres, sa main libre venant rendre l’emprise plus ferme. Il le sent grogner alors qu’il le prend plus profondément en bouche, sa langue titillant cette peau nerveuse. Son regard ne le quitte pas alors qu’il vient immiscer une phalange en lui, de manière brève. Il se redresse pour amorcer plus aisément un mouvement de va et vient. Il le dévore pleinement avant de lancer un regard vers cet homme qui s’est assis sur le côté pour se masturber et il vient en faire de même. Il l’observe juste quelques secondes avant de reporter toute son attention sur son amant auquel il offre une sucrerie résolument divine. Ses actions se précisent, il fait monter le plaisir en son homme avec une seule idée en tête : l’entendre gémir et jouir au fond de sa bouche.

L’idée d’être observé à un effet particulière jouissif sur Aiden qui savoure cette adrénaline contrairement à son compagnon. Cela glorifie son orgueil. Il apprécie tout particulièrement d’être l’objet de convoitise des hommes, et ce, depuis son adolescence. C’est quelque chose dont il ne se lasse pas et cela se perçoit dans sa manière d’agir au quotidien par ce charisme qu’il dégage naturellement. Aujourd’hui, il ne vise qu’à être la proie de cet homme auquel il offre une gâterie des plus alléchantes. Le seul à avoir le pouvoir d’arpenter ses reins des siens et cela le restera sans doute à jamais. En conséquence, il s’applique à lui apporter cette dose de jouissance qu’ils affectionnent particulièrement. Sa bouche autour de sa virilité, ses doigts logés contre sa queue, il opère des mouvements de sucions qui auront le plaisir de retourner les tripes de son amant, mais également les siens. Il le détaille avec attention, joue de sa langue et de sa bouche contre ce bout de chair sensible. Il titille, goûte allègrement cette partie sans le lâcher du regard. Ses prunelles ne ratent aucune de ses expressions, ses jurons de plaisirs qui viennent envoûter ses sens et qui le rendent plus gourmands. Il veut qu’il lâche prise, qu’il explose au creux de sa bouche et Maximilian semble perdre sa pudeur puisque son bassin vient chercher la caresse de sa bouche, son corps se tort de plaisir sous ses attaques qu’il rend de plus en plus gourmandes. Il sent l’extase grignoter peu à peu le bassin de son amant. Elle finit par imploser dans un râle bien rauque de son amant au fond de sa bouche. Une saveur singulière qu’il goute sans aucune honte, savourant la vision hédonique que lui offre Maximilian, qui ne fait qu’accroitre la fermeté de sa virilité en quête également d’une jouissance désirée, mais qui sera repoussée. Il se relève à la demande de son amant pour lier ses lèvres aux siennes. Le baiser est fiévreux, emplie d’une fougue qu’il ne cherche pas à amoindrir. Il grogne au contact de ses doigts contre sa protubérance. « Si, fais-moi jouir. » Il ordonne sous le coup de la passion, accentuée par des gémissements qui viennent titiller ses oreilles, en plus des mots de son homme qui le font presser son bassin contre sa main et le sien. « Je t’aurai pris bien profondément et fougueusement comme tu aimes que je le fasse. » Il commente dans une voix suave au creux de son oreille. « Elle meurt cruellement envie d’arpenter ton beau petit cul étroit. » L’excitation rend ses mots plus crus, alors que ses doigts empoignent ses fesses. Il mordille son oreille au passage alors que son bassin oscille entre les doigts fermes de son amant. « Touche moi, je veux jouir dans ta main, ta main ou ton cul, c’est toi qui décide. » Il lâche dans une voix ferme et grave tant l’envie de luxure envahit ses reins. La recherche du plaisir est tellement une addiction qu’il veut absolument la consommer à cet instant.

Sa peau est enflammée face à l’excitation qui lui dévore les tripes avec violence. Il est complètement accro à ses sensations divines qui lui ravagent tous les sens. Il n’arrive pas à s’en passer tant il se sent libre lorsqu’il est en conquête de cette plénitude tant appréciée par tous être sur terre. La luxure est tellement merveilleuse, qu’il se donne sans restriction auprès de cet homme. Il n’a plus le courage de résister, de laisser sa raison guider ses gestes. Il est brulant de désir pour cet homme. Il veut ses lèvres, ses doigts, son corps et son appétit est si vorace qu’il doit se contrôler pour ne pas le pousser contre le bureau pour réaliser ses desseins. Il a conscience que la situation est plus compliquée à gérer pour son amant, mais quand il l’embrasse de cette manière et caresse sa peau avec tant de passion, il a du mal à réguler ces pulsions qui l’envahissent. Il répond avec ferveur aux paroles alléchantes de son compagnon. L’idée de prendre profondément et fougueusement son bassin l’envoute terriblement. Il aimerait se loger au sein de ces parois étroites et s’enfoncer totalement en lui pour savourer cette plénitude terrestre offerte par le corps de celui qu’on désire ardemment. Et dieu sait à quel point, il désire Maximilian à cet instant. La présence de l’inconnu, ne fait qu’intensifier cette réalité, car il savoure l’idée d’être le sujet de frustration d’un homme. Il l’oublie même quelques minutes alors que tous ses sens sont concentrés sur les actions de son amant. Maximilian use de ses lèvres, de ses doigts, de ses mots pour rendre la fournaise plus palpable. « Tu pues le sexe, mais dieu que j’aime cette odeur-là. » Il mordille en écho aux propos de son amant. « Ce n’est pas grave, tant que je l’ai à la fin de la nuit. » Il grogne contre son oreille qu’il mordille alors qu’un gémissement s’échappe de ses lèvres. « Carrément ! Bouffe-moi Max. » Il souffle contre ses lèvres avant de dévorer ses lèvres. Son bassin se cambre sous la pression des doigts habiles du plus vieux. Il perd le contrôle, se donne totalement à l’emprise de son amant, qui n’hésite pas à retrouver sa virilité pour l’honorer de sa bouche. Un contact qui l’électrice, qui l’oblige à prendre appui sur le bureau alors qu’un son guttural s’échappe de ses lèvres. « Putain, Max… » Il se pince la lèvre, entend le grognement de plaisir de leur voyeur et cela l’excite encore plus. Sa main se loge dans les cheveux de Maximilian, s’immisce en leur sein pour les agripper à chaque mouvement de cette bouche contre sa virilité exaltée. Son souffle est court, ses muscles se contractent, son corps s’embrase. Il s’agrippe au bois tout en venant se déhancher dans la bouche de son homme. L’extase est là, elle brûle le bout de son excitation et le fait grogner de plus en plus farouchement face au désir qui dévaste sa chair. « Oui… » Il crie continuellement alors qu’il se sent traversé par ce courant électrique qui l’oblige à finir sa course entre les attentions humides et chaudes de cette paire de lèvres. Il jouit sans ménagement dans un son rauque et brisé par l’extase. Ses muscles se décontractent alors qu’il observe son amant dévorer la moindre goutte de son exaltation. Il le trouve incroyablement désirable et sourit en venant caresser sa nuque pour le récompenser. Cet homme lui fait atteindre des orgasmes indescriptibles et il lui faut juste un coup d’œil pour voir que leur invité a également fini sa course entre ses doigts fermes. Il semble avoir pris son pied, sans doute moins que lui, mais c’est ce qui l’amuse. Il retrouve la bouche gourmande de son amant. Le baiser est sauvage alors que leurs bassins se collent plus fermement. Sa prise se fait sur ses fesses qu’il désire ardemment. Il lui propose de rentrer dans un premier temps, mais la seconde option l’enivre encore plus. « Tu l’as entendu ? » Il questionne l’inconnu qu’il se lèche les lèvres. Il hoche la tête, le souffle encore chaud. « Tu as juste le droit d’écouter. » Il a son sourire taquin, séducteur. « Fais-toi plaisir. » Il lui lance un regard vers la porte pour l’inviter à sortir. Ce qu’il fait sans broncher, leur lançant un regard envieux. Ce type de regard qui l’excite cruellement. « Je suis sûr qu’il doit fantasmer à l’idée d’être à ta place ou de la mienne. Dommage pour lui, il ne sera dans aucune d’entre elles. » Il sourit contre cette mâchoire qu’il lèche du bout de sa langue. « J’aime quand ton corps est moite contre ça. » Il mordille la peau de sa gorge alors que ses doigts glissent sur son torse et rejoint sa queue, qu’il titille du bout de ses doigts. « Mais ce que j’aime encore plus… c’est la chaleur de ton cul. Tourne-toi pour que je te montre. » Sa prise se fait autour de la hanche de son amant pour le retourner, le bloquer contre le bois du bureau. « J’aime tellement te faire crier de plaisir dans un bureau. » Sa virilité se loge entre ses fesses alors qu’il oscille son bassin pour se frotter contre lui. Elle se tend de nouveau alors que ses doigts viennent se mêler à ceux de Maximilian appuyés sur le bureau. Sa langue glisse sur son omoplate, sa colonne vertébrale. Son idée est claire : il va le faire jouir comme jamais, alors il s’applique. Son bassin se détache du sien au fil que sa langue glisse le long de son dos pour retrouver le creux de ses fesses qu’il dévore avec appétit, ses mains toujours sagement mêlées aux siennes. Il le fait brûler de désir sous ses coups de langues avant de venir l’envahir de nouveau pour une danse particulièrement langoureuse où ils auront de nouveau un orgasme comme ils les aiment. Cette première expérience est promotrice pour le plus jeune et il s’applique à lui faire comprendre en se laissant totalement allée à cet amour qui lui dévore les reins et rend la luxure si intense avec lui.